C’est avec tristesse que nous venons d’apprendre le décès de M. Rémi GUERIN, diacre, survenu le samedi 28 décembre 2024 à l’âge de 69 ans.
Les obsèques seront célébrées vendredi 3 janvier 2025 à 10h00 en l’église Saint Louis de Rochefort. L’inhumation aura lieu ensuite au cimetière de Rochefort.
Qu’il repose désormais dans la paix du Seigneur. Toutes nos condoléances à Martine Guérin son épouse et à sa famille
Dans la tradition chrétienne, le Nouvel An est l’occasion de réfléchir, de se renouveler spirituellement et de célébrer l’espoir. C’est un moment pour se souvenir des enseignements de Jésus et pour se tourner vers l’avenir avec foi et optimisme.
Le Nouvel An est-il une Fête Religieuse ?
Bien que le Nouvel An ait des racines religieuses, il est aujourd’hui célébré par de nombreuses personnes comme une fête laïque. Dans la foi chrétienne, cette période est souvent marquée par des messes et des prières, reflétant à la fois les aspects religieux et culturels de la célébration.
Comment le Nouvel An est-il Célébré Aujourd’hui ?
Dans le monde moderne, le Nouvel An est souvent associé à des rassemblements festifs, des concerts, des feux d’artifice et d’autres célébrations publiques. Cependant, de nombreuses personnes choisissent également de le célébrer de manière plus intime ou spirituelle.
Pourquoi le 31 décembre s’appelle la Saint Sylvestre ?
Le 31 décembre est appelé la Saint-Sylvestre en l’honneur de Saint Sylvestre I, pape de l’Église catholique romaine, qui est décédé ce jour-là en 335 après J.-C. Cette date est devenue synonyme de la célébration de la fin de l’année dans plusieurs pays.
Quelle est l’histoire du Nouvel An ?
L’histoire du Nouvel An remonte à l’Antiquité, où il était célébré selon diverses traditions culturelles. Il a pris une importance particulière dans la culture romaine et a été adopté par l’Église chrétienne, qui a éventuellement fixé la date au 1er janvier dans le calendrier grégorien.
Quelle est l’histoire de Saint-Sylvestre ?
Saint-Sylvestre I était pape de 314 à 335 après J.-C. et est connu pour avoir régné pendant la période de conversion de l’empereur Constantin au christianisme. Sa papauté a coïncidé avec des événements significatifs pour l’Église, y compris le premier concile de Nicée.
D’après les Évangiles, Jésus serait né de Marie, une jeune fille dont on peut penser qu’elle avait 16 ou 17 ans et qui avait été promise en mariage à Joseph, un homme de la descendance du roi David. Marie aurait été vierge lorsque l’ange Gabriel lui annonça qu’elle était enceinte et donnerait le jour au Messie que les juifs attendaient depuis des siècles.
Le mot Messie (« oint du Seigneur » en hébreu) se traduit par Christos en grec, la langue véhiculaire du bassin méditerranéen à cette époque, d’où le nom donné plus tard au fils de Marie, Jésus Christ, et à ses disciples, les chrétiens.
La naissance survint à Bethléem, à quelques kilomètres au sud de Jérusalem, car Joseph et Marie avaient dû s’y rendre pour se faire recenser conformément à un édit d’Auguste :
À cette époque-là parut un édit de l’empereur Auguste qui ordonnait le recensement de tout l’Empire.
Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie.
Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville d’origine.
Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée dans la ville de David, appelée Bethléem, parce qu’il était de la famille et de la lignée de David.
Il y alla pour se faire inscrire avec sa femme Marie qui était enceinte.
Pendant qu’ils étaient là, le moment où Marie devait accoucher arriva,
et elle mit au monde son fils premier-né. Elle l’enveloppa de langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la salle des hôtes.
Il y avait dans la même région des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour y garder leur troupeau.
(…).
