Samedi 27 avril , les servants du diocèse se réuniront à Saintes

Chaque année, tous les jeunes, garçons et filles, qui participent au service de la liturgie sont invités une rencontre diocésaine.

Cette année, elle aura lieu samedi 27 avril prochain à Saintes.

 

 

Mieux se connaître, prier, se former pour mieux remplir leur mission, jouer ensemble, c’est le but de cette journée !

Cette année, ils retrouveront à 10h à l’abbaye aux Dames, pour un temps de découverte de Marie-Eustelle Harpain. L’après-midi se poursuivra à la maison diocésaine de Saintes, avec la messe anticipée à 17h dans la chapelle.

Inscriptions

Cette journée est ouverte à tous les enfants et les jeunes, qu’ils soient servants depuis longtemps ou depuis quelques mois, ou qu’ils aient simplement envie de découvrir le service de l’autel.

Télécharger le bulletin d’inscription

Merci aux adhérents du Catholic’s Pub

Chères adhérentes, chers adhérents,

Toute l’équipe du Catholic’s Pub tient à vous remercier pour votre générosité et  votre présence au Catholic’s Pub les vendredis soir.

Grâce à vos adhésions et à vos dons, en 2023, nous avons pu faire un don à l’école de La Providence de Rochefort qui  permettra de financer 200 repas à la cantine au  bénéfice des enfants dont les familles ont besoin d’un petit coup d’pouce

Un grand merci à vous tous !

 

 

 

L’Equipe du Catholic’s Pub 

 

 

Dimanche du bon pasteur : une neuvaine pour les vocations

Le dimanche 21 avril, l’Eglise célèbrera la 61é journée mondiale de prière pour les vocations. Avant ce jour, et en prévision du pèlerinage pour les vocations à l’Île Madame qui aura lieu le lundi de Pentecôte, le diocèse vous propose de prier pour les vocations : vocations à devenir prêtres, consacrés, époux…

Pendant 9 jours, du 13 au 21 avril, nous vous proposons de prier chaque jour avec cette prière, qui sera également distribuée dans les paroisses. 

 

MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS
POUR LA 61ème JOURNÉE MONDIALE
DE PRIÈRE POUR LES VOCATIONS

21 avril 2024

Appelés à semer l’espérance et à construire la paix

Chers frères et sœurs !

La Journée mondiale de Prière pour les Vocations nous invite, chaque année, à considérer le don précieux de l’appel que le Seigneur adresse à chacun de nous, son peuple fidèle en chemin, pour que nous puissions prendre part à son projet d’amour et incarner la beauté de l’Évangile dans les différents états de vie. Écouter l’appel divin, c’est loin d’être un devoir imposé de l’extérieur, peut-être au nom d’un idéal religieux ; c’est au contraire la manière la plus sûre que nous ayons d’alimenter le désir de bonheur que nous portons en nous : notre vie se réalise et s’accomplit quand nous découvrons qui nous sommes, quelles sont nos qualités, dans quel domaine nous pouvons les mettre à profit, quelle route nous pouvons parcourir pour devenir signe et instrument d’amour, d’accueil, de beauté et de paix, dans les contextes où nous vivons.

Ainsi, cette Journée est toujours une belle occasion de rappeler avec gratitude devant le Seigneur l’engagement fidèle, quotidien et souvent caché de ceux qui ont embrassé un appel qui engage toute leur vie. Je pense aux mères et aux pères qui ne pensent pas d’abord à eux-mêmes et qui ne suivent pas le courant d’un style superficiel, mais qui configurent leur existence sur le soin des relations, avec amour et gratuité, en s’ouvrant au don de la vie et en se mettant au service des enfants et de leur croissance. Je pense à ceux qui accomplissent leur travail avec dévouement et esprit de collaboration ; à ceux qui s’engagent, dans divers domaines et de différentes manières, pour construire un monde plus juste, une économie plus solidaire, une politique plus équitable, une société plus humaine : à tous les hommes et femmes de bonne volonté qui se dépensent pour le bien commun. Je pense aux personnes consacrées, qui offrent leur existence au Seigneur dans le silence de la prière comme dans l’action apostolique, parfois dans des zones frontalières et sans épargner leurs énergies, en faisant progresser leur charisme avec créativité et en le mettant à la disposition de ceux qu’ils rencontrent. Et je pense à ceux qui ont accueilli l’appel au sacerdoce ordonné et qui se consacrent à l’annonce de l’Évangile et qui rompent leur vie, avec le Pain eucharistique, pour leurs frères, en semant l’espérance et en montrant à tous la beauté du Royaume de Dieu.

