Se nourrir de la Parole de Dieu chaque jour avec le père Mickaël

 Mardi 5 décembre 2023

 1ère  lecture : Is 11, 1-10

 Évangile : Lc 10, 21-24.

 « Ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. » Pour entrer dans la compréhension du mystère de Noël, il faut se faire tout petit, il faut une âme d’enfant. Dans ce temps de l’Avent nous sommes invités à nous dépouiller du superflu pour faire de la place à Celui qui vient, à nous simplifier pour savoir reconnaître Celui qui est le plus précieux, à faire silence pour entendre parmi les bruits du monde le chant de la vie naissance.

Bonne journée

Père Mickaël

Chantons…

1er signet : 1er dimanche de l’Avent 2023

En invoquant l’Esprit Saint, je prends des temps de silence pour demeurer attentif aux personnes qui m’entourent et pour accueillir dans la confiance les évènements de ma vie, quels qu’ils soient.

Terminons par le Notre Père … 

Vous pouvez télécharger et relire un des derniers commentaires du père Mickaël, en cliquant ci-dessous, sur la date de votre choix.

Vivre l’Avent devant la Crèche – 1er dimanche : Veillez !

Nous fêtons cette année les 800 ans de la première crèche, créée par saint François d’Assise à Greccio.

Le diocèse de la Rochelle et Saintes nous propose chaque semaine de l’avent, une méditation des Sœurs Mineures de saint François et de sainte Claire pour contempler la crèche et nous préparer à la venue de Jésus.

 

Premier dimanche de l’Avent : Veillez !

Pour entrer dans le temps de l’Avent, nous sommes invités à veiller, à mettre nos sens en alerte et à préparer une place au Seigneur dans nos vies, comme saint François. Prenons le temps d’écouter, de méditer et de prier avec les Sœurs Mineures !

Vitrail de la Nativité, église des Gonds

 

Prions avec la parole de Dieu :

« Prenez garde, restez éveillés : car vous ne savez pas quand ce sera le moment. […] Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veiller » Mc 13, 33-37

Trois pistes pour cette semaine

  • Une question : quelle expérience de Dieu ai-je fait dans ma vie ?
  • Une action : installons la crèche dans nos maison, et prenons 5 minutes devant pour rendre grâce à Dieu.
  • Une intention : prions pour que l’Eglise et les chrétiens aient les moyens de se préparer spirituellement à vivre Noël.

Temps de l’avent 2023

Que fête-t-on pendant l’Avent ?

L’ Avent est le temps liturgique précédant la fête de Noël, où les chrétiens se préparent à célébrer la naissance de Jésus lors de la messe de minuit. Ce temps de préparation est marqué par la symbolique de l’attente et du désir.

Il commence le 4ème dimanche avant Noël.

Pendant ces quatre semaines d’attente, les foyers installent des crèches et un arbre de Noël avec des boules et des guirlandes.

Parfois, c’est toute la maison qui est décorée en vue des fêtes de Noël, où l’on s’échange des cadeaux de Noël. L’Avent est aussi le début de l’année liturgique.

Origines et histoire de l’Avent

Le mot « Avent » ne veut pas dire « avant Noël » ; il vient du latin adventus qui signifie « venue, avènement ». On l’employait autrefois en latin pour désigner la venue de Jésus Christ sauveur parmi les hommes.

Une tradition de l’Avent utilise la symbolique des bougies tout au long des quatre dimanches de l’Avent. Cette tradition s’appuie sur l’Ancien Testament et relie les chrétiens au peuple juif, qui fête Hanouka à partir du 11 décembre. Chaque dimanche de l’Avent, la coutume veut que les chrétiens allument progressivement une bougie sur les quatre, placées sur une couronne végétale.

– Le premier dimanche de l’Avent, la bougie symbolise le pardon à Adam et Eve
– Le deuxième dimanche, elle symbolise la foi des Patriarches en la Terre Promise
– Le troisième dimanche, c’est la joie de David, célébrant l’Alliance avec Dieu
– Le quatrième dimanche, elle symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice.