Notons que ledit recensement n’est attesté par aucune archive romaine. La présence de bergers dans le voisinage donne à penser que Jésus serait né à l’époque de l’agnelage, au mois d’avril. Par ailleurs, l’évocation du cruel roi Hérode, protégé des Romains, situerait sa naissance en l’an 6 avant J.-C. ! Le moine Denys le Petit, à l’origine du calendrier adopté aujourd’hui dans le monde entier, se serait donc trompé dans ses calculs.
L’enfance de Jésus se déroula en Galilée, au nord de la Palestine, dans une ville peu connue du nom de Nazareth, où Joseph exerçait le métier de charpentier. Il semble que l’enfant ait eu de nombreux frères et soeurs plus jeunes, ce qui est admis par les protestants mais contesté par les catholiques. Le mot grec adelphos employé par les évangélistes pourrait en effet désigner aussi bien les frères que les cousins ou les proches du Christ.
Vers l’âge de trente ans, Jésus quitta sa famille et commença à prêcher sur les bords du lac Tibériade. D’humbles pêcheurs le rejoignirent. Ils n’allaient plus le quitter jusqu’à sa mort sur la croix, trois ans plus tard.
Pour les chrétiens, la fête de Noël (du latin natalis, « naissance », « nativité » célèbre la naissance de Jésus, Fils de Dieu, le Sauveur attendu, annoncé par les prophètes.
Comme le racontent les évangélistes Luc et Mathieu, Marie « mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire ». Dans les environs, se trouvaient des bergers.
L’Ange du Seigneur s’approcha et leur dit : « Aujourd’hui vous est né un Sauveur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire ».
« Rien de merveilleux, rien d’extraordinaire, rien d’éclatant n’est donné comme signe aux bergers, commentait récemment le pape Benoit XVI. Ils verront seulement un enfant entouré de langes qui, comme tous les enfants, a besoin de soins maternels ; un enfant qui est né dans une étable et qui, de ce fait, est couché non pas dans un berceau, mais dans une mangeoire. Le signe de Dieu est l’enfant, avec son besoin d’aide et sa pauvreté ».
À Noël, le Fils de Dieu se fait homme !
Dans l’étonnant déroulement de cet événement inouï – le Fils de Dieu s’est fait homme ! -, les Pères de l’Eglise ont vu bien des signes : d’abord parce que l’enfant de Bethléem est né pauvre parmi les pauvres qu’étaient les bergers.
Egalement parce qu’enfant, il est faible et sans défense. Jésus vient ainsi parmi les hommes en partageant en tout leur condition humaine, à l’exception du péché.
Suite à l’ouverture de la porte sainte de la Basilique St Pierre à Rome le 24 décembre 2024, marquant le début de l’année jubilaire, tous les diocèses sont invités par le Pape François à vivre une célébration pour ce temps extraordinaire qu’il nous sera donné de vivre tout au long de l’année 2025. Elles auront lieu dans chaque cathédrale de chaque pays.
Dans le diocèse de la Rochelle, trois célébrations seront ainsi proposées le dimanche 5 janvier 2025 :
– Messe à 11h à la cathédrale de la Rochelle
– Procession à 17h00 (rdv à l’Abbaye aux Dames),suivie de la messe à la cathédrale de Saintes à 18h
– Messe à la cathédrale de Saint-Pierre et Miquelon (horaire à préciser)
Une occasion unique de se mettre en route pour devenir des “Pèlerins d’espérance” (Thème de cette année jubilaire)
Pourquoi franchir une Porte Sainte ?
Lors d’une Année Sainte, chaque évêque détermine au moins un lieu où les fidèles pourront faire une démarche de pèlerinage.
Passer une Porte Sainte c’est la franchir réellement comme acte symbolique de notre désir de voir toute chose à travers le Christ qui nous ouvre un horizon nouveau (Ap. 21, 5).