Aux jeunes, en particulier à ceux qui se sentent éloignés ou qui nourrissent une méfiance envers l’Église, je voudrais dire : laissez-vous fasciner par Jésus, adressez-lui vos questions importantes, à travers les pages de l’Évangile, laissez-vous inquiéter par sa présence qui nous met toujours salutairement en crise. Il respecte plus que tout autre notre liberté, il ne s’impose pas mais se propose : laissez-lui de l’espace et vous trouverez votre bonheur en le suivant et, s’il vous le demande, en vous donnant complètement à Lui.

Un peuple en marche

La polyphonie des charismes et des vocations, que la communauté chrétienne reconnaît et accompagne, nous aide à comprendre pleinement notre identité de chrétiens : comme peuple de Dieu en marche sur les routes du monde, animés par l’Esprit Saint et inséré comme des pierres vivantes dans le Corps du Christ, chacun de nous se découvre membre d’une grande famille, fils du Père et frère et sœur de ses semblables. Nous ne sommes pas des îles fermées sur elles-mêmes, mais des parties du tout. C’est pourquoi la Journée Mondiale de Prière pour les Vocations porte gravé le sceau de la synodalité : nombreux sont les charismes et nous sommes appelés à nous écouter réciproquement et à marcher ensemble pour les découvrir et pour discerner à quoi l’Esprit nous appelle pour le bien de tous.

Dans le moment historique présent, le chemin commun nous conduit vers l’Année jubilaire de 2025. Marchons comme pèlerins d’espérance vers l’Année Sainte, afin que dans la redécouverte de notre vocation et en mettant en relation les différents dons de l’Esprit, nous puissions être dans le monde porteurs et témoins du rêve de Jésus : former une seule famille, unie dans l’amour de Dieu et étroite dans le lien de la charité, du partage et de la fraternité.

Cette Journée est consacrée, en particulier, à la prière pour invoquer du Père le don de saintes vocations pour l’édification de son Royaume : « Priez donc le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson » (Lc 10, 2). Et la prière – nous le savons – est faite plus d’écoute que de paroles adressées à Dieu. Le Seigneur parle à notre cœur et veut le trouver ouvert, sincère et généreux. Sa Parole s’est faite chair en Jésus-Christ, qui nous révèle et qui nous communique toute la volonté du Père. En cette année 2024, consacrée précisément à la prière en préparation au Jubilé, nous sommes appelés à redécouvrir le don inestimable de pouvoir dialoguer avec le Seigneur, de cœur à cœur, devenant ainsi des pèlerins d’espérance, car « la prière est la première force de l’espérance. Tu pries et l’espérance grandit, tu vas de l’avant. Je dirais que la prière ouvre la porte à l’espérance. L’espérance est là, mais avec ma prière j’ouvre la porte » (Catéchèse, 20 mai 2020).

Pèlerins d’espérance et constructeurs de paix

Mais que signifie être pèlerins ? Celui qui entreprend un pèlerinage cherche d’abord à savoir clairement quel est le but, et il le porte toujours dans son cœur et dans son esprit. Mais en même temps, pour atteindre cet objectif, il faut se concentrer sur le pas présent. Pour l’accomplir cela il faut être léger, se dépouiller des poids inutiles, prendre avec soi l’essentiel et lutter chaque jour pour que la fatigue, la peur, l’incertitude et les ténèbres ne bloquent pas le chemin entrepris. Ainsi, être pèlerins signifie repartir chaque jour, toujours recommencer, retrouver l’enthousiasme et la force de parcourir les différentes étapes du parcours qui, malgré les peines et les difficultés, ouvrent toujours devant nous de nouveaux horizons et des panoramas inconnus.

