Le “Congrès mission”, est une initiative de Raphaël Cornu-Thénard de la communauté d’Anuncio ( qui évangélise essentiellement dans les rues de Paris). C’est un jeune architecte, père de 6 enfants.
Depuis 2015, “Anuncio” organise le Congrès Mission en partenariat avec d’autres œuvres et mouvements missionnaires.
Ci-dessous un entretien ave Raphaël et Agnès Chareton de la chaine KTO
Le Congrès Mission est un “salon national” de l’évangélisation qui cherche à réunir toute l’Eglise autour de la question toujours nouvelle : COMMENT PROPOSER la FOI DANS la SOCIETE ACTUELLE ?
L’espace d’un week-end des chrétiens, prêtres, religieux et laïcs se retrouvent pour prier, se former, annoncer et échanger.
Ces 3 jours suscitent enthousiasme et élan évangélisateurs, ils permettent d’acquérir des clés concrètes pour annoncer la foi au quotidien, ils favorisent rencontres et synergies entre les missionnaires d’aujourd’hui. Et pourquoi pas vous ou moi également ?
Cette année 2021, le rendez-vous s’est fait les 1-2-3 octobre dans 9 villes de France : La Rochelle, Lille, Orléans, Strasbourg, Rennes, Lyon, Toulouse Besançon Marseille.
Vendredi 1er octobre, la soirée d’ouverture de ce congrès mission, a été marquée par une louange, des chants, des prières et des prédications, 1000 participants étaient réunis à La Rochelle.
Deuxième journée du congrès mission
De multiples propositions sont venues nourrir la spiritualité des jeunes, des prêtres, des couples, des familles. Toutes les générations se sont croisées autour.:
Des ateliers,
Des tables rondes,
Des séances pleinières,
D’un village.
Ci-dessous une vidéo sur la journée des prêtres le 1er jour.
1er octobre 2021 fête de Ste Thérèse de l’enfant Jésus
L’enfance
Marie-Françoise-Thérèse Martin naquit le 2 janvier 1873 à Alençon (en Normandie), dans un milieu bourgeois aisé.
Son père, Louis Martin, bon et droit, et sa mère Zélie Martin, très active et soucieuse du bien matériel de ses cinq filles restées en vie, étaient des chrétiens convaincus : tous deux avaient songé à la vie religieuse.
Thérèse, la cadette, s’ouvrit à Dieu dès l’éveil de sa raison. Les premières années de cette enfant intelligente, vive, sensible, volontaire, furent sans histoires.
Les séparations
Lorsque Thérèse eut quatre ans, la souffrance fit brusquement irruption dans sa vie : Madame Martin, rongée par un cancer, retournait à Dieu.
Après l’enterrement, Thérèse choisit sa sœur Pauline pour «petite mère». Mais le psychisme de l’enfant était profondément atteint. La petite devint pensive, sérieuse, hypersensible. Vers la fin de la même année, la famille Martin s’installa à Lisieux dans la petite maison des «Buissonnets».
À huit ans, Thérèse entra comme demi-pensionnaire à l’Abbaye des bénédictines de la ville, où elle ne parvint jamais à s’adapter.
Maladie et premières guérisons
Le 2 octobre 1882, Pauline, la seconde mère de Thérèse, entre au Carmel. Cette nouvelle séparation achève de miner la résistance morale de l’enfant : elle est prise de maux de tête continuels.
Pour Thérèse, une première clarté jaillit le jour de la Pentecôte. Se tournant vers Notre-Dame, l’enfant la supplie d’avoir pitié d’elle.
À onze ans, l’enfant reçoit pour la première fois le Corps du Christ : «Jésus et la petite Thérèse… n’étaient plus deux, Thérèse avait disparu comme une goutte d’eau qui se perd au sein de l’océan». Le 14 juin, le sacrement de confirmation lui apporte «la force de souffrir».
La grâce de Noël
Thérèse reste pourtant dépressive. Pour des riens, ses larmes coulent à flots. Mais durant la nuit de Noël 1886, Dieu opère en elle un retournement profond : «En cette nuit, où Jésus se fit faible et souffrant pour mon amour, il me rendit forte et courageuse», écrit-elle.
L’infantilisme est vaincu et Thérèse est devenue adulte. Un dimanche, en regardant une image du Crucifié, elle se sent soudain «dévorée de la soif des âmes», et jamais plus cette flamme apostolique ne la quittera.