Signification et sens de l’Avent

L’Avent est la période où les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme à travers l’Enfant Jésus. De sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l’exception du péché.

Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes est lue lors de chaque messe dominicale de l’Avent. Elle redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe. L’Avent invite les chrétiens à découvrir ce que la venue de Jésus-Christ change dans leur vie pour mieux lui faire une place.

Le début de l’Avent marque aussi l’entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s’achever une année plus tard à la même période. L’ensemble du calendrier liturgique aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques).

 

 

 

 

 

 

 

Chapelet médité à l’église St Paul

Samedi 2 décembre  est le 1er samedi du mois.
Pour ceux qui pourraient venir, n’oubliez pas :

Chapelet médité  à 17 h 00 à l’église Saint-Paul de Rochefort

Nous prierons la Très Sainte Vierge pour nos familles, pour qu’elles connaissent la vraie paix, celle apportée par Jésus, il y a quelque 2000 ans.

Nous prierons aussi pour la paix dans l’Église et dans le monde, en Europe et au Proche-Orient particulièrement.

Nous aurons toujours dans nos pensées nos frères chrétiens persécutés et les nombreux réfugiés dans le monde, qui vont vivre un nouvel hiver ; nous prierons aussi pour nos frères prisonniers.

Le mois de décembre

C’est le mois consacré à Marie en son Immaculée-Conception.
Saint Maximilien Kolbe médita, dit-il, toute sa vie sur cette mystérieuse appellation, par laquelle la Vierge elle-même se présenta à Lourdes.

Vertus recommandées : la Patience et la Joie.
Protecteurs du mois    : Saint Étienne, le premier diacre et premier martyr (le 26) ; Saint Jean, Apôtre (le 27 décembre), celui à qui le Christ révéla, de façon singulière, les mystères de son Cœur.

Les grandes fêtes du mois :

– le 8 :  fête de l’Immaculée Conception, de Marie, particulièrement fêtée au sanctuaire de Notre-Dame de la Prière, à l’Île-Bouchard (près de Tours) et bien sûr à Lourdes. La neuvaine en l’honneur de l’Immaculée commence le 30 novembre.  

A propos de l’Île Bouchard : les apparitions eurent lieu dans l’église Saint-Gilles (à partir du 8 décembre 1947) ; c’est là qu’en mars 1429, Jeanne d’Arc s’était arrêtée pour assister à la messe, sur la route qui la conduisait vers le roi à Chinon. La dernière des quatre petites voyantes, Jacqueline Aubry, est décédée il y a peu, le 15 mars 2016, à l’âge de 81 ans ; lorsque celle-ci racontait les apparitions de Marie, elle impressionnait toujours les personnes par la façon dont elle faisait le signe de croix, très large, très lentement : c’était ainsi, disait-elle, que la Vierge Marie lui avait appris à le faire.

– le 25  : Nativité du Seigneur Jésus : Chantons l’Enfant qui nous est né, alleluia.

– le 31  : Dimanche de la Sainte Famille : nous La prierons spécialement pour nos familles, afin qu’elles restent toujours fidèles ; que les trois Cœurs unis de Jésus, Marie et Joseph soient nos modèles et nos Protecteurs (Apparitions d’Itapiranga).

Quelques-uns des grands saints du mois :

le 1er le bienheureux Charles de Foucauld (1858-1916). Après de nombreuses infidélités à Dieu, il se convertit en 1886, à la suite d’une confession à l’abbé Huvelin, à Paris.

Ce fut, écrit-il, une seconde révélation : « Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour Lui : ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi : Dieu est si grand. Il y a une telle différence entre Dieu et tout ce qui n’est pas Lui ».

Dix ans après, il écrit sa fameuse « Prière d’abandon » : « […] mon Père, je m’abandonne à Vous ; mon Père, faites de moi ce qu’Il Vous plaira ; quoi que Vous fassiez de moi, je Vous remercie ; je suis prêt à tout : j’accepte tout […] pourvu que Votre volonté se fasse en toutes Vos créatures […] ; je me remets entre Vos mains, avec une infinie confiance, car Vous êtes mon Père ».