Le sens du pèlerinage chrétien est précisément celui-ci : nous nous mettons en route à la découverte de l’amour de Dieu et, en même temps, à la découverte de nous-mêmes, à travers un voyage intérieur mais toujours stimulé par la multiplicité des relations. Donc, pèlerins parce qu’appelés : appelés à aimer Dieu et à nous aimer les uns les autres. Ainsi, notre marche sur cette terre ne se résout jamais dans une fatigue sans but ou dans des errements sans fin. Au contraire, chaque jour, en répondant à notre appel, nous essayons de faire les pas possibles vers un monde nouveau, où l’on vit en paix, dans la justice et l’amour. Nous sommes des pèlerins d’espérance parce que nous tendons vers un avenir meilleur et nous nous engageons à le construire le long du chemin.

C’est, à la fin, le but de toute vocation : devenir des hommes et des femmes d’espérance. En tant qu’individus et en tant que communauté, dans la variété des charismes et des ministères, nous sommes tous appelés à “donner corps et cœur” à l’espérance de l’Évangile dans un monde marqué par des défis historiques : l’avancée menaçante d’une troisième guerre mondiale par morceaux ; les foules de migrants qui fuient leurs terres à la recherche d’un avenir meilleur ; l’augmentation constante du nombre des pauvres ; le danger de compromettre irréversiblement la santé de notre planète. Et à tout cela s’ajoutent les difficultés que nous rencontrons quotidiennement et qui, parfois, risquent de nous jeter dans la résignation ou dans le défaitisme.

À notre époque, il est décisif pour nous chrétiens de cultiver un regard plein d’espérance, pour pouvoir travailler avec fruit, en répondant à la vocation qui nous a été confiée, au service du Royaume de Dieu, Royaume d’amour, de justice et de paix. Cette espérance – nous assure saint Paul – « ne déçoit point » (Rm 5, 5), car il s’agit de la promesse que le Seigneur Jésus nous a fait de demeurer toujours avec nous et de nous impliquer dans l’œuvre de rédemption qu’Il veut accomplir dans le cœur de chaque personne et dans le “cœur” de la création. Cette espérance trouve son centre moteur dans la Résurrection du Christ, qui « a une force de vie qui a pénétré le monde. Là où tout semble être mort, de partout, les germes de la résurrection réapparaissent. C’est une force sans égale. Il est vrai que souvent Dieu semble ne pas exister : nous constatons que l’injustice, la méchanceté, l’indifférence et la cruauté ne diminuent pas. Pourtant, il est aussi certain que dans l’obscurité commence toujours à germer quelque chose de nouveau, qui tôt ou tard produira du fruit » (Exhort.ap. Evangelii gaudium, n. 276). L’apôtre Paul affirme encore que « nous avons été sauvés, mais c’est en espérance » (Rm 8, 24). La rédemption réalisée à Pâques donne l’espérance, une espérance certaine, fiable, avec laquelle nous pouvons affronter les défis du présent.

Être pèlerins d’espérance et constructeurs de paix signifie alors fonder notre existence sur le roc de la résurrection du Christ, sachant que chacun de nos engagements, dans la vocation que nous avons embrassée et que nous portons en avant, ne tombe pas dans le vide. Malgré les échecs et les revers, le bien que nous semons grandit de manière silencieuse et rien ne peut nous séparer du but ultime : la rencontre avec le Christ et la joie de vivre dans la fraternité entre nous pour l’éternité. Cet appel final, nous devons l’anticiper chaque jour : la relation d’amour avec Dieu et avec nos frères et sœurs commence dès maintenant à réaliser le rêve de Dieu, le rêve de l’unité, de la paix et de la fraternité. Que personne ne se sente exclu de cet appel ! Chacun de nous, dans sa petitesse, dans son état de vie, peut être, avec l’aide de l’Esprit Saint, semeur d’espérance et de paix.