Le désir du Carmel
Le 29 mai 1887, dimanche de la Pentecôte, Thérèse parle à son père d’entrer au Carmel. Très ému, son «roi chéri» donne son consentement dans un acte de foi. Mais le supérieur du monastère s’oppose à cette entrée prématurée. Thérèse ne se tient pas pour battue : elle va plaider sa cause devant l’évêque de Bayeux, puis s’adresse courageusement à Léon XIII au cours d’une audience publique au Vatican. Dieu ne déçoit pas son espérance :le 28décembre lui parvient l’autorisation de l’évêque et le 9 avril suivant, Monsieur Martin conduit sa «petite reine» au Carmel.
Premières années au Carmel
Après un postulat de neuf mois, sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus reçoit l’habit du Carmel en janvier 1889.
Peu après, son père doit être interné au Bon Sauveur du Caen : ce fut pour elle l’épreuve la plus déchirante de sa vie.
Par ailleurs, la vie spirituelle de la novice est aride. Pendant sa retraite de profession, elle écrit : «Jésus m’a fait entrer dans un souterrain, où il ne fait ni froid ni chaud, où le soleil ne luit pas et que la pluie ni le vent ne visitent… où je ne vois qu’une clarté à demi-voilée…» celle des «yeux baissés de la face de mon Fiancé!».
Le 8 septembre 1890, Thérèse de l’Enfant-Jésus émet ses vœux dans la paix. Jésus l’attire de plus en plus sur le chemin de la pauvreté et de l’amour.
Maturité spirituelle
Devenue prieure, mère Agnès de Jésus (Pauline) adjoint Thérèse comme aide à la maîtresse des novices, mère Marie de Gonzague.
La jeune prieure demande à sa sœur d’écrire ses souvenirs d’enfance.
En la fête de la Trinité 1895, Thérèse, «afin de vivre dans un acte de parfait amour», s’offre «comme victime d’holocauste à l’Amour miséricordieux» de Dieu.
Dans la nuit du jeudi au vendredi saint de l’année suivante, la jeune moniale accueille sa première hémoptysie comme une annonce de «l’arrivée de l’Époux». Sa joie est grande.
Mais peu de jours après, elle se voit assaillie de tentations violentes contre la foi et l’espérance qui ne la quitteront plus jusqu’à la mort, à l’exception de quelques trouées de lumière intense.
Malgré la tuberculose qui la mine, Sœur Thérèse continue de suivre l’observance rigoureuse du Carmel. Dans la fatigue et la souffrance physique et morale, elle garde la maîtrise d’elle-même, sa paix puisée dans l’oubli de soi et sa charité fraternelle.
Les trois derniers mois
Durant l’été 1897, l’état de Thérèse s’aggrave de plus en plus.
Sur l’ordre de sa prieure, mère Marie de Gonzague, elle se met à rédiger son troisième manuscrit.
Le 11 juillet, le crayon lui tombe des mains. Les derniers mots écrits sont comme un résumé de sa vie : «Je m’élève à Lui par la confiance et l’amour.»
Le 30 septembre, au cours de l’après-midi, commence l’affreuse agonie. Peu après 19 heures, haletante, elle dit en regardant son crucifix : «Oh! je l’aime!… Mon Dieu! je vous aime!...» Puis elle tombe doucement en arrière.
Mais soudain, la mourante se redresse, les yeux fixés en haut, brillants de paix et de joie, et demeure ainsi l’espace d’un Credo. Elle pousse un léger soupir, le dernier, gardant dans la mort son ineffable sourire… «Je sens que ma mission va commencer : ma mission de faire aimer le bon Dieu comme je l’aime, de donner ma petite voie aux âmes… je veux passer mon ciel à faire du bien sur la terre.» Thérèse a tenu sa promesse.
Auteur spirituel
Le message de Thérèse
«Être petit, c’est reconnaître son néant, attendre tout du bon Dieu, comme un petit enfant attend tout de son père; c’est ne s’inquiéter de rien, ne point gagner de fortune… Être petit, c’est encore ne point s’attribuer les vertus qu’on pratique… ne point se décourager de ses fautes» (extrait desDerniers Entretiens).
Ces paroles prononcées quelques semaines avant sa mort récapitulent en quelque sorte la doctrine spirituelle de Thérèse.
S’écartant délibérément des illusions du «perfectionnisme» trop prôné au XIXe siècle, la Sainte a retrouvé le chemin de vérité : une course vers le Christ dans la liberté de l’amour, les yeux fixés sur lui et non sur soi.
À notre temps, Thérèse a révélé à nouveau le pur Évangile qui se résume dans l’amour et les grands paradoxes des béatitudes.
Innombrables sont ceux qui ont emprunté sa petite voie d’enfance, de pauvreté spirituelle, de confiance sans limites et d’abandon à l’Amour miséricordieux de Dieu.
