Le passage de l’Evangile d’aujourd’hui présente de brèves paraboles, avec lesquelles Jésus veut indiquer à ses disciples la voie à suivre pour vivre avec sagesse. Par cette question : «Un aveugle peut-il guider un aveugle?» (Lc 6, 39), il veut souligner qu’un guide ne peut pas être aveugle, mais doit bien voir, c’est-à-dire qu’il doit posséder la sagesse pour guider avec sagesse, sinon il risque de nuire aux personnes qui lui font confiance. […]
Et Jésus emprunte une expression sapientielle pour s’indiquer lui-même comme modèle de maître et de guide à suivre : «Le disciple n’est pas au-dessus du maître; tout disciple accompli sera comme son maître» (v. 40). C’est une invitation à suivre son exemple et son enseignement pour être des guides sûrs et sages. […] Dans le passage d’aujourd’hui, nous trouvons une autre phrase significative, celle qui exhorte à ne pas être présomptueux et hypocrites.
Elle dit ainsi : «Qu’as-tu à regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère? Et la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas!» (v. 41). Bien souvent, nous le savons tous, il est plus facile ou plus commode d’apercevoir et de condamner les défauts et les péchés d’autrui, sans réussir à voir les nôtres avec autant de lucidité. […] Nous devons en être conscients et, avant de condamner les autres, nous devons regarder en nous-mêmes. Nous pouvons ainsi agir de manière crédible, avec humilité, en témoignant la charité.
Vatican News
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On vous attend à partir de 19h00,
tout beau, tout bronzé
et de bonne humeur !
Vive la fin de semaine !
PS : Pensez qu’il faut reprendre votre carte d’adhésion pour 2024 (5€ par famille). Des formulaires sont à votre disposition sur place. (Nous ne prenons pas de carte bancaire).
L’Equipe du Catholic’s Pub– Bar associatif soumis à une adhésion annuelle de 5€ par famille
Chapelet médité à 17 h00 à l’église Saint-Paul de Rochefort
Pour ceux qui pourraient venir, n’oubliez pas :
En ces jours de rentrée, nous prierons d’abord notre Mère, Marie, pour les intentions de nos familles et en particulier pour nos défunts.
Nous prierons pour que la Très Sainte Vierge, Mère de l’Église, protège celle-ci contre tous ses ennemis.
A l’appel de plusieurs pieuses associations, nous prierons en réparation des sacrilèges et blasphèmes qui se multiplient aujourd’hui.
Mois de septembre
C’est le mois consacré à Saint Michel-Archange et aux Saints-Anges. Vertus recommandées : le désir du Ciel et la prière pour les âmes du Purgatoire.
Les grandes fêtes du mois
Le mois de septembre est riche de nombreuses grandes fêtes (dont 3 de la Très Sainte Vierge).
8 septembre : fête de la Nativité de la Très Sainte Vierge Marie (la “Noël” de Marie) ; fille de Sainte Anne et Saint Joachim, elle serait née à Jérusalem selon une ancienne tradition transmise par l’Église d’Orient. En France, la fête de la Nativité de la Sainte Vierge porta longtemps le titre de Notre-Dame Angevine, rappelant que la Vierge Marie apparut en 430, près de Saint-Florent, au saint évêque Maurille d’Angers pour lui demander l’institution de la fête de sa Nativité.
12 septembre : fête du Saint Nom de Marie. En l’année 1683, ce jour-là, octave de la Nativité de la Vierge, les troupes du roi de Pologne Jean III Sobieski, aidées par la prière du saint frère capucin, Marc d’Aviano, battirent les Turcs qui assiégeaient Vienne, la capitale de l’Autriche ; ceux-ci s’enfuirent et à partir de ce moment, les Turcs, de siècle en siècle, ne cessèrent de reculer en Europe. On attribua cette victoire à l’intercession de la Vierge ; en effet, d’Aviano et Sobieski avaient invoqué le Nom de Marie, Reine du Ciel, au matin de la bataille ; aussi, le pape Innocent XI décida en action de grâces d’établir une nouvelle fête liturgique : celle du Saint Nom de Marie.
14 septembre : fête de la Croix glorieuse (appelée aussi : fête de “l’Exaltation de la Sainte Croix”).