Il voulait être « Frère universel » ; il écrit à Tamanrasset, en Algérie, qu’il voudrait « habituer tous les habitants, chrétiens, musulmans, juifs, à me regarder comme leur frère, le frère universel ». Il juge sévèrement la colonisation de l’Algérie par la France radicale, plus ou moins anti-chrétienne, qui ne cherche pas à convertir les populations, alors que, dit-il dans une de ses dernières lettres : si nous ne savons pas « faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront ; le seul moyen qu’ils deviennent français est qu’ils deviennent chrétiens ». 

le 3    Saint François-Xavier ; né en 1506 à Xavier (Javier) en Navarre, venu à Paris avec son ami Ignace de Loyola ; infatigable missionnaire jusqu’en Extrême-Orient, il mourut, épuisé par ses voyages apostoliques, aux portes de la Chine, sur une petite île en face de Canton, en 1552.

: Saint Martin de Porrès (1579-1639) ; l’Église du Christ n’enferme personne dans sa caste ou sa classe sociale ;  Martin en est l’un des nombreux exemples (avec d’autres personnalités célèbres, tels Vincent de Paul, petit paysan des Landes devenu ministre de Louis XIV ou encore, dès le IIème siècle, saint Callixte 1er, ancien esclave devenu pape).

Péruvien né à Lima, Martin était un mulâtre, fils naturel d’un noble espagnol et d’une pauvre jeune femme noire ; devenu un remarquable médecin, il choisit de servir les pauvres comme frère convers dominicain ; il crée la première “Sécurité sociale” d’Amérique (vers 1600 !) ; il fonde le premier orphelinat du Nouveau Monde, recevant tous les enfants sans distinction de race ou de classe, avec un principe : demander aux riches de partager leur richesse avec les déshérités. Thaumaturge, il se faisait obéir même des animaux : un jour, dit-on, il ordonna aux souris du monastère qui grignotaient les réserves d’aliments de s’en aller au fond du jardin où, fraternel avec elles, il leur apporta quand même à manger… Il avait aussi le don de prophétie et de bilocation : un ancien prisonnier des Turcs raconta aux frères du couvent de Lima que le frère Martin était venu plus d’une fois le réconforter dans sa prison.

le 4  : Saint Jean de Damas (Jean Damascène), vizir d’un calife vers 730 ; il défendit les icônes face aux iconoclastes, jusqu’à accepter d’avoir la main tranchée, mais celle-ci se réunit miraculeusement au bras ; effrayé, le calife lui demanda de redevenir son ministre mais Jean décida de se faire moine et mourut en 749. Il est considéré comme le dernier des “Pères de l’Église”. Ensuite viendront les « Docteurs » (c’est-à-dire les « Savants », savants en matière de doctrine, de foi catholique), tels Saint Jean de la Croix (voir ci-dessous, au 14 décembre).

le 6  : Saint Nicolas, évêque de Myre (en Asie Mineure) ; son culte est introduit par le pape Nicolas 1er en Italie (vers 860), puis, en Allemagne, par une impératrice d’origine byzantine; enfin, au XVème siècle, il devient le fameux patron de la Lorraine (alors germanique).

Dans le nord de l’Europe, c’est le 6 que l’on distribue des cadeaux aux enfants… ; ainsi la fête de Noël est davantage une fête seulement religieuse.

le 7   : Saint Ambroise (v. 340-397) : simple gouverneur de Milan au départ, il était tellement aimé de la population qu’il fut “élu” et acclamé comme évêque par le peuple chrétien (en 374) ; refusant d’abord, il comprit que la vox populi était ici vox Dei… Il allait devenir l’un des plus glorieux évêques d’Occident, l’un des 4 “Pères de l’Eglise” d’Occident avec St Jérôme, St Augustin et St Grégoire le Grand.