Ses écrits
Thérèse de l’Enfant-Jésus nous a laissé trois Manuscrits autobiographiques:
Le premier, rédigé à la demande de mère Agnès de Jésus entre janvier 1895 et janvier 1896, retrace sa vie, de l’éveil de sa raison à son offrande à l’Amour miséricordieux.
Le deuxième est constitué par une lettre à sœur Marie du Sacré-Cœur, écrite du 13 au 16 septembre 1896. Thérèse, après avoir livré son expérience spirituelle à sa sœur, s’adresse à Jésus lui même et parle avec un lyrisme saisissant et authentique de sa vocation à l’amour.
Le troisième manuscrit, composé entre le 3 juin et le 11 juillet 1897, est adressé à mère Marie de Gonzague. Dans la première partie, la sainte poursuit le récit de sa vie, tandis que la deuxième est tout entière une hymne à l’amour fraternel.
Les 266 Lettres de la Sainte complètent son autobiographie, toujours dans la même ligne spirituelle : «… ce qui plaît au bon Dieu, c’est de me voir aimer ma petitesse et ma pauvreté, c’est l’espérance aveugle que j’ai en sa miséricorde… plus on est faible, sans désirs ni vertus, plus on est propre aux opérations de cet Amour consumant et transformant.»
La forme des Poésies de Thérèse est souvent conventionnelle, mais leur contenu spirituel, au-delà de cette écorce, s’avère riche.
Les Derniers Entretiens, paroles notées par les sœurs de la Sainte, recouvrent la période du 6 avril 1897 jusqu’à la mort de Thérèse.
Par ses écrits qui connaissent toujours une diffusion extraordinaire, elle continue son apostolat dans le monde, rappelant surtout cette vérité fondamentale : «C’est l’amour seul qui compte!»
Thérèse de l’Enfant-Jésus, canonisée par Pie XI en 1925, fut déclarée patronne des missions avec saint François-Xavier.
Le 19 octobre 1997, Jean-Paul II la déclarait Docteur de l’Église.
Natacha saint Pier met en musique les poèmes de Ste Thérèse.
Les personnes qui désirent être raccompagnées chez elles après la messe, sont priées de se faire connaître auprès d’une personne de l’accueil, ou bien si besoin, auprès du prêtre ou du diacre, juste avant la messe. Le nécessaire sera fait pour trouver un raccompagnement. Merci. Surtout n’hésitez pas …
Les enfants de Rochefort ont besoin d’adultes sympas prêts à les accompagner pour le catéchisme cette année… avec leur calme et leur expérience. On est souvent bien plus compétent qu’on imagine, et puis avec un peu de travail…
Etre catéchiste c’est accompagner un groupe d’enfants, de jeunes, tout en veillant aux liens avec leurs parents, cela renforce le lien avec la communauté paroissiale.
Pour la paroisse de Rochefort
Contact : Brigitte Gadenne -Tèl : 06.74.28.07.76
Secrétariat du presbytère – 109 ter rue Pierre Loti Rochefort – ☏ 05 16 65 42 89 – @ : paroissederochefort@gmail.com
Le catéchiste est un “médiateur”, dans deux directions : celle qui relie à Dieu et celle qui unit les personnes entre elles.
Ces deux directions de la catéchèse – celles de la croix – renvoient au mystère de la Passion, la mort et la résurrection de Jésus. « Jésus-Christ seul peut conduire à l’amour du Père dans l’Esprit et nous faire participer à la vie de la Sainte Trinité. ».
Le, ou la catéchiste, témoin de la foi de l’Eglise
La, ou le, catéchiste respecte la liberté et le cheminement des enfants « Le catéchiste se prépare à faciliter la croissance d’une foi dont il n’est pas le dépositaire. C’est Dieu qui l’a déposée au cœur de l’enfant. La tâche du catéchiste se borne à cultiver ce don, en lien, si possible avec les parents » .
Le Texte National pour l’Orientation de la Catéchèse souligne la responsabilité du catéchiste par rapport à celui qui est en chemin avec lui : « Le catéchète est frère du catéchisé. Il n’est pourtant pas « à égalité » avec lui : le devoir de transmettre induit une certaine forme d’autorité, qui permettra à l’autre de devenir « auteur » de sa vie… L’autorité du catéchète ne vient pas de lui, mais de la source évangélique.»
Le catéchisme de l’Eglise catholique est un livre de référence important.
La formation des catéchistes
Les catéchistes sont comme des disciples en chemin. Ils ont toujours à cultiver leur propre relation au Christ, à se former. La formation des catéchistes est centrée avant tout sur leur vie de foi, leur spiritualité, la conscience qu’ils ont de faire partie de l’Eglise.
