Le Mouvement Eucharistique des Jeunes (MEJ) revient à Rochefort

Une nouvelle proposition pour les enfants et jeunes de 6 à 18 ans va être lancée sur la paroisse de Rochefort à partir de Septembre 2021.

> Le MEJ, c’est quoi ?

Le Mouvement Eucharistique des Jeunes est un mouvement d’éducation humaine et spirituelle qui s’adresse aux enfants et aux jeunes de 7 à 18 ans qui désirent vivre à la manière de Jésus.

Le MEJ les aide à construire une relation d’amitié avec Jésus, en puisant ses fondements dans une spiritualité ignatienne.

Le MEJ aide chaque jeune à faire le lien entre sa vie et sa foi, à découvrir les trésors spirituels pour les faire fructifier et en témoigner.

A vocation apostolique, le mouvement ouvre les jeunes au monde afin d’être au service de leurs frères. Chaque enfant développe une sensibilité différente : protection de la planète, des plus pauvres et démunis, des plus fragiles… On s’engage seul ou en équipe pour faire l’expérience de la rencontre de l’autre, dans le Christ.

> Comment ça fonctionne ?

Le Mouvement Eucharistique des Jeunes se vit au sein de petites équipes de 6 à 10 jeunes.

Un thème d’année constitue le fil rouge de ces rencontres. Encadrés par des responsables d’équipe, les MEJistes peuvent s’exprimer en toute liberté sur les sujets qui leur tiennent à cœur ou tout simplement des sujets dans l’actualité du monde ou de l’Eglise.

Les réunions d’équipe auront lieu le samedi matin de 10h à 12h tous les 15 jours pour les plus jeunes. Pour les lycéens, possibilité d’adapter des réunions en fonction de l’agenda des jeunes.

Ils vont apprendre à mettre du sens dans tout ce qu’ils font : les jeux, la prière, les rencontres… La notion d’équipe est très importante : grâce à elle, les MEJistes apprennent à faire confiance et à s’ouvrir aux autres. Cela leur servira toute leur vie !

Qui dit MEJ dit créativité ! Sessions musique, mises en scènes déjantées, ateliers de peinture ou encore olympiades de sport… Le responsable d’équipe s’adapte aux talents (parfois cachés !) des jeunes de son équipe. Sans se prendre au sérieux, les jeunes découvrent leurs capacités au fur et à mesure de l’année et peuvent grandir à travers des activités variées.

Le MEJ  propose également des camps l’été qui permettent aux enfants de faire de belles rencontres, de créer, de partager…

> Vous voulez en savoir plus ?

Contacter Adélaïde OSTERMANN au 06.60.51.11.59 ou ao2ostermann@gmail.com

Le site du Mej : https://www.mej.fr/

Le sacrement de réconciliation à l’approche de Pâques

A Rochefort les confessions sont Le samedi de 10h 45 à 11h 45 à l’église St Louis

Les chrétiens portent la vie nouvelle du Christ dans « des vases d’argile ». Soumise à la tentation, cette vie d’enfant de Dieu peut être affaiblie voire étouffée par le péché. C’est pourquoi le Christ, médecin des âmes confie à l’Église de perpétuer son œuvre de guérison et de salut auprès de ses membres. C’est le but du sacrement de pénitence qui est un sacrement de guérison.

Qu’est ce que le sacrement de réconciliation ou confession ?

Le sacrement de la pénitence ou de la réconciliation est par excellence le sacrement de l’amour et de la consolation de Dieu. En tout premier lieu, se confesser, c’est confesser l’amour de Dieu et sa miséricorde. Et se rappeler la grâce du baptême qui nous a arraché au pouvoir du mal. Dans la suite de notre existence, le sacrement de pénitence est un peu un nouveau baptême. Après « l’eau du baptême », « les larmes de la pénitence »…

Origine du sacrement de réconciliation

l’enfant prodigue

Le sacrement de la pénitence et de la réconciliation prend sa source dans le mystère pascal. En effet, le soir même de Pâques, l’évangile de Jean rapporte que le Seigneur apparaît aux disciples, enfermés au cénacle, et, après leur avoir adressé son salut « Paix à vous ! », souffle sur eux et dit : « Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis » (Jn 20, 21-23).

Jésus avait déjà averti qu’ « il y a plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion. » Et toute sa vie, il n’a eu de cesse d’offrir son pardon se montrant accueillant envers les pécheurs. En parabole, il se présentait comme le bon berger sorti à la recherche de son unique brebis perdue. C’est pour continuer cette œuvre de miséricorde que le Christ confie aux apôtres le pouvoir de remettre les péchés dans un geste qui le rend présent et lui permet de relever les pécheurs.

