La première définition de Joseph que nous rencontrons dans l’évangile de Matthieu est «juste». Le fiancé de Marie, face à l’inexplicable grossesse de sa fiancée, ne pense pas à son propre orgueil ni à sa propre dignité blessée: il pense au contraire à la sauver de la méchanceté des gens, à la sauver de la lapidation à laquelle elle pouvait être condamnée. Il ne veut pas la répudier publiquement, et pense se séparer d’elle en secret. Mais, dans cette situation compréhensible, dans cette souffrance, l’amour de Dieu parvient à le soulager; un ange vient lui parler, et lui inspire le choix le plus juste, qui est toujours celui de ne pas avoir peur: «Ne crains pas de prendre avec toi Marie, ton épouse, car ce qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint. Elle mettra au monde un fils et tu l’appelleras Jésus».
Un homme obéissant
Un ange accompagne Joseph dans les moments les plus difficiles de sa vie, et l’attitude de Joseph devant les paroles du messager céleste est toujours une obéissance confiante: prends Marie comme épouse; quand l’ange, après la naissance de Jésus, revient l’avertir de la persécution d’Hérode , il fuit avec sa famille en Égypte, un pays étranger, où il doit recommencer tout à zéro, trouver un nouveau travail (saint Matthieu, au chapitre 13, parle aussi de son métier d’artisan, quand les habitants de Nazareth, sceptiques, se demandent: «N’est-ce-pas le fils du charpentier?»), pour regagner la confiance des voisins. Et quand l’ange revient encore pour l’informer de la mort d’Hérode et lui demander de retourner dans le pays d’Israël, il prend avec lui son épouse et son fils et se réfugie en Galilée, à Nazareth, de nouveau sur le conseil de l’ange.
Père putatif
Il n’y a pas de doute que Joseph ait aimé Jésus avec toute la tendresse qu’un père a pour son propre fils: tout ce que Joseph fait est pour protéger et éduquer ce mystérieux enfant, obéissant et sage, qui lui a été confié. Éduquer Jésus: l’immense disproportion de la tâche de dire à Dieu ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Cela doit avoir été humainement difficile et intimement douloureux d’avoir cherché son enfant avec angoisse pendant trois jours. Trois jours durant lesquels, sans avoir averti ni son père ni sa mère, Jésus était resté dans le temple à discuter avec les docteurs de la loi, avant de dire à ses parents: « Ne saviez-vous pas que je dois m’occuper des affaires de mon Père?». Mais c’est aussi le désarroi que peut éprouver tout père lorsqu’il s’aperçoit que ses enfants ne lui appartiennent pas, et que leur vie est dans les mains de Dieu.
Protecteur des mourants
Joseph n’apparaît dans aucun des quatre évangiles durant la vie publique de Jésus, ni au Calvaire, ni au moment de la Résurrection. On peut en déduire qu’il est mort avant que Jésus ne commence sa prédication. Selon la tradition, Joseph serait mort avec à ses côtés Marie et Jésus, et c’est pour cette raison qu’il est invoqué aussi comme protecteur des mourants, et que nous le prions afin de pouvoir quitter cette terre avec à nos côtés Jésus et sa Mère.
Nous sommes bien malheureux de savoir que nous ne te reverrons plus à la sortie de l’église St Louis le dimanche, ou encore, tu ne seras plus là pour mettre minutieusement toutes ces bougies, ces petits luminions au fond de l’église, afin que les touristes et les curistes puissent se recueillir… pour tout cela, merci.
Nous savons combien tu as œuvré tout au long de ta vie pour nos frères et sœurs démunis, notamment au sein d’ATD quart monde, à Rochefort. Pendant plusieurs années nous nous sommes rassemblés sur la place Colbert à ton initiative, afin de faire connaître la charte sur la Journée contre la misère du 17 octobre, que le père Joseph Wresinski a créée.