Il est célèbre pour avoir su s’opposer à l’empereur Théodose, un ami pourtant, mais qui, dans un accès de fureur, venait de massacrer des habitants, innocents, de Thessalonique. Ambroise lui interdit l’entrée de la cathédrale (équivalent d’une excommunication) ; 8 mois plus tard, à l’approche de Noël, accablé de remords, l’empereur vint en personne demander pardon…

le 9   : Saint Juan Diego, le voyant de Guadalupe, près de Mexico ; sur son tilma (sorte de poncho) fut imprimée une icône miraculeuse de la Vierge Marie (voir ci-après), image analysée par les scientifiques et qui, par ses caractéristiques extraordinaires, fait penser à l’icône miraculeuse du Suaire de Turin. Les dialogues entre la Sainte Vierge et son “petit enfant” (âgé pourtant de quelque 50 ans !) sont extrêmement touchants.

le 12  : Notre-Dame de Guadalupe. Son apparition à l’Indien Juan Diego, en 1531, constitue un tournant dans la mission auprès des Indiens, mission qui jusque-là, depuis près de 30 ans, avait eu peu de succès ; à partir de ce moment, de façon aussi mystérieuse qu’extraordinaire, les Indiens par millions demandent à être baptisés ; les missionnaires vont multiplier les baptêmes au point d’en avoir, disait-on, les bras presque paralysés !
Notre-Dame de Guadalupe fut proclamée en l’an 2000, par Jean-Paul II, “Patronne des Amériques“.

le 13  : Sainte Lucie : vierge, martyre à Syracuse vers 453 ; elle est l’une des cinq vierges martyres célébrées dans le “Canon romain” ou Prière Eucharistique n° 1.

le 14 : Saint Jean de la Croix : né en 1542 dans une famille très pauvre, il va devenir, avec son amie spirituelle Thérèse d’Avila, l’un des géants de la Réforme catholique au XVI° siècle, au temps du « Siècle d’or » de l’Espagne.

Immense mystique et poète, il réforme l’Ordre du Carmel ; les nouveaux moines sont appelés « Carmes déchaux », ne portant plus des chaussures mais des sandales dans un souci de pénitence plus grande. Persécuté par des frères restés « Chaussés », il est interné pendant 8 longs mois de souffrance, où il va alors vivre « Une Nuit obscure ».

D’une grande vigueur et fermeté, il est en même temps d’une grande douceur : « Les vertus de Dieu ne s’enseignent pas à coups de bâton et avec rudesse » écrit-il. « Tout en traitant des choses de Dieu, il nous faisait tous rire », témoigne un Frère.

Dans « La Montée du Carmel », il décrit les étapes, les différents chemins qui conduisent l’âme vers Dieu.

Il meurt en 1591 au milieu de grandes souffrances, lui qui avait écrit : « Les richesses infinies de Dieu sont inaccessibles à ceux qui repoussent les souffrances ». Lui qui écrivit aussi : « Où il n’y a pas d’amour, mettez de l’amour et vous obtiendrez de l’amour ». 

le 21  : Saint Pierre Canisius. Docteur de l’Église, Hollandais d’origine, ami de St Ignace, il défendit, avec vigueur mais grande bonté, la réforme (il disait : “le renouvellement“) de l’Église catholique face au protestantisme, publiant de remarquables “Catéchismes”, créant d’innombrables collèges ; il est considéré, après St Boniface (8 siècles auparavant), comme le second apôtre de l’Allemagne ; il mourut épuisé par ses travaux en 1597.

le 26  : Saint Étienne, le premier martyr, lapidé pour le Christ ; à l’image de son Maître, il s’écria : “Seigneur, ne leur compte pas ce péché“.

le 27  : Saint Jean, le disciple bien-aimé, le seul Apôtre resté au pied de la Croix ; il allait devenir le premier dépositaire des mystères du Cœur du Christ.

le 28  : les Saints Innocents, massacrés par Hérode, peu après la naissance de Jésus ; considérés comme les saints patrons de tous les petits enfants non nés.

le 31 : Saint Sylvestre… mais aussi Sainte Catherine Labouré (religieuse au Monastère de la Rue du Bac, à Paris) à qui la Sainte Vierge, en 1830, confia la Médaille miraculeuse ; c’est la première des 9 grandes apparitions de la Très Sainte Vierge dans nos temps modernes (avec celles de  La Salette -1846 ; Lourdes -1858 ; Pontmain -1871 ; Pellevoisin -1876 ; Fatima -1917 ; les Trois-Fontaines -près de Rome- et l’Île-Bouchard -1947 ; enfin, Akita -au Japon, 1973). Une dernière apparition, à Itapiranga, près de Manaus, a été incomplètement reconnue par l’évêque du lieu, en 2009.