Grâce à Sainte Hélène, la mère de l’empereur Constantin, on fit, en l’an 326, la découverte (“l’invention“, disait-on alors) de la Sainte Croix du Sauveur à Jérusalem, non loin du saint Sépulcre ; peu de temps après, l’empereur fit construire la magnifique Basilique de l’Anastasis (= “de la Résurrection”) ; elle fut “dédicacée”, c’est à dire consacrée au culte, en 335. La Croix fut dérobée par les Perses puis récupérée par l’empereur Héraclius en 628 ; à partir de ce moment de grande joie, l’Église d’Orient décida de fêter dignement la Croix retrouvée en instituant cette fête de “l’Invention de la sainte Croix“.
O crux, ave, spes unica (Salut, ô Croix, [notre] unique espérance)
[Extrait de l’hymne Vexilla Regis, composée vers 569, par Venance Fortunat, poète et évêque de Poitiers, à l’occasion du transfert de reliques de la Sainte Croix (données par l’empereur de Constantinople) au monastère de Poitiers fondé par Sainte Radegonde ; celui-ci prendra alors le nom d’Abbaye Sainte-Croix].
15 septembre : fête de Notre-Dame des Douleurs ; en ce jour, l’Église honore les “7 douleurs” de Notre-Dame, les 7 glaives qui transpercèrent son Cœur maternel :
-la prophétie du vieillard Siméon au jour de la Présentation de Jésus au Temple (fêtée le 2 février, 40 jours après sa naissance)
-la fuite en Égypte,
-la disparition de l’Enfant Jésus pendant 3 jours, lors du pèlerinage de Jérusalem,
-la séparation d’avec son Fils au début de Sa vie publique,
-la rencontre de son Fils Jésus sur le chemin de la Croix,
-l’agonie et la mort de Son Fils bien-aimé sur la Croix,
-la réception du Corps de Jésus à la descente de la Croix et son abandon dans le tombeau.
29 septembre : fête des 3 Archanges : St Michel (“Ange gardien de la France”) et Saint Gabriel (“messager du Très-Haut“, celui qui fit “l’Annonce à Marie”) et Saint Raphaël (l’ange qui apparaît dans un des plus touchants livres de la Bible, le Livre de Tobie).
Quelques-uns des grands Saints du mois
le 2 :Les Bienheureux Martyrs de Septembre (1792) ; le 31 août, le député Tallien avait déclaré à l’Assemblée : “Nous avons fait arrêter les prêtres perturbateurs ; sous peu de jours, le sol de la liberté sera purgé de leur présence”. Ces prêtres “perturbateurs” étaient simplement ceux qui n’avaient pas voulu trahir l’Eglise, refusant que celle-ci soit séparée du Saint-Siège de Rome et obligée d’obéir à l’Etat. Ils étaient trois évêques dont celui de notre diocèse de Saintes : Pierre-Louis de la Rochefoucauld ; cent-neuf autres prêtres et religieux et quelque 3000 autres chrétiens témoignèrent, en ces jours, par le martyre. A Paris, un des commissaires massacreurs s’écria : “Je ne comprends pas ces gens ; ils allaient à la mort comme on va à un mariage“.
le 3 : Saint Grégoire le Grand (537-604) : un des 4 “Pères” de l’Église latine. Admirable réformateur de l’Église, il donna son nom au chant dit “grégorien” qui allait devenir le “chant propre de l’Église romaine” -ou latine– [2ème Concile du Vatican, Constitution sur la Sainte Liturgie -Sacrosanctum concilium-,116].
Il fit ajouter le Pater dans la liturgie de la messe ; il est à l’origine du chant en l’honneur de Marie, le Regina caeli, composé pour remercier le Ciel d’avoir fait cesser une terrible peste qui ravageait Rome. C’est lui, “Pontife Souverain”, qui voulut, le premier, se faire appeler “Serviteur des serviteurs de Dieu“.
le 13 : Saint Jean Chrysostome (“Bouche d’or“), un des 4 “Pères” de l’Église “grecque” (appelée souvent aujourd’hui “l’Église d’Orient”).
Aujourd’hui, les chrétiens d’Orient sont encore divisés entre catholiques (latins, arméniens, syriaques, maronites etc.) et orthodoxes.