Les associations caritatives partenaires d’ATD Quart monde, étaient là pour soutenir la lutte contre la misère à Rochefort. On pouvait retrouver le Secours Catholique, le CCFD, les compagnons d’Emmaüs, Amnistie internationale, la Croix Rouge, l’Ordre de Malte et le Cabestan, toutes ces associations présentes place Colbert pour des après midi fraternels, animés par différentes troupes comme ; le groupe de danse des jeunes filles du conservatoire de Rochefort, la chorale ChanteRives de Tonnay Charente, le groupe de danse Country d’Echillais et les jeunes gens de la compagnie hip-hop de la compagnie Pyramid venant du petit Marseille qui se produisaient quelques heures, avec une bonne sono. En fin de journée, une soupe populaire était servie aux badauds et on se disait : ” A l’année prochaine...”
De tout cela nous te sommes reconnaissants, même si la pauvreté ne régresse pas dans notre région. Toutes ces associations caritatives (Secours Catholique, Croix Rouge, CCFD, compagnons d’Emmaüs, Amnistie internationale et le Cabestan) œuvrent toujours pour nos frères démunis et aussi pour les migrants qui passent par la région. Sans oublier l’Ordre de Malte qui organise des maraudes caritatives dans les rues de Rochefort.
Cliquer sur la photo de la dalle ci-dessus posée au Trocadéro à Paris en 1987 pour découvrir la charte internationale du 17 octobre journée contre la misère.
Pèlerinage de l’île Madame 2016
Tu as rencontré le Christ, et nous avons confiance, sûrement qu’il t’a dit : ” Ce que tu as fait pour ces plus petits, c’est à moi que tu l’as fait.” Alors on ne s’en fait pas trop pour toi: ” Bonne vie éternelle, tu es en bonne compagnie !
Les obsèques seront célébrées Jeudi 20 mars à 10h00 en l’église Notre Dame.
Toutes nos condoléances à Elisabeth, à Estelle et à ta famille.
Dans le cadre des propositions de Carême, des bénévoles du CCFD de Rochefort seront présents aux messes du mercredi des Cendres et du 1er dimanche de Carême le 10 mars, pour vous proposer des livrets spirituels.
Ces supports vous accompagneront tout au long de ce temps de conversion et de partage.
– Vendredi 14 mars à 19h15 à la salle paroissiale (65 ter rue Voltaire – 17300 Rochefort)
ils vous invitent à une soirée d’informations et d’échanges sur les actions menées en faveur d’un monde plus juste et solidaire.
Dimanche 9 mars 2025, premier dimanche de carême, nous avons prié tout particulièrement pour les 78 adultes qui ont vécu leur appel décisif à Saintes : ces catéchumènes ont été appelés par Mgr Jacolin, notre administrateurdiocésain, en vue de leur baptême qui aura lieu à Pâques.
Nous prions pour eux, afin que les 40 jours qui les séparent de leur baptême fassent grandir leur foi, leur espérance et leur charité.
Nous prions pour ceux qui les accompagnent, pour leurs proches et leurs communautés paroissiales, afin qu’ils sachent toujours mieux les entourer, avant et après leur baptême.
Enfin, nous rendons grâce à Dieu pour les disciples toujours plus nombreux qu’Il appelle et pour le témoignage de foi qu’ils donnent à toute l’Eglise.
Vendredi 7 mars 2025 à 19h00 à la chapelle Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis à Rochefort une célébration œcuménique inspirée par les îles Cook, a réuni les communautés protestantes et catholiques de Rochefort pour un moment de prière et de partage.
Cette soirée a été présidée par l’abbé Guillaume Salin et le pasteur Matthieu Cavalier, la liturgie était préparée par les femmes chrétiennes des îles Cook, un archipel de 15 îles situé dans l’océan Pacifique. Inspirées par le psaume 139 ces femmes proposaient de méditer sur le thème : “- Merci tu m’as créé merveille.”
Ce psaume , nous rappelle que nous sommes tous créés avec soin et amour par Dieu, et il nous invite à reconnaître la beauté et la valeur de chaque être humain. Les fidèles de la paroisse et la communauté protestante de Rochefort, ont été heureuses de se retrouver dans la petite cour pour partager le verre de l’amitié.
Une trentaine de personnes étaient rassemblées pour cet évènement.
Ce psaume , nous rappelle que nous sommes tous créés avec soin et amour par Dieu, et nous invite à reconnaître la beauté et la valeur de chaque être humain.
La paroisse de Rochefort et la communauté protestante, sont heureuses de vous convier à cette célébration, symbole d’unité et de fraternité entre nos confessions.