Le courage de s’impliquer

Pour tout cela, je dis encore une fois, comme lors des Journées Mondiales de la Jeunesse à Lisbonne : “Rise up ! – Levez-vous !”. Réveillons-nous du sommeil, sortons de l’indifférence, ouvrons les portes de la prison où nous nous sommes parfois enfermés, afin que chacun de nous puisse découvrir sa vocation dans l’Église et dans le monde et devenir pèlerin d’espérance et artisan de paix ! Attachons-nous à la vie et engageons-nous dans le soin affectueux de ceux qui nous entourent et de l’environnement dans lequel nous vivons. Je vous le répète : ayez le courage de vous impliquer ! Don Oreste Benzi, un infatigable apôtre de la charité, toujours du côté des derniers et des sans défense, répétait que personne n’est si pauvre qu’il n’aurait rien à offrir, et personne n’est si riche qu’il n’aurait pas besoin d’aide.

Levons-nous donc et mettons-nous en chemin comme pèlerins d’espérance, car, comme Marie le fit avec sainte Élisabeth, nous pouvons nous aussi apporter des annonces de joie, engendrer une vie nouvelle et être des artisans de fraternité et de paix.

Rome, Saint-Jean-de-Latran, le 21 avril 2024, 4ème Dimanche de Pâques

FRANÇOIS

 

 

Avec le denier : vous faites tous vivre l’Eglise

Chaque année le dimanche des Rameaux et la Semaine Sainte sont l’occasion de lancer la campagne du Denier de l’Eglise. Mais qu’est-ce que le Denier ? Et quelles sont les ressources de l’Eglise ?

Pour assurer sa mission, annoncer l’Evangile à tous, faire vivre les paroisses, l’Eglise catholique en France ne peut compter que sur la générosité des chrétiens. Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, l’Église ne reçoit aucune subvention de l’État, ni aucune aide du Vatican.

Le Denier

Le Denier est la principale ressource de l’Eglise catholique en France : ces dons faits chaque année par les catholiques sont destinés, dans notre diocèse, à assurer la vie matérielle des prêtres.

Avec le Denier, nous faisons tous vivre l’Eglise de manière concrète, en permettant que les messes, les baptêmes, les mariages et les obsèques soient célébrés, que les enfants découvrent Jésus, que tous ceux qui se présentent soient accueillis, que les jeunes soient accompagnés…

Vous le voyez, votre don est essentiel. Par votre don vous signifiez que vous êtes membre de l’Eglise et vous la soutenez comme on soutient sa famille. Chaque don, quel que soit son montant, est nécessaire : il n’y a pas de petit don !

Concrètement, il est possible de faire un don par chèque, mais également en ligne. Vous pouvez aussi donner par prélèvement mensuel.

Si vous êtes imposable, sachez que vous pouvez déduire de votre impôt sur le revenu 66 % du montant de votre don (dans la limite de 20 % de votre revenu imposable).

Nous vous remercions pour votre soutien, pour votre générosité. Merci aussi de parler du Denier autour de vous, pour que chacun puisse participer à faire vivre l’Eglise !

Les autres ressources de l’Eglise

La quête

La quête, c’est le don fait au cours de la messe pour permettre à votre paroisse de vivre : payer l’électricité, le chauffage, l’entretien courant…

Le casuel

Le casuel, ce sont les dons faits pour les baptêmes, les mariages et les obsèques. Eux aussi sont destinés au fonctionnement courant des paroisses.

Les offrandes de messes

En offrant une messe (l’offrande conseillée est de 18 €), je  contribue à la rémunération des prêtres. Une messe est alors célébrée spécifiquement pour l’intention de prière que je souhaite : pour des défunts, des personnes de ma famille, des malades, pour la paix…

Les autres dons

Je peux aussi choisir de faire un don pour une destination particulière : la formation des séminaristes, pour une paroisse en particulier, ou pour un projet paroissial ou diocésain. Vous pouvez retrouver toutes ces propositions en ligne.

Les legs

Les legs, les donations et les assurances-vie servent à financer les grands projets du diocèse, à entretenir églises, presbytères et salles paroissiales. Si vous êtes intéressés, vous pouvez contacter l’économe diocésain.

Prions avec Taizé

La paroisse vous propose de prier avec Taizé chaque premier lundi soir du mois à 20h30 à la chapelle de Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis (entrée par la rue Pierre Loti).

Pour les musiciens rejoignez-nous à 20h15 avec votre instrument.