Traditionnellement, on distingue, parmi les grands théologiens, les “Pères” (qui ont vécu avant le VIII° siècle et jusqu’à Saint Jean de Damas ou Damascène) et les “Docteurs“, qui, eux, ont vécu et enseigné à partir du VIII° siècle. Parmi les derniers “Docteurs” proclamés par l’Église : Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et Sainte Hildegarde de Bingen (cf. ci-dessous, le 17).
le 17 : Saint Robert Bellarmin, cardinal, “Docteur de l’Église” (1542-1621). D’une immense culture, d’une grande douceur et amabilité, il fut l’auteur d’un “Petit Catéchisme” si bien fait qu’un chef protestant de l’époque s’écria : “C’est ce livre qui nous a perdus”.
En 1605, à la mort du Pape Clément VIII, on voulut le faire pape, mais il réussit à y “échapper” en s’écriant devant les autres cardinaux : “Prenez garde ! Dans ma famille, on vit très vieux, presque centenaire“…
Le 17, on fête aussi Sainte HILDEGARDE de BINGEN : née en 1098 en pays rhénan, moniale, mystique, visionnaire, elle écrit le Sci vias (“Connais les voies [du Seigneur]” ; d’une immense culture, non seulement elle nous laisse des œuvres musicales admirables, mais elle nous lègue des connaissances médicales et diététiques prodigieuses, souvent sur révélations. Par prudence et humilité, elle voulait suivre les conseils de St Bernard de Clairvaux († 1153). Admirée, consultée par les plus hauts prélats de son temps, elle prêche hors de son monastère, dans toute la Rhénanie et jusqu’à Metz. Elle meurt en 1179. Béatifiée dès 1244.
Benoit XVI, qui l’admirait immensément, la proclame en 2012 “Sainte” et “Docteur de l’Eglise“.
le 19 : Saint Janvier : évêque de Bénévent à la fin du 3ème siècle, patron de Naples, il est célèbre par le miracle du sang ; en effet, son sang se liquéfie et rentre en ébullition 3 fois par an (dont ce 19 septembre, jour de sa fête). Les Italiens et spécialement les Napolitains craignent un désastre si son sang ne se liquéfie pas. Il mourut martyr en l’an 305.
Le 19, on fête aussi NOTRE-DAME de la SALETTE ; après les apparitions de la Rue du Bac en 1830, c’est la 2ème des nombreuses apparitions de Marie lors de ces deux derniers siècles (en 1846) ; elle précède celles de Lourdes en 1858.
Le message de La Salette, très sévère pour les pécheurs et en particulier les clercs, eut du mal à être accepté dans l’Eglise. Le curé d’Ars lui-même, dit-on, hésita à croire au début ; mais dès 1851, les Apparitions de la Salette furent reconnues par l’Eglise. Le sanctuaire de “Marie qui pleure” (sur les péchés des hommes) est dans un site admirable, au cœur des Alpes.
L’une des tristesses de Marie était la non-sanctification du dimanche (jour de repos car “Jour du Seigneur“) par tant et tant de chrétiens.
le 21 : Saint Matthieu l’Évangéliste ; Lévi ou Matthieu, publicain (= percepteur d’impôts), fut, un jour, interpellé par le Christ : “Viens, suis-moi” ; alors, “il se leva et Le suivit”.
le 23 : depuis 2002, on fête le grand Saint (Padre) Pio, le stigmatisé de Pietrelcina (près de St Michel du Mont Gargan – au sud-est de l’Italie-) ; il fut sans doute le plus grand charismatique du XXème siècle ; thaumaturge, il semait les miracles autour de lui ; il avait, entre autres, le don de bilocation. Confesseur infatigable –à l’exemple du Curé d’Ars-, il avait le don de comprendre -et de se faire comprendre- dans toutes les langues.
le 27 : Saint Vincent de Paul : simple petit paysan des Landes (né le 24 avril 1581, à Pouy près de Dax), il devint pourtant conseiller du roi Louis XIV au Conseil de Conscience (chargé des Affaires religieuses).
Ordonné prêtre en 1600, il est capturé en 1605 par des Barbaresques (les pirates musulmans d’Afrique du Nord) ; il est vendu comme esclave, mais réussit à s’enfuir de Tunis après avoir converti son maître.
Revenu en France, il va devenir ce “géant de la Charité” que l’on connaît ; il fonde plusieurs congrégations chargées de venir au secours des plus pauvres (telle celle des “Filles de la Charité“) ; il crée un hôpital spécial pour les “Enfants Trouvés“(abandonnés).