Ensemble témoignons de notre foi commune et renforçons nos liens spirituels.
Venez nombreux partager ce temps fort de prière et de communion.
Suivre Jésus d’un point de vue humain n’est pas une bonne affaire : c’est servir.
Il l’a fait, et si le Seigneur te donne l’occasion d’être le premier, tu dois te comporter comme le dernier, c’est-à-dire dans le service. Et si le Seigneur vous donne l’occasion d’avoir des biens, vous devez vous comporter en serviteur, c’est-à-dire pour les autres.
Il y a trois choses, trois étapes qui nous éloignent de Jésus : la richesse, la vanité et l’orgueil.
C’est pourquoi les richesses sont si dangereuses, parce qu’elles vous conduisent immédiatement à la vanité et vous pensez que vous êtes important. Et quand on se croit important, on se monte la tête et on se perd (…)
Ce n’est pas beau de voir un chrétien, qu’il soit laïc, consacré, prêtre, évêque, qui veut les deux choses : suivre Jésus et les biens matériels, suivre Jésus et la mondanité. C’est un contre-témoignage qui éloigne les gens de Jésus.
Nous poursuivons maintenant avec la question de Pierre à l’esprit. Poursuivons maintenant avec la question de Pierre : « Nous avons tout quitté : comment nous paieras-tu ? », et en pensant à la réponse de Jésus. Le prix qu’il nous donnera est la ressemblance avec lui. Ce sera le « salaire ». Un grand « salaire », celui de ressembler à Jésus !
Vatican News
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le chapelet médité à l’église Saint Paul de Rochefort
Nous prierons la Très Sainte Vierge pour nos familles, pour la paix en Europe et dans l’Église. Nous La prierons par l’intercession de saint Joseph en ce mois qui lui est consacré : qu’il protège nos familles, particulièrement les plus en difficulté.
Celui-ci fut persécuté, se réfugiant, avec Marie et l’Enfant Jésus, sur une terre étrangère. Prions-le spécialement pour les chrétiens persécutés.
Mois de mars
C’est le mois consacré à Saint Joseph
Vertu recommandée : l’imitation de la Sainte Famille
Le Protecteur du mois :
le 19 : Saint JOSEPH, père nourricier de Jésus, époux de Marie, Patron de l’Église universelle.
Saint Bernardin de Sienne (+ 1444) écrit à son propos :
“ l’Église entière doit une reconnaissance et une vénération singulière à Saint Joseph. Il est comme la clé de l’Ancien Testament, car c’est en lui que le mérite des Patriarches et des Prophètes a atteint le terme de ses espérances. Seul saint Joseph a possédé réellement Celui que la bonté divine avait promis aux Justes des temps anciens.
Il est figuré avec raison par le Patriarche Joseph, fils de Jacob, qui conserva le froment aux peuples de l’Égypte. Cependant il le surpasse, car il a fait plus que fournir aux Égyptiens le pain de la vie matérielle : en nourrissant Jésus avec un soin très vigilant, il a procuré à tous les élus le Pain du Ciel qui donne la vie céleste ”.
Les grandes fêtes du mois :
Nous allons entrer dans le temps du Carême : il commence le 5 mars, avec le mercredi des Cendres.
le 19 : Saint JOSEPH. Jean XXIII fit ajouter la mention de St Joseph dans le Canon Eucharistique Romain. Le pape François le fit ajouter à toutes les autres Prières Eucharistiques. Il est l’un des rares Saints fêtés deux fois dans l’année : le 19 mars et le 1er mai (St Joseph artisan, protecteur des travailleurs) ; voir aussi plus haut, sur les gloires de Saint Joseph.
Le 19 est aussi, dans le martyrologe romain, la fête de St Dysmas, nom donné au Bon Larron, crucifié en même temps que le Christ Jésus. Nous pourrons spécialement prier, ce jour, pour nos frères prisonniers.
le 25 : est fêtée l’ ANNONCIATION de l’ange Gabriel à Marie, l’Incarnation du Seigneur Jésus.
“Ave Maria, gratia plena. Bénie sois-Tu, ô Marie, entre toutes les femmes, Mère du Sauveur, Mère de Dieu, car Tu as enfanté l’Emmanuel “.