A propos d’Akita : celle-ci est l’avant-dernière apparition de Marie reconnue officiellement (en 1984) ; c’est une apparition peu connue et pourtant, le Cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, affirma que le message marial d’Akita, donné à la Sœur Agnès Sasagawa, était substantiellement une confirmation du message de Fatima ; un jour même, l’ange gardien de la Sœur lui demanda de réciter régulièrement la prière de Fatima, peu connue alors au Japon : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous, préservez-nous du feu de l’enfer, attirez au Ciel toutes les âmes, et (secourez) particulièrement celles qui en ont le plus besoin », prière à dire après chaque dizaine de chapelet.

Lors d’une de ces apparitions, la Vierge Marie dit à la Sœur Sasagawa : “Avec le Rosaire, priez en réparation pour les péchés de tous les peuples ; priez beaucoup pour le Saint-Père, pour les évêques et les prêtres“. Le message du 13 octobre 1973 est particulièrement impressionnant, écho pour notre temps des messages de La Salette et de Fatima. [« Celle qui pleure au Japon – La Dame de tous les peuples » par le Père Joseph-Marie Jacq (Tequi) ].

 

 

 

 

Vivre l’Avent sous le signe de la solidarité

VIVRE L’AVENT :  COMMENT SE PRÉPARER À NOEL SUR LA PAROISSE ?

►” Le Secours Catholique” propose une collecte de produits alimentaires,  non périssables de préférence, et de produits d’hygiène (dentifrice, gel douche, savon, shampoing, brosses à dents, mousse à raser, rasoirs, kleenex…)

Des cartons et des bacs seront mis à votre disposition pour déposer vos dons dans les églises à partir du dimanche 3 décembre.

► Une messe de l’aurore sera célébrée à la chapelle Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis chaque mercredi de l’Avent à 07h00, elle sera suivie par un petit déjeuner au Catholic’s Pub

Découverte de la mission du Secours Catholique. Un prêtre de la paroisse fera la présentation et l’enseignement au local du Secours Catholique, 20 rue Lesson, le jeudi 7 décembre à 20h.

Découverte de  l’association “100 pour un toit”. Un prêtre de la paroisse fera la présentation et l’enseignement à la salle paroissiale (65ter rue Voltaire). jeudi 14 décembre à 20h

Mission d’évangélisation avec la Communauté de l’Emmanuel sur le parvis de l’Eglise St Louis, samedi 9 décembre à partir de 14h30.

                 

Groupe biblique : “Paul de Tarse l’enfant terrible du Christianisme”.

Reprise du groupe de lecture biblique tous les premiers lundis du mois de 19h à 20h30, à la salle paroissiale 65 ter, rue Voltaire à Rochefort

  Prochaine réunion lundi 4 décembre 2023 de 19h à 20h30

Après avoir cheminer l’an dernier  avec Abraham, nous nous retrouverons cette année, pour étudier les lettres de saint Paul dans le Nouveau Testament.
Nous nous aiderons du dernier livre de Daniel Marguerat : ” Paul de Tarse, l’enfant terrible du christianisme”, qui nous servira de manuel.
Notre fil rouge est toujours : la foi.
CONTACTS
  • Philippe Bortolus : 06.09.66.15.37
  • Secrétariat du presbytère St Louis : 109 ter rue Pierre Loti – 17300 Rochefort. Tél : 05.16.65.42.89 – Mail : paroissederochefort@gmail.com

Forum au Centre J.B. Souzy : Transmission à travers l’art

Après une première soirée consacrée à la transmission intergénérationnelle, la maison de la Parole Jean-Baptiste Souzy nous invite le 5 décembre à une soirée consacrée à la transmission à travers l’art.
Avec 2 artistes locaux, Bruce Krebs et Didier Roten, nous avons invité Annick Jager, qui a travaillé pendant plusieurs années sur les liens entre l’Eglise et le monde des arts pour le diocèse de Paris et le collège des Bernardins.
Le cœur de la soirée portera donc sur la nature de l’art comme acte de création et vecteur de transmission.