Franchir la Porte Sainte symbolise le passage du péché vers la grâce. Toujours ouverte, la porte exprime l’attente de Dieu qui se tient sur le seuil les bras ouverts pour nous faire entrer dans la miséricorde. Passer la porte requiert donc qu’on laisse derrière soi le péché pour rejoindre l’amour et le pardon.
Avant de franchir la Porte, il faut se mettre en route. Comme un pèlerin appelé à aller de l’avant, chacun marche à la rencontre du Père miséricordieux, sur un chemin de conversion. Passer le seuil de la porte, c’est un acte de foi du croyant qui reconnait en Jésus-Christ le Seigneur. Le Christ a dit : « Moi, je suis la porte » (Jn 10,7). C’est par lui que l’on peut connaître et entrer en communion avec Dieu. Le Christ est le Sauveur envoyé par le Père qui permet à tout homme de passer du péché à la grâce.
En passant la Porte Sainte, nous nous laisserons embrasser par la miséricorde de Dieu
« En cette fête de l’Immaculée Conception, j’aurai la joie d’ouvrir la Porte Sainte. En cette occasion, ce sera une Porte de la Miséricorde, où quiconque entrera pourra faire l’expérience de l’amour de Dieu qui console, pardonne, et donne l’espérance […] En passant la Porte Sainte, nous nous laisserons embrasser par la miséricorde de Dieu, et nous nous engagerons à être miséricordieux avec les autres comme le Père l’est avec nous. » Pape François Bulle d’indiction 3.14
Le 14 décembre, Mayotte a été frappée par le cyclone Chido : des vents à plus de 200 km/h ont provoqué des dégâts considérables, détruisant notamment des quartiers entiers de bidonvilles, où vivait une population parmi les plus pauvres de France.
Prions pour Mayotte
Nous nous tournons dans la prière vers la Vierge Marie. Le peuple fidèle la vénère dans cette Cathédrale dédiée à Notre-Dame de l’Assomption comme patronne et mère de la miséricorde, la “Madunnuccia”.
Nous lui adressons depuis cette île de la Méditerranée un appel pour la paix : la paix pour toutes les terres qui bordent cette mer, en particulier la Terre Sainte où Marie a donné naissance à Jésus. Paix pour la Palestine, pour Israël, pour le Liban, pour la Syrie, pour tout le Moyen-Orient ! Paix au Myanmar martyrisé. Et que la Sainte Mère de Dieu obtienne la paix tant désirée pour le peuple ukrainien et le peuple russe. […] Que le Seigneur nous donne à tous la paix.
Et prions pour les victimes du cyclone qui a frappé l’Archipel de Mayotte ces dernières heures. Je suis spirituellement proche de tous ceux qui ont été touchés par cette tragédie.
Et maintenant, tous ensemble, prions l’Angélus
Aidons Mayotte
Action du Secours Catholique à Mayotte
Le Secours Catholique dispose de cinq salariés et d’environ 80 bénévoles à Mayotte, où il apportait une aide à 300 à 400 personnes avant le cyclone.
Les Apprentis d’Auteuil ont à Mayotte 220 collaborateurs dans une vingtaine d’établissements, qui accompagnent 4 500 jeunes, qui résident pour la plupart dans des bidonvilles aujourd’hui anéantis ; on est sans nouvelles de la majorité de ces jeunes.
5 des bâtiments sont fortement endommagés voire détruits, et les 15 autres demeurent aujourd’hui inaccessibles.
L’Avent est le temps liturgique précédant la fête de Noël, où les chrétiens se préparent à célébrer la naissance de Jésus lors de la messe de minuit. Ce temps de préparation est marqué par la symbolique del’attente et du désir. Il commence le 4ème dimancheavant Noël.
Pendant ces quatre semaines d’attente, les foyers installent des crèches et un arbre de Noël avec des boules et des guirlandes. Parfois, c’est toute la maison qui est décorée en vue des fêtes de Noël, où l’on s’échange des cadeaux de Noël. L’Avent est aussi le début de l’année liturgique.