Quelques-uns des grands saints du mois:
le 7 : Sainte Perpétue et (sa servante) Félicité : illustres martyres, livrées aux bêtes à Carthage en l’an 203, tellement illustres que leurs noms furent désormais inscrits dans le Canon Romain (Prière Eucharistique n°1). A la Veillée pascale, elles sont invoquées lors de la Grande Litanie des Saints. On a deux récits de leur passion, parmi les plus anciens connus.
le 8 : Saint Jean de Dieu (1495-1550) ; il est le saint patron des infirmiers, hospitaliers et aussi des malades.
Après une véritable conversion, il se mit au service des pauvres et des malades à Grenade. Une hotte sur le dos et une marmite à chaque bras, il parcourait les rues de Grenade en criant : “Mes frères, pour l’amour de Dieu, faites-vous du bien à vous-mêmes (en donnant pour les malades)”. Il se dépouillait tellement de tout que certains le prenaient, comme St François, pour un fou mais d’autres se mirent à l’appeler Jean-de-Dieu. Un jour, dit-on, un pauvre qu’il soignait disparut en lui disant : « Tout ce que tu fais aux pauvres, c’est à Moi que tu le fais ».
le 9 : Saint Dominique Savio : saint patron de la jeunesse ; mort à l’âge de 15 ans le 9 mars 1857. Il est l’un des rares saints dont la vie a été écrite par un autre saint : Don Bosco.
Dominique Savio, canonisé en 1954, est encore le plus jeune des confesseurs non-martyrs canonisés.
Le jeune Carlo Acutis, mort lui aussi à l’âge de 15 ans, a été déjà déclaré “Bienheureux” le 10 octobre 2020.
La piété du jeune Dominique était tellement remarquable que son curé lui permit de faire sa première communion à 7 ans (au lieu de 11-12 ans, à l’époque, car c’était avant que le saint Pape Pie X ne permette et conseille même de faire la première communion vers 7 ans justement).
Pour préparer ce jour exceptionnel, il écrivit ceci :
“Résolutions prises par moi, Dominique Savio, en 1849, quand j’ai fait ma première communion à 7 ans :
1) Je me confesserai très souvent et je communierai toutes les fois que mon confesseur me le permettra.
2) Je veux sanctifier les jours de fête.
3) Mes amis seront Jésus et Marie.
4) La mort, mais pas de péchés. ”
Toujours joyeux, même dans la souffrance, pur, serviable, dévoré de zèle missionnaire pour l’amour de Dieu et de Marie Immaculée, il est un véritable modèle pour les jeunes. Don Bosco ne pouvait évoquer son souvenir sans pleurer.
– Ce jour est aussi la fête de Sainte Françoise Romaine (morte en 1440) : mariée à un noble et pieux Romain, elle se dévoue aux malades et aux pauvres, poussant les autres dames de la noblesse à renoncer à la vie mondaine pour se consacrer aux bonnes œuvres et ainsi se rapprocher de Dieu. Après la mort de son époux, elle rejoint la Congrégation des Oblates de Marie, fondée par elle-même en 1425.
Invisible à tous sauf à elle, son Ange gardien la guidait constamment ; selon la tradition, ses dernières paroles furent : ” Le Ciel s’ouvre, les anges descendent, l’Archange a fini sa tâche, il est debout devant moi et me fait signe de le suivre “.
Elle fit de nombreux miracles, y compris au jour de sa mort : son corps, dit-on, exhalait un parfum de rose ; un Turc présent se convertit en s’écriant : “Françoise, servante de Dieu, souvenez-vous de moi “.
le 15 : Sainte Louise de Marillac : elle aussi dame de la plus haute noblesse, elle fonda avec saint Vincent de Paul (né, lui, petit paysan), la Congrégation des Filles de la Charité en 1633.
le 18 : St Cyrille de Jérusalem : (315-387) consacré évêque de Jérusalem en 348, il fut exilé à 3 reprises par le pouvoir politique !