Mais il va aussi créer une Congrégation chargée de l’instruction des jeunes filles (“l’Union chrétienne de Saint Chaumond”). Il est ainsi responsable d’une sorte de “révolution” ; en effet, jusque-là, on n’imaginait pas que des religieuses puissent vivre en dehors d’un couvent, en une vie contemplative ; désormais, des religieuses vont aller évangéliser en parcourant les rues et les places.
Epuisé par ses travaux, il meurt le 27 septembre 1660 à Paris. Quelque temps avant sa mort, il parlait avec la Reine-mère Anne d’Autriche ; comme celle-ci lui disait son admiration pour tout ce qu’il avait accompli, Monsieur Vincent lui répondit : “J’ai fait si peu“. La reine, surprise, lui demanda :”Mais qu’auriez-vous pu faire de plus ??“. Et lui de répondre : “Davantage“…
Toute la journée au coeur de ville. La rentrée rime souvent avec bonne résolution !
Avec le forum on n’a plus d’excuse. Si vous avez envie de pratiquer une activité sportive, de vous initier à la photo ou encore à la philatélie, grâce au forum, vous pourrez rencontrer et échanger avec les associations et même tester les activités avant de vous engager.
De 10h00 à 17h30 plus d’une centaine d’associations entre les rues Audry de Puyravault, République et la place Colbert à Rochefort.
Dimanche 8 septembre : fête de la nativité de la sainte Vierge Marie.
Fille de Sainte Anne et de saint Joachim, Marie serait née à Jérusalem selon une ancienne tradition transmise par l’église d’Orient.
En France la fête de la nativité de la sainte Vierge Marie porta longtemps le titre de Notre Dame Angevine, rappelant que la Vierge Marie apparut en 430, près de St Florent le Vieil, au saint évêque Maurille d’Angers pour lui demander l’institution de la fête de la nativité.
Historique :
Elevée à partir de 1858 et achevée en 1860, l’église ND de Rochefort, illustre la mode aux tendances architecturales néo-gothiques de cette époque, elle est due à l’un des architectes les plus novateurs de son temps : Louis-Auguste Boileau, pionnier de l’architecture métallique.
Il est possible que le curé d’alors, l’abbé Jean-Baptiste Bouguereau, oncle du célèbre peintre, ait été mis en rapport avec cet architecte parisien grâce à son illustre neveu.
L’église Notre-Dame à Rochefort a été conçue par l’architecte Louis-Auguste Boileau (1812-1896), celui-là même qui a dessiné les plans de l’église Saint-Eugène à Paris; achevée vers 1855 c’est la première église construite en fer et en fonte en France. Mais, pour Notre-Dame, Boileau est revenu à une conception plus traditionnelle en privilégiant la pierre. Malgré le choix de ce matériau, il a voulu assurer, comme avec le métal, une certaine légèreté à l’édifice ; et bénéficier ainsi de vastes espaces pour les fenêtres.
En conséquence, l’église s’élève avec élégance. Les colonnes fines et élancées font 70 cm de côté et s’élèvent à 7,50m. On comprend, qu’à l’époque, la Commission des Travaux publiques ait émis quelques craintes… L’édifice est cependant achevé, selon les plans, en 1860. La pierre calcaire utilisée s’est avérée très dure. L’église est dédiée à la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie, mais son nom paroissial sera simplement «Notre-Dame».
Le style néogothique a permis d’habiller le chœur d’une très vaste verrière, créée par l’atelier G. P. Dagrand à Bordeaux, dans les années 1890. Les trois splendides vitraux consacrés à la vie de Marie illuminent le chœur :
Naissance, à gauche, Marie est sur les genoux d’une servante, entourée par sainte Anne et saint Joachim,
Assomption, au centre,
Annonciation, à droite, l’archange Gabriel s’adresse à Marie. D’autres vitraux sont consacrés aux litanies de la Vierge.
Du 15 au 20 août, des membres des Equipes Notre-Dame venus du monde entier se sont retrouvés à Turin, dans le nord de l’Italie, pour le XIIIème Rassemblement International des Equipes Notre-Dame. Récit de Maryse et Jean-Claude qui y ont participé.
Pour nous c’était une grande première puisque nous n’avions jamais participé à un rassemblement international. Après avoir atterri à Milan le vendredi et passé quelques jours dans cette très belle ville avec sa cathédrale d’une splendeur magnifique, le lundi matin nous voilà partis vers TURIN, ville du rassemblement.