Origines et histoire de l’Avent
Le mot « Avent » ne veut pas dire « avant Noël » ; il vient du latin adventus qui signifie « venue, avènement ». On l’employait autrefois en latin pour désigner la venue de Jésus Christ sauveur parmi les hommes.
Une tradition de l’Avent utilise la symbolique des bougies tout au long des quatre dimanches de l’Avent. Cette tradition s’appuie sur l’Ancien Testament et relie les chrétiens au peuple juif, qui fête Hanouka à partir du 11 décembre. Chaque dimanche de l’Avent, la coutume veut que les chrétiens allument progressivement une bougie sur les quatre, placées sur une couronne végétale.
–Le premier dimanche de l’Avent, la bougie symbolise le pardon à Adam et Eve – Le deuxième dimanche, elle symbolise la foi des Patriarches en la Terre Promise – Le troisième dimanche, c’est la joie de David, célébrant l’Alliance avec Dieu – Le quatrième dimanche, elle symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice
Par Domitille Blanc Tavernier
Signification et sens de l’Avent
L’Avent est la période où les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme à travers l’Enfant Jésus. De sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l’exception du péché.
Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes est lue lors de chaque messedominicale de l’Avent. Elle redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe. L’Aventinvite les chrétiens à découvrir ce que la venue de Jésus-Christ change dans leur vie pour mieux lui faire une place.
Le début de l’Avent marque aussi l’entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s’achever une année plus tard à la même période. L’ensemble du calendrier liturgique aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques).
Samedi 14 décembre à 12h00 à la salle Jacques David ( 65 Ter rue Voltaire à Rochefort )
Partageons un moment convivial et solidaire à la paroisse de Rochefort.
Pour participer, inscrivez-vous auprès de Sœur Monique au 06 56 85 98 88 ou de Sœur Marie Jo au 07 83 54 51 58. Lors de votre inscription, merci de préciser ce que vous pourrez apporter : fromage, salé, sucré, boissons, pain…
Un repas pour se retrouver dans la joie et la fraternité, tout en soutenant notre paroisse ! Venez nombreux !
Avant et après chaque messe dans l’église St Pierre du Breuil Magné à 9h30 et dans l’église St Louis à 11h00. Les 8, 15, 22 décembre soutenons le Secours Catholique.
Cette année pendant le temps de l’avent, toutes les messes dominicales seront l’occasion de soutenir les plus démunis grâce à une collecte organisée par le Secours Catholique de Rochefort. Les dons récoltés permettront de financer les petits déjeuners pour les personnes en situation de précarité.
Nous vous invitons à apporter des produits pour les petits déjeuners (café, thé, chocolat, biscuits, confitures etc…) ainsi que des produits d’hygiène ( savonnettes dentifrice, brosse à dents etc…)
De plus, une vente d’objets rappelant l’avent et Noël sera proposée après les messes. Ces articles permettront de financer des actions solidaires du Secours Catholique et de soutenir les plus vulnérables pendant ces fêtes de fin d’année.
Tous les mercredis de l’avent à 7h00 à la chapelle Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis une messe sera célébrée, à la lueur des bougies.
Prochaine messe le mercredi 18 décembre à 7h00
Elle sera suivie d’un petit déjeuner au Catholic’s Pub
Qu’est ce que la Rorate ?
La messe Rorate est célébrée avant la fin de la nuit, idéalement de façon à se terminer aux toutes premières lueurs de l’aurore. Cette messe est célébrée à la seule lumière des bougies.
Le terme « Rorate» vient du mot latin qui a donné son titre au chant grégorien « Rorate cæli », chant d’entrée de la messe du 4e dimanche de l’Avent : « Cieux, faites venir le Juste comme une rosée ; Qu’il descende des nuées comme une pluie bienfaisante : Que la terre s’entrouvre et donne naissance au Sauveur. »