Il fut de ces grands évêques qui voulurent rester fidèles à la “foi de Nicée“, (c’est à dire au fameux “Credo” proclamé au Concile de 325 et complété par celui de Constantinople -381- ) : c’est ce “Credo” que nous proclamons normalement le dimanche.
le 23 : Saint Turibe de Mogrovejo (1538-1606) ; né en Espagne, évêque de Lima, admirable protecteur des Indiens et l’un des grands organisateurs de l’Église en Amérique latine.
Il se confessait tous les matins, avant de célébrer la messe, et faisait de sa vie une prière continuelle.
Nommé par le roi d’Espagne, Philippe II, pour faire cesser les abus des colons espagnols et même d’une partie du clergé, il réforma son immense diocèse, parcourant des milliers de kilomètres. A un colon qui lui disait que “c’était la coutume de traiter ainsi (mal !) les Indiens“, il répondit : ” Jésus-Christ s’appelle la vérité et non la coutume ; à son tribunal, nos actions seront pesées dans la balance de son sanctuaire “.
Saint Turibe est l’un de ces innombrables saints évêques et missionnaires d’Amérique qui convertirent les Indiens par leur bonté et douceur, et, à partir des années 1530, grâce au patronage de Notre-Dame de Guadalupe.
le 30 : Saint Léonard Murialdo, prêtre à Turin (mort en 1900); il fait partie, avec Joseph Cottolengo, Joseph Cafasso et d’autres, de la pléiade de saints qui entoura Don Bosco. Plutôt que de “guérir” (les âmes malades : ici, souvent, les jeunes en perdition), il cherchait toujours à “prévenir” ; il ouvrit des oratoires, des écoles professionnelles, des maisons familiales pour jeunes travailleurs, des colonies agricoles ; il cherchait toujours à améliorer la prise en charge de ces jeunes; il fut l’un des inspirateurs de la “doctrine sociale” de l’Église qui allait se mettre en place avec Léon XIII, en cette fin du 19ème siècle si dur pour les pauvres, particulièrement dans les villes.
Dans le cadre du Festival chrétien du pays rochefortais – Saison 2024-2025 il est proposé dimanche 2 mars 2025 de 15h00 à 16h30 salle théâtrale et culturelle de Breuil Magné( 7 rue du stade – Breuil Magné) une représentation suivie de la dédicace par Pierre Fesquet de son livre : “ Piaf, un cri vers Dieu”.
Après Paris, la pièce “Piaf, un cri vers Dieu“ est jouée dans toute la France.
Prix des entrées plein tarif : 18€ . Tarif réduit 12€
Réservation obligatoire auprès des offices de tourisme de Rochefort, de Fouras et sur le site WWW. rochefort-ocean.com
Un verre de l’amitié clôturera cet fin d’après midi
Chez « la Môme », foi et voix sont enlacées. Grâce à un miracle attribué à Thérèse de l’Enfant Jésus, la petite Édith, 4 ans, guérit d’une grave maladie oculaire. Depuis, jusque dans son travail artistique, elle est mystérieusement liée à la sainte : « Ma petite robe de scène ? C’est comme le voile noir de sainte Thérèse. » Oui, il y avait quelque chose de surnaturel quand Piaf chantait : sa voix pénétrait le cœur des gens. Piaf a exprimé un cri : le cri de l’humanité.
Dans cette représentation, le biographe, écrivain et acteur Pierre Fesquet évoque la carrière de la Môme à la lumière de sa foi. La chanteuse Yamina Abdous interprète les titres connus et parfois mystiques du répertoire de Piaf accompagnée par l’accordéoniste Thierry Bretonnet.
A l’issue de la représentation Pierre Fesquet dédicacera son ouvrage “Piaf, un cri vers Dieu”.
Le pape François a nommé mardi 14 janvier 2025, Monseigneur Jérôme Beau, archevêque de Poitiers. Monseigneur Jérôme Beau était jusqu’à présent archevêque de Bourges.
Né le 24 décembre 1957 à Paris.
Ordonné prêtre le 23 juin 1984 pour l’archidiocèse de Paris.
La messe d’installation aura lieu le dimanche 2 mars 2025 à 15h à la cathédrale de Saint-Pierre et Saint-Paul de Poitiers. En tant qu’archevêque de Poitiers, Mgr Beau est archevêque de la Province ecclésiastique de Poitiers, à laquelle appartient le diocèse de La Rochelle, ainsi que les diocèses d’Angoulême, Limoges et Tulle.