Dans le train, nous étions entourés de Brésiliens animés comme nous par la même hâte de découvrir l’ambiance de ce 13ème rassemblement international. Assis en face d’un jeune prêtre Brésilien nous avons rapidement échangé en anglais et en espagnol sur nos parcours respectifs.
Lundi 15, ça y est nous y sommes, au milieu d’une foule de 8000 personnes environ venant de tous les continents avec la même passion commune, « le Christ » et la joie de vivre en couple sous Son regard. La cérémonie d’ouverture est très belle dans l’Arena Torino Inalpi même si des petits soucis de connexion ne nous permettent pas d’avoir les traductions des discours dont l’inaugural de Clarita et Edgardo Bernal responsables internationaux. Nous aurons ce même problème lors d’une partie de la matinée du jeudi matin ; heureusement, nous avons pu récupérer tous les textes sur le site TORINO 2024.
Le fil conducteur de notre rassemblement sera plusieurs méditations approfondissant l’Évangile des disciples d’Emmaüs avec des interventions successives tous les jours du professeur Marina Marcolini. Un régal, nous avons été transportés tout au long de ces 5 interventions du mardi au samedi par cette oratrice animée d’une passion des Évangiles. Sans vouloir vous faire partager l’ensemble des interventions des divers orateurs, nous avons été plus particulièrement touchés par des témoignages poignants où la foi, l’amour de Jésus pour chacun de nous permet de soulever des montagnes. Nous retiendrons aussi la conférence intitulée « la synodalité un chemin de communion » où sœur Nathalie Bécquart, secrétaire du synode des évêques, nous a parlé d’une démarche à l’image de notre « DSA » à l’échelle planétaire.
Chaque jour, une Eucharistie bien vivante, animée par les SR (super région) et une chorale internationale composée d’équipiers chanteurs et musiciens nous ont nourris. Pendant ces 5 journées, nous avons pu aussi découvrir Turin et ses saints et acteurs sociaux dont Saint Jean Bosco. Nous avons assisté à un spectacle théatral :« deux en marche, le monde change aujourd’hui » d’une grande qualité, puis le dernier jour à la passation émouvante des équipes en responsabilité pour l’international (ERI). Trois soirs nous avons participé aux réunions brassées qui nous ont permis de vivre de belles rencontres et des échanges riches entre équipiers.
Bien sûr, nous ne pouvons oublier celui qui, par l’intercession de la Vierge Marie, a permis que tout cela se réalise, le Père Caffarel.
A titre personnel, nous sommes « HEUREUX et TOUCHÉS »par ce rassemblement et tellement reconnaissants à Christian et Nicole qui nous ont permis d’intégrer les équipes.
Nous repartons de Turin avec le « Cœur brûlant ».
Dans la joie, de vous retrouver le 22 septembre à Royan, soyez assurés de nos prières.
Maryse et Jean-Claude
PS : Nous avons eu la joie de retrouver au rassemblement 2 autres couples de notre secteur : Marie-Hélène et Alain, et Sandrine et Henri-François.
Quelques photos de ces jours à Turin
CONTACTS sur notre département de Charente Maritime
Responsable de l’équipe END de Rochefort : Emmanuel et Marie-Edith DUMORTIER @ : dumortier.emmanuel@wanadoo.fr ☏ 05.46.84.90.27 Portable :06.82.09.70.84
Secteur La Rochelle-Saintes : Foyer responsable : RODRIGUEZ JEAN CLAUDE et MARYSE jc.rodriguez0066@orange.fr
Le conseiller spirituel : père SUREAU Jacques jacquessureau@gmail.com M
Équipes Notre Dame Nationales : 49, rue de la Glacière 75013 PARIS – ☏ 01.43.36.08.20 – @ : contact@equipes-notre-dame.fr
Depuis 2015, hormis les années Covid (2020 et 2021), la commune de Champagne organise une fête estivale.
En 2015, nous avons accueilli les Nuits Romanes, en 2016 c’était Cigogne en fêtepuis depuis 2017, nous organisons Champagne en fête avec un spectacle gratuit et une représentation musicale.
Champagne en fête se déroulera
Vendredi 23 Août.
Cette année, nous avons fait appel :
En 1ère partie, 19h30, la Gym Volontaire de Champagne fera une représentation de Country.
En 3e partie, vers 22h00, « HD cover’s Live acoustic », terminera la soirée musique et en chansons
Cette soirée est gratuite et pour tout public.