Sens et signification

Pour la foi catholique, il existe un péché originel. Par son incarnation rédemptrice, (du latin redimere, « racheter c’est-à-dire payer la rançon d’un captif pour lui rendre la liberté »), le Christ en délivre l’humanité.

Mais un principe du mal reste à l’œuvre dans le monde. Le cœur de l’homme est parfois lourd et endurci, opaque à lui-même. La vie nouvelle reçue au baptême ne supprime pas la fragilité et la faiblesse de la nature humaine. L’inclination au péché demeure dans les baptisés. C’est l’occasion pour eux de faire leurs preuves dans le combat de la vie chrétienne avec le soutien de la grâce du Christ. En effet la confession régulière des péchés aide à former la conscience, à lutter contre les penchants mauvais, à se laisser guérir par le Christ, à progresser dans la vie avec l’Esprit-Saint. En recevant fréquemment, par ce sacrement, le don de la miséricorde du Père, nous sommes poussés à être miséricordieux comme lui.

Comment se confesser ?

On peut recevoir le sacrement de la réconciliation dans toutes les paroisses, dans les monastères et auprès de n’importe quel prêtre. Dans la plupart des églises, le sacrement de pénitence est administré dans des confessionnaux, ces guérites en bois qui jalonnent les bas-côtés ou ont été transformées en petites pièces confidentielles. On s’y présente après avoir préparé un examen de conscience à la lumière de la parole de Dieu. D’entrée de jeu, on peut demander au prêtre sa bénédiction. « Mon père, bénissez-moi car j’ai péché. » Dans les églises orientales, la coutume veut que le prêtre accueille le pénitent en lui posant l’étole sur la tête et un bras autour des épaules, par solidarité. Avant d’être pardonné de ses fautes, le pécheur fait acte de contrition, c’est-à-dire qu’il exprime son regret de les avoir commises. Il précise ensuite la nature de ses fautes en les confessant au prêtre qui lui donne l’absolution et une pénitence, c’est-à-dire une réparation ou satisfaction, le plus souvent quelques prières ou une parole de la Bible à méditer. Contrition, confession et réparation sont les actes nécessaires pour obtenir l’absolution. « Quand quelqu’un fait la queue pour se confesser, raconte le pape François, il ressent la honte, mais ensuite quand la confession se termine, il sort libre, grand, beau, pardonné, blanc, heureux. C’est ce qui est beau dans la confession ! » L’Église invite ses fidèles à recevoir ce sacrement une fois par an au moins. C’est l’origine de l’expression « faire ses Pâques » qui consiste à se confesser et à communier à la faveur de la fête de Pâque. Dans la vie spirituelle comme dans la vie quotidienne, on mange, on boit et on se lave. La communion eucharistique alimente l’âme, la confession la nettoie. L’une et l’autre doivent être fréquentes.

Pourquoi demander le sacrement de réconciliation ?

Parce que c’est une rencontre vivante avec la miséricorde, même si l’aveu est une démarche exigeante. « On peut ressentir de la honte. C’est une bonne chose, assure encore le pape François. Il est bon d’avoir un peu honte, car avoir honte est salutaire. La honte rend plus humbles, et le prêtre reçoit avec amour et avec tendresse cette confession et, au nom de Dieu, il pardonne. » Alors on peut être résolu à reconstruire avec Dieu ce qu’on détruisait par le péché. C’est la pénitence envers soi-même, les personnes que l’on lésait, l’Église ou le monde. Dieu lui même prend alors en charge ce qui parait humainement irréparable. Le pardon est un cadeau.

Bonus

« Chers amis, célébrer le sacrement de la réconciliation signifie être enveloppés par une étreinte chaleureuse : c’est l’étreinte de la miséricorde infinie du Père. Rappelons cette belle parabole du fils qui est parti de chez lui avec l’argent de son héritage ; il a gaspillé tout son argent et ensuite, quand il n’avait plus rien, il a décidé de revenir chez lui, non comme un fils, mais comme un serviteur. Il ressentait profondément sa faute dans son cœur et tant de honte. La surprise a été que quand il commença à parler, à demander pardon, son père ne le laissa pas parler, il l’embrassa et fit la fête. Quant à moi je vous dis: chaque fois que nous nous confessons, Dieu nous embrasse, Dieu fait la fête ! Allons de l’avant sur cette route. »

Pape François, audience générale, mercredi 19 février 2014

Magali Michel

Bientôt les Rameaux

Horaires des messes sur la paroisse de Rochefort

  • Samedi 27 mars : – à 17h 30 messe anticipée à l’église St Paul
  • Dimanche 28 mars : – à 9h30 à l’église du Breuil Magné – à 10h00 à l’église St Paul – à 11h00 à l’église Notre Dame

 18h00 Exceptionnellement pas de messe

Six jours avant la fête de la Pâque juive, Jésus vient à Jérusalem.