Le pape François donnait trois clés pour être catéchiste lors du congrès des catéchistes pour l’année de la foi : être familier du Christ, l’imiter pour sortir de soi et rencontrer l’autre, sans avoir peur d’aller dans les périphéries. A partir de cette façon d’être il est possible de développer un savoir de la foi.
Toute la journée du samedi 4 septembre, de 9h30 à 17h00, plus de quinze personnes sont venues nettoyer l’église St Louis qui pendant ces 2 dernières années a été sérieusement rénovée, (peintures de la voûte, réfection du dallage, installation du chauffage au sol (sous panneaux de bois moquettés). Sans oublier l’aménagement du rez de chaussée et de l’étage des dépendances de St Louis : installation du secrétariat paroissial, déplacement de la sacristie, ouverture du bureau de l’économat, de la salle de réunions paroissiale et du bureau du curé.
La journée a commencé par la messe de 8h30 suivie d’un temps d’adoration de 9h00 à 9h30
La poussière blanche qui s’est incrustée dans les moindre recoins a dû être aspirée. On peut dire que tous ont donné beaucoup de leur personne.
Les aspirateurs, les balais, les chiffons se sont coalisés pour redonner du lustre à cette église.
Puis vers midi, s’est tenu un pique nique partagé au Catholic’s Pub afin de faire une coupure bien méritée.
Ainsi la réouverture au culte, pourra avoir lieu dimanche 12 septembre pour recevoir tous les paroissiens endimanchés et Mgr Georges Colomb évêque de la Rochelle.
Mercredi 8 septembre 2021 à 20h00, première réunion. Le rendez-vous est au Catholic’s Pub (derrière l’église St Louis), il y aura un repas partagé suivi d’un temps d’échange.
Les réunions se feront le 1er dimanche de chaque mois au Catholic’s Pub ( derrière l’église St Louis). D’abord la messe à 11h00 suivie d’un repas partagé et d’un temps d’échange l’après midi .
L’accompagnateur du groupe est le père Eric.
Venez rejoindre le groupe des Jeunes Pros !
► Vous êtes un jeune chrétien en vie active entre 20 et 35 ans
► Vous souhaitez vivre votre foi en harmonie avec votre vie dans le monde
► Vous avez envie d’échanger, de partager, de prier avec d’autres jeunes professionnels.
Alors… rejoignez le groupe des Jeunes Pros de Rochefort !
Un groupe œcuménique qui réunit des jeunes en activité professionnelle, catholiques et protestants, tous les mois, autour d’un repas suivi d’un temps d’échange sur des sujets variés définis ensemble et d’un temps de prière commune. Chacun y apporte sa singularité et toutes les initiatives peuvent y éclore.
Le père Mickaël propose pour la rentrée un parcours de catéchèse fondamentale pour adultes à partir du “Catéchisme de l’Eglise catholique”, en partenariat avec le diocèse de Bordeaux.
Formation en 3 étapes :
Ce que je crois
Ce qu’enseigne l’Eglise
Ce que cela change dans ma foi et dans ma vie
Les 25 enseignements, seront présentés en 6 modules, par les pères Mickaël et Éric :
2 à 3 séances par mois (soirées ou journées, hors vacances scolaires).
Après 7 mois de fermeture le Catholic’s Pub est ouvert tous les vendredis à partir de 19h, vous pouvez inviter vos amis, et venir vivre un temps de rencontres et d’amitiés.
l’Assemblée Générale de l’association aura lieu le vendredi 2 juillet à 18h30 sur place
La veille de la Pentecôte, le samedi 22 mai à 17h30 en l’église St Paul de Rochefort les “Frats” se sont retrouvées à l’appel du père Mickaël Le Nezet et des abbés Pierre Bigot et Eric Ndikubwayo.
Il s’agissait de faire le bilan du lancement d’une dizaine de petites fraternités – Frats – de 5 / 6 personnes se réunissant depuis le carême autour des Écritures sous la clarté de l’Esprit Saint.
Le vécu de chaque “Frat” a été exposé au micro par un représentant. De ces témoignages vivants et parfois poétiques il est ressorti que l’expérience méritait d’être poursuivie. La liberté de parole des participants et leur fraternelle ouverture d’esprit a fait de la diversité des opinions un enrichissement et non pas un motif de polémiques. La discrète présence de prêtres ou de diacres a été appréciée.
Le père Mickaël Le Nezet a conclu la rencontre en annonçant le lancement d’un synode diocésain, le 12 septembre, par Monseigneur Georges Colomb, puis il a appelé tous les participants à une invocation à l’Esprit Saint.
Voici l’enseignement sur “La vie dans l’Esprit” proposé par Rémi Guérin (diacre), pour approfondir la compréhension du mystère de la Pentecôte.