La mission : “C’est une joie intérieure que l’on vient partager …”
Ma devise épiscopale : “C’est pour l’espérance du monde. En cette année jubilaire où on est invité à être témoin d’espérance c’est une bonne devise pour arriver dans le diocèse de Poitiers.”
Études et diplômes
Séminaire Issy-les-Moulineaux (1er et 2ème cycle).
Baccalauréat de théologie et maîtrise de théologie (Institut catholique de Paris).
Son parcours
1984-1989 Vicaire à la paroisse Notre-Dame de Lorette ; aumônier du lycée Edgar-Quinet et Jacques-Decour ;
1989-1993 Vicaire à la paroisse Saint-Denys du Saint-Sacrement ; directeur au Séminaire diocésain de Paris ; professeur de théologie au Studium du Séminaire de Paris (École Cathédrale) ;
1990-1993 Aumônier diocésain du Mouvement Eucharistique des Jeunes (MEJ) ;
1993-2001 Curé de la paroisse Saint-Séverin, directeur au séminaire diocésain de Paris et responsable de la Maison Saint-Séverin ;
2001-2006 Supérieur du Séminaire diocésain de Paris et délégué diocésain pour les séminaristes ;
2003-2018 Directeur de l’Œuvre des vocations ;
2004-2006 Membre du collège des consulteurs ;
2006-2018 Évêque auxiliaire et Vicaire général de l’archidiocèse de Paris ;
Depuis 2018 Archevêque de Bourges.
Au sein de la Conférence des Évêques de France :
2007-2013 Membre du Conseil pour les relations avec le judaïsme ;
2013–2017 Membre du Conseil Culture et projet ;
2017-2023 Président du Conseil pour les ministres ordonnés et les laïcs en mission ecclésiale ;
2023-2024 Membre du Conseil pour la pastorale des enfants et des jeunes ;
Depuis 2024 Membre du Conseil pôle Ressources et moyens.
Mercredi 5 mars 2025: –10h30 à l’église Notre Dame
Mercredi 5 mars : – 19h00 à l’église St Louis
Mercredi 5 mars 2025, mercredi des Cendres est le premier jour du Carême. Il est marqué par l’imposition des cendres : le prêtre dépose un peu de cendres sur le front de chaque fidèle.
“Homme souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière.” (Gen 3 , 19). Voilà ce que le prêtre, en référence à la parole divine, rappelle aux fidèles. L’homme est fragile, il met son espérance en la miséricorde de Dieu.
Le symbolisme des cendres est présent dans l’Ancien Testament. Il évoque le péché et la fragilité de l’être. Au temps du Christ les Israélites, selon la coutume, se recouvraient de cendres pour montrer à Dieu et aux autres qu’ils reconnaissaient leurs fautes ou qu’ils étaient en deuil. Recevoir les Cendres c’est faire pénitence et demander à Dieu le pardon de ses péchés.
Un symbole de renaissance
Tous, nous faisons l’expérience du péché. Comment s’en dégager ? Jésus nous montre comment être, à sa suite, victorieux du péché. Ezéchiel dans sa vision de la vallée de la mort et du retour à la vie d’ossements desséchés (Ez 37) prophétise la bonne nouvelle de la Résurrection du Christ, qui entraine à sa suite l’humanité rachetée par sa passion.
La cendre est appliquée sur le front pour nous appeler plus clairement encore à la conversion, précisément par le chemin de l’humilité. La cendre, c’est ce qui reste quand le feu a détruit la matière dont il s’est emparé. Quand on constate qu’il y a des cendres, c’est qu’apparemment il ne reste plus rien de ce que le feu a détruit. C’est l’image de notre pauvreté. Mais les cendres peuvent aussi fertiliser la terre et la vie peut renaître sous les cendres.
Tout en le marquant, le prêtre dit au fidèle : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle ». L’évangile de ce jour est un passage de saint Matthieu – chapitre 6, versets 1 à 6 et 16 à 18 – qui incite les fidèles à prier et agir, non pas de manière orgueilleuse et ostentatoire, mais dans le secret de leur cœur :
Quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que te donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais en secret.
Quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret.
Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement du Père qui est présent dans le secret.