Elle est financée par la Commune de Champagne, le Département de la Charente Maritime, la Communauté d’Agglomération de Rochefort Océan et Carrefour Market de Pont l’Abbé d’Arnoult.
Accueil à partir de 18h30.
La restauration est assurée par 2 associations de Champagne : Champagne événements pour le salé (sandwiches, frites…) La Gym Volontaire pour buvette et les desserts.
Un grand parking sera à disposition des visiteurs.
Venez en famille ou entre amis et faites passer l’info…
Vendredi 23 août : – De la seigneurie de Rouffiac à l’Abbaye aux Dames de Saintes.
Dernier carré du matin, les pédalants s’élancent ensuite le long de la Charente pour un premier passage sur le bac à chaîne de Dompierre sur Charente puis celui de Chaniers.
Sur le terrain, les staffs et les TTV s’activent pour tout ranger et retrouver l’ensemble des participants du pelé pour un pique nique en commun à Saintes.
Les pédalants sont ensuite arrivés à l’abbaye aux Dames, sous les acclamations des staffs, TTV et des familles arrivées pour l’occasion.
Nous célébrons ensuite ensemble la dernière messe de ce pelé, en présence du Père Bertrand Monnard, vicaire général. Puis, le dernier carré… les cris d’équipes, les dernières récompenses (mention particulière pour le déguisement insolite de l’équipe Clara Luce !), les remerciements pour tous ceux qui ont fait de ce pelé une réussite : animateurs, staffs, ABS, TTV, sans oublier Fabienne notre nouvelle OGM et Père Jean-Eudes notre fidèle GGG !
Une édition 2024 inoubliable !
Dernières photos souvenir
Qui sommes-nous ?
Le Pélé VTT, c’est 5 jours à vélo d’un groupe de jeunes pédalant en direction d’un sanctuaire marial ou d’une cathédrale. Pour eux c’est un événement inoubliable qui permet de progresser dans la foi.
Né en 2001 à Rocamadour, ce pélé existe aujourd’hui dans 36 départements et regroupe 5000 participants. Chacun y trouve sa fonction et la couleur de T-Shirt qui va avec.
Quelques abréviations que vous découvrirez dans les textes :
GGG : (Grande Gueule Générale) est prêtre. C’est le responsable devant l’Eglise.
OGM : (Organisateur Général Merveilleux) a le BAFD. C’est le responsable devant la loi.
Le GPS : (Guide Pour le Salut), l’évêque du diocèse.
Les pédalants : (jeunes de 11 à 15 ans) sont en équipes de 12. Ils font du vélo, des jeux, des temps de prière et vivent une grande aventure.
Le Staff : (jeunes de 16 à 18 ans) montent et démontent le camp, animent les veillées et ont des temps spi. Ils découvrent qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir.
Les animateurs : Les animateurs (jeunes de 18 à 25 ans) accompagnent les pédalants. Ils sont deux par équipe. Ils reçoivent la responsabilité des plus jeunes. Ils peuvent valider leur BAFA.
Les TTV : (Très Très Vieux), s’occupent de la logistique : repas, sécurité, infirmerie, matériel, secrétariat, etc. Ils se mettent au service de l’évangélisation des jeunes.
Les ABS : (Abbés, Sœurs et Séminaristes) pédalent avec les jeunes, célèbrent les sacrements et prient ensemble. Ils témoignent de la vie consacrée.
Le GGG : (Grande Gueule Générale) est prêtre. C’est le responsable devant l’Eglise.
L’OGM : (Organisateur Général Merveilleux) a le BAFD. C’est le responsable devant la loi.
Galerie de photos prises pendant le Pèlerinage VTT 2024
Le Pèlerinage diocésain sur l’île Madame a eu lieu le jeudi 22 août, il fut présidé par Mgr François Jacolin évêque de Luçon, administrateur apostolique du diocèse de la Rochelle, accompagné par le curé du lieu, le père Arockiya, le curé de Rochefort, le père Mickaël Le Nezet et une quarantaine de prêtres diocésains.
Sanctuaire de Port des Barques
Plusieurs centaines de pèlerins sont venus à ce traditionnel pèlerinage dédié aux 829 prêtres et religieux, déportés sous la Terreur révolutionnaire pour avoir refusé de prêter serment à la Constitution civile du clergé de 1790 qui coupait les ponts avec Rome et faisait dépendre les prêtres du gouvernement.