Dates programmées :

  •  6 mai 2024
  • 3 juin 2024
  • 1er juillet 2024

CONTACT PAROISSE : 

SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter  rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
  05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com

 

Pentecôte 2024 : Pèlerinage pour les vocations

Les évêques de la Province de Poitiers invitent tous les chrétiens de Poitou-Charentes et du Limousin à prier pour les vocations. Pour cela, ils leur donnent rendez-vous les 19 et 20 mai 2024, dimanche et lundi de Pentecôte, à Rochefort et à l’Île Madame, pour un pèlerinage provincial.

Retenez déjà cette date, et découvrez le programme !

Le programme du pèlerinage

Dimanche 19 mai 2024 :

  • 17h : Accueil à la Maison paroissiale de Rochefort
  • 18h : Temps de prière
  • 18h30 : Pique-nique
  • 20h : Spectacle sur les prêtres déportés à l’église Notre-Dame de Rochefort
  • Hébergement possible pour ceux qui viennent de loin : Institution La Salle St Louis à Pont-l’Abbé-d’Arnoult, au camping de Port des Barques ou chez des paroissiens.

Lundi 20 mai :

  • 9h : Accueil au sanctuaire
  • 9h 30 : Laudes
  • 9h50 : enseignement des évêques
  • 10h20 : Île Madame
  • 11h : prière à la Croix des galets
  • 12h : Messe
  • 13h30 : Repas fourni ou pique-nique
  • 15h : Fin du pèlerinage

Journée des confirmés – 20h30 : les Guetteurs en concert

A noter dans vos agendas !

Une occasion unique de découvrir les Guetteurs et de passer une soirée exceptionnelle à la Rochelle (samedi 1er juin, 20h30).
Parlez en à vos familles, amis et voisins et inscrivez-vous dès à présent : http://urlr.me/nbhYQ
EVENEMENT EXCEPTIONNEL –
Samedi 1er juin 2024, Les Guetteurs seront en concert à La Rochelle ! Rendez-vous à 20h30 à Fénelon Notre-Dame (36 rue Massiou) pour vivre ensemble une soirée conviviale et musicale !
Sur place : Buvette – Sandwich – Crêpes
📍 Les Guetteurs est un groupe de reggae français, dont les chansons sont inspirés par des thèmes chrétiens. Après la sortie de leur dernier album en 2023, ils se sont produit sur scène l’été dernier lors des JMJ à Lisbonne devant plus d’un millions de jeunes.

 

 

 

Pélé VTT août 2024 – Venez vivre une expérience…

C’est une nouvelle édition du pelé VTT, route de Charente- Maritime, qui commencera ce samedi 17 août (pré-camp pour l’encadrement des jeunes), et qui verra ses effectifs au complet dès le lendemain, sur le premier lieu de campement à Saint Aigulin.

Collégiens, lycéens, jeunes animateurs (étudiants ou jeunes pro) vivront ce pelé VTT avec des prêtres, séminaristes, religieuses ainsi qu’une dynamique équipe de TTV (comprenez les “très très vieux”, ou les “très très vaillants”), présents tout au long du camp pour sa gestion quotidienne et logistique. Ce sont près d’une centaine de personnes qui vivront ensemble ce camp itinérant,… une grande aventure humaine, sportive mais surtout spirituelle !

Bande-annonce pelé VTT 2024

De Saint-Aigulin à l’abbaye aux Dames à Saintes, ce pelé VTT sillonnera les routes vallonnées de la Haute-Saintonge à raison d’une moyenne de 35 kms par jour ; régulièrement, des temps “spi” sont proposés ainsi que des visites des églises ou autres sites remarquables, situées sur le parcours.

Peut-être croiserez vous ces jeunes et adultes au gré de vos déplacements sur les routes du département : n’hésitez pas à vous arrêter, à aller à leur rencontre et à les encourager ; ils sont toujours très heureux des moments inattendus que ce pèlerinage à deux roues peut leur offrir ! Et à défaut de les croiser, vous pouvez découvrir ce qui se vit durant cette semaine hors du commun, en cliquant sur la vidéo ci-dessous.

Deux minutes pour découvrir le pelé VTT !