La foule l’acclame lors de son entrée dans la ville. Elle a tapissé le sol de manteaux et de rameaux verts, formant comme un chemin royal en son honneur.

C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, d’olivier, de laurier ou de palmier), selon les régions. Ces rameaux, une fois bénis, sont tenus en main par les fidèles qui se mettent en marche, en procession : marche vers Pâques du peuple de Dieu à la suite du Christ.

La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !

Ces paroles sont chantées comme antienne d’ouverture au lieu où les fidèles se sont réunis : après une brève allocution, le célébrant bénit les rameaux et on lit le récit évangélique de l’entrée messianique de Jésus avant de se rendre en procession jusqu’à l’église.

La tradition chrétienne veut que l’on emporte, après la messe, les rameaux bénits, pour en orner les croix dans les maisons : geste de vénération et de confiance envers le Crucifié.

 

Accueil chaleureux le dimanche

Service d’accueil le dimanche

« Accueillez-vous donc les uns les autres comme le Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu » (Romains 15, 7)

À l’entrée de  l’église Saint Louis, des personnes accueillent les fidèles qui viennent  assister le dimanche à la messe de 11h00.

Vous êtes intéressé (e)s pour ce service d’accueil ? Merci  de vous faire connaître auprès de Martine Guérin (tél. 06.82. 65.75.03).

 

Quelques recommandations pour assurer le service d’accueil.

Pour info : En raison des mesures sanitaires, il n’y a pas d’accueil pour les enfants.

Des écharpes colorées et des badges seront à votre disposition. Vous les trouverez  dans la sacristie. Merci de penser à les remettre (pliées ) ainsi que les badges, à la fin de votre service.  

IMPORTANT !  Les masques sont obligatoires pour entrer dans l’église ainsi que la pose de  gel hydroalcoolique sur les mains.

AVANT L’ACCUEIL
  • Arriver environ  20 à 25 mn avant la messe.
  • Prendre le temps de lire les annonces de la semaine (pour renseigner les personnes accueillies)
  • Prendre un temps de  prière avec  l’équipe d’accueil dans la sacristie, avant le service, est possible. Pour cela, vous trouverez dans la boîte aux écharpes, 2 prières (chacune en 3 exemplaires)
  • Mettre l’écharpe colorée et le badge “bienvenue”.
  • Avoir un crayon ainsi que 3 ou 4 cartes de “Bienvenue” (disponibles dans un carton à la sacristie) pour les offrir aux personnes qui souhaiteraient nous laisser leurs coordonnées, ou aimeraient demander quelque chose :  une intention de messe, un sacrement, une rencontre avec un prêtre, etc.) Une réponse leur sera envoyée par e-mail .

Conserver précieusement ces cartes une fois complétées pour les remettre au secrétariat paroissial.

Ne pas déposer ces cartes sur les tables, ces cartes sont éditées pour être données de la main à la main. 

  • Distribuer la feuille de chants et souhaiter une « bonne célébration »..
  • Distribuer la feuille d’infos paroissiales aux personnes n’ayant pas internet.
A LA FIN DE LA MESSE

Rester un peu dans l’église pour répondre aux personnes désirant une information complémentaire.

Pourquoi recevoir les fidèles à la porte de l’église

Un « bonjour », un sourire de bienvenue.

En tant que chrétiens, nous sommes heureux d’être au service de nos frères et de pouvoir les aider du mieux que nous pouvons.

Par exemple en plaçant les personnes âgées dans l’église comme les mères ayant des poussettes et des enfants.

Notre désir, c’est que chaque participant à la messe ait reçu un « bonjour », un sourire de bienvenue , ou « comment ça va ? » pour que personne ne se sente ignoré.

Campagne du denier de l’Eglise

 

Vous allez bientôt recevoir une information concernant la campagne du denier de l’Eglise pour l’année 2021.
Le denier ne sert pas au fonctionnement des paroisses mais c’est une aide précieuse versée directement à l’évêché pour le traitement et les charges sociales des prêtres et des acteurs pastoraux. Grâce à ce denier, chaque prêtre du diocèse reçoit 560 euros par mois. Le reste du traitement des prêtres,  soit 450€ provient des offrandes de messes des paroissiens. Une offrande messe se monte à 18€.

Pour information le denier sur notre ensemble paroissial de Rochefort était l’année dernière de 44151 euros en baisse de 7% Mais par ailleurs, les dons faits directement à la paroisse était de 9286 euros en augmentation par rapport aux années passées.
Je tiens à vous remercier pour votre générosité qui n’a jamais fait défaut
même dans ces temps difficiles.

P. Mickaël

Très prochainement avec le conseil économique nous vous rendrons compte de la situation de la paroisse et des projets que nous envisageons en fonction de la situation actuelle.