Messe de l’attente à la lueur des bougies

Guettons l’aurore en attendant dans l’espérance, l’évènement de Noël et l’avènement du Christ

Tous les mercredis du temps de l’Avent à 7h00 du matin à la chapelle Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis :

  • Vendredi 8 Décembre à 7h00
  • Mercredi 13 décembre à 7h00
  • Mercredi 20 décembre à 7h00

 

Rendez-vous sur le parvis de l’église St Louis

Samedi 9 décembre de 14h30 à 16h30 sur le parvis de l’église St Louis, un temps festif et d’évangélisation sera organisé.

Au programme :

  • Chorale et chants de Noël
  • Distribution des horaires des messes de Noël de la paroisse.
  • Boissons et gâteaux offerts
  • Evangélisation et discussions avec les passants
  • Inviter les passants à rentrer dans l’église, prier avec eux et pour eux devant le Saint Sacrement, rencontrer un prêtre et pourquoi pas se confesser.

Venez nombreux témoigner…

Soirée Miséricorde – Eglise Saint Louis

A l’église Saint-Louis mardi 19 décembre à 19h30

  • Adoration eucharistique,
  • Enseignement sur la Miséricorde,
  • Sacrement de la réconciliation
    individuel.

 

Qu’est-ce qu’une veillée miséricorde ?

C’est une soirée où les sacrements de la miséricorde : eucharistie et confession, sont disponibles pour chacun.

Après la messe, le Saint-Sacrement sera exposé pour un temps d’adoration spontanée, en même temps la confession sera possible auprès des prêtres présents.

Venez découvrir la tendresse de Dieu et préparons-nous à la venue de Jésus, dans la paix.

Se confesser : pourquoi et comment ?

Il s’agit d’abord de se mettre en vérité face à Dieu et à soi- même.

Demander au Seigneur de nous aider à prendre conscience de nos fautes et de nos manques d’amour. Sommes-nous attentifs à ce que nous sommes pour les autres ?   Il est très difficile de dévoiler son  intimité, mais passée cette épreuve, sachons que  le Christ délègue réellement au prêtre le pouvoir de nous pardonner et de nous rendre  la paix.

Evangile de Jean 20, 23:

De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il répandit sur eux son souffle et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. Tout homme à qui vous remettrez ses péchés, ils lui seront remis ; tout homme à qui vous maintiendrez ses péchés, ils lui seront maintenus. »

Le schéma « pratique » de confession est le suivant :

  • Le pénitent dit : « Bénissez-moi, mon père, parce que j’ai péché ». Le prêtre béni alors le fidèle et l’invite à entrer dans la confiance pour cette confession.
  • Le pénitent peut dire depuis combien de temps il ne s’est pas confessé et présenter brièvement son état de vie.
  • Puis vient le temps de l’aveu des péchés reconnu à la lumière de l’amour infini de Dieu. Je reconnais avec simplicité mon péché, sans me justifier. On peut examiner les manquements…
    – envers Dieu
    – envers mon prochain
    – envers moi-même
  • « De tous ces péchés, j’en demande pardon à Dieu et à ceux que j’ai offensés ou blessés ».
  • Ensuite le prêtre, témoin de la miséricorde, relève, encourage, fortifie dans la foi celui qui reconnaît ses fautes.
    – Il peut aider le pénitent à se confesser par le témoignage de son empathie,
    – Enfin, il  propose une pénitence adaptée à la situation. La pénitence manifeste  notre désir de vie nouvelle et de rendre grâce à Dieu.
    – Il invite à formuler un acte de contrition,
    – Il prononce la formule d’absolution,
    – Il invite à repartir dans la paix.

Acte de contrition  

    Mon Dieu, j’ai un très grand regret de vous avoir offensé
parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable,
et que le péché vous déplaît.
Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce
de ne plus vous offenser et de faire pénitence.