A 9h45 les pèlerins ont été accueillis au sanctuaire de port des Barques.
Après un temps spirituel et d’évocation du martyre des prêtres et religieux sur les deux pontons de Rochefort, le “Washington” et les “Deux Associés”, la procession s’est mise en route vers 11h00 par la Passe aux Bœufs vers l’Île Madame et la croix des galets. La détention fut abominable puisque 547 prêtres succombèrent en quelques mois. L’Église de La Rochelle et Saintes a obtenu en 1995 la béatification de Jean-Baptiste Sousy, vicaire général et de 63 de ses compagnons, à Rome, par le pape Jean-Paul II.
Libérés après la chute de Robespierre, en 1794, les survivants veilleront à ne pas insister sur leur martyre afin de réconcilier les Français entre eux et de contribuer à la paix civile. Ils accorderont aussi leur pardon à leurs bourreaux, ainsi que le demande l’Évangile. Selon l’usage chaque pèlerin, après avoir récité le chapelet pendant la marche, a pu déposer une pierre porteuse de ses intentions , ou de ses demandes de grâces, sur la grande croix de galets.
Au retour, après le pique – nique, à 14h30 Mgr F. Jacolin à dispensé un enseignement aux pèlerins puis il a présidé la messe à 15h00.
L’envoi a eu lieu à 17h00.
La mairie de Port des Barques et ses services techniques ont été vivement remerciés pour leur soutien logistique.
Ce crucifix, confectionné par les détenus fut miraculeusement préservé, malgré les fouilles, car tous les objets religieux, furent confisqués.
Après une nuit un peu fraîche, dès 9h, nous vaillants pédalants avons repris la route en direction d’Ozillac, pendant que les staffs et les personnes de bonne volonté qui nous soutiennent (TTV) démontaient le campement.
Petite visite de l’église de Chevanceaux, puis, direction Sousmoulins sur les chemins parfois boueux d’un parcours vallonné, avec descentes et montées qui rend le pelé assez sportif, cette année !
C’est sur le terrain des sports d’Ozillac que l’ensemble des participants s’est retrouvé en fin d’après midi, toujours sous un soleil bien agréable.
Après le goûter et les douches, les jeunes ont eu des temps de détente avant le dîner et la veillée.
Sur place nous avons rencontré le père Nicolas Joly, , responsable adjoint du pelé VTT national, appelé familièrement “GGG Intergalactique adjoint.”
Merci à lui de sa visite et de son témoignage auprès des jeunes.
Retrouver des photos de la journée
Qui sommes-nous ?
Le Pélé VTT, c’est 5 jours à vélo d’un groupe de jeunes pédalant en direction d’un sanctuaire marial ou d’une cathédrale. Pour eux c’est un événement inoubliable qui permet de progresser dans la foi.
Né en 2001 à Rocamadour, ce pélé existe aujourd’hui dans 36 départements et regroupe 5000 participants. Chacun y trouve sa fonction et la couleur de T-Shirt qui va avec.
Quelques abréviations que vous découvrirez dans les textes :
GGG : (Grande Gueule Générale) est prêtre. C’est le responsable devant l’Eglise.
OGM : (Organisateur Général Merveilleux) a le BAFD. C’est le responsable devant la loi.
Le GPS : (Guide Pour le Salut), l’évêque du diocèse.
Les pédalants : (jeunes de 11 à 15 ans) sont en équipes de 12. Ils font du vélo, des jeux, des temps de prière et vivent une grande aventure.
Le Staff : (jeunes de 16 à 18 ans) montent et démontent le camp, animent les veillées et ont des temps spi. Ils découvrent qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir.
Les animateurs : Les animateurs (jeunes de 18 à 25 ans) accompagnent les pédalants. Ils sont deux par équipe. Ils reçoivent la responsabilité des plus jeunes. Ils peuvent valider leur BAFA.
Les TTV : (Très Très Vieux), s’occupent de la logistique : repas, sécurité, infirmerie, matériel, secrétariat, etc. Ils se mettent au service de l’évangélisation des jeunes.
Les ABS : (Abbés, Sœurs et Séminaristes) pédalent avec les jeunes, célèbrent les sacrements et prient ensemble. Ils témoignent de la vie consacrée.
Le GGG : (Grande Gueule Générale) est prêtre. C’est le responsable devant l’Eglise.
L’OGM : (Organisateur Général Merveilleux) a le BAFD. C’est le responsable devant la loi.