A Noël, prions pour la vie.

Les évêques de France invitent les fidèles à porter une intention particulière concernant la fin de vie à Noël, le moment où Dieu lui-même vient assumer notre condition humaine.

Cette intention peut-être lue dans les paroisses et communautés de France lors de la nuit et du jour de Noël.

Intentions de prière

En cette nuit/ce jour de Noël, où Dieu vient visiter notre humanité et vivre une vie semblable à la nôtre, nous te prions Seigneur, avec toutes les paroisses de France, pour le respect et la protection de la vie, de sa conception à sa fin naturelle.

Que la lumière de Bethléem éclaire nos gouvernants afin que ceux qui sont chargés d’élaborer et de voter la loi, prennent mieux conscience du fait que toute vie est un don pour l’humanité, que toute vie est digne et respectable.

Qu’en cette nuit/jour de Noël, chacun d’entre nous toujours plus conscient du don merveilleux de la vie, s’engage davantage auprès des plus fragiles et des plus vulnérables pour construire une civilisation authentiquement humaine.

Dans le ciel de Paris : flèche et coq sur la cathédrale.

En vidéo la renaissance de la flèche de la cathédrale de Paris

La flèche de Notre-Dame, encore dissimulée par un impressionnant échafaudage, a retrouvé sa place dans le ciel de Paris, un an avant la réouverture de la cathédrale prévue pour le 8 décembre 2024.

La flèche domine Notre-Dame à 96 mètres de hauteur

La flèche a retrouvé sa place dans le ciel de Paris : sa charpente en chêne massif est surmontée par la couronne et la croix, dorées, conformément au dessin originel de Viollet-le-Duc.
Ancré à 30 mètres du sol, au-dessus de la croisée du transept, ce chef-d’œuvre de charpente est un enchevêtrement complexe d’environ 1000 pièces de bois.
Préalablement, la flèche avait été taillée par les charpentiers, en Lorraine, et ajustée avec succès en atelier.
Pour l’installation de la flèche, un échafaudage de 600 tonnes comptant 48 niveaux a été monté : une construction savante et complexe étroitement imbriquée avec la charpente, qui a permis d’installer la flèche.

Un nouveau coq pour la flèche de Notre Dame

Le magnifique Coq, doré à la feuille, est une reproduction quasi à l’identique du Coq placé au sommet de la cathédrale de Notre-Dame-de-Paris. Lino Carniato s’est inspiré des plans de 1856 ; artisan à la retraite il a  refait dans son garage de Saint-Félix-de-Villadeix, le coq de Notre-Dame.

 

 

 

Soutien à l’association :”100 pour un toit”

L’association prend en charge 4 familles étrangères de Rochefort  qui n’ont pas de papiers, et sont en attente de régularisation.

Ces familles n’ont pas de ressources, sauf une aide facultative du Conseil Départemental qui n’excède pas 300 € par mois, et  – soutien précieux – une prise en charge par la Sécurité Sociale de leur santé.

Le principe du 100 pour 1 Toit : si 100 donateurs donnent 5€ par mois, on peut assurer le loyer et les charges d’une famille. Actuellement, nous ne pouvons pas accueillir plus de familles ou de personnes seules.

L’association accompagne chaque famille pour les démarches administratives, l’apprentissage du français etc. Contribue à leur insertion dans la société. Dans la communauté paroissiale de Rochefort – qui compte pour plus de 20% de nos donateurs – certains font travailler ces personnes en Chèque Emploi Service.

Les relations établies avec ces personnes exilées et entre les membres de cette association non confessionnelle sont d’une grande richesse humaine que des chrétiens peuvent porter dans la prière. L’association recherche : des “coups de main” ponctuels (aide aux vente de gâteaux qui se font déjà) des idées de financement, des participations à de l’accompagnement..

Se signaler à : 100pour1toit.pr@gmail.com

ou à : Philippe Bortolus – 06 09 66 15 37

« Il faut être petit pour comprendre le mystère de Noël », par Mgr Scherrer

On désacralise toujours plus Noël en en faisant une fête commerciale où l’on ne pense qu’à faire bombance et à s’échanger des cadeaux coûteux. Quel dommage ! Car Noël, c’est une nouvelle prodigieuse, un évènement merveilleux : c’est Dieu qui vient à la rencontre de l’homme. Parce qu’il est tout amour, ce Dieu descend en quelque sorte de sa hauteur et se fait l’un de nous. Dans la fragilité d’un tout-petit, il vient cacher le trésor d’une vie par laquelle il veut régénérer l’humanité toute entière. À travers les yeux d’un enfant, il nous dit la valeur incommensurable de toute vie humaine, quelle qu’elle soit.

 

Noël, c’est donc d’abord un appel à reconnaître et à défendre la dignité des plus vulnérables : le petit enfant dans le sein de sa mère, la personne malade ou handicapée, le vieillard en fin de vie. Parce qu’ils sont vulnérables, précisément, ils réclament de notre part un surcroît d’attention et de bienveillance ; ils demandent tout simplement à être accueillis et aimés pour ce qu’ils sont. C’est tellement important de le redire.

Car notre société qui regorge d’inventions géniales, de richesses scientifiques et technologiques, notre société qui dispose de tous les biens matériels nécessaires et qui est au top de la modernité est pourtant une société qui a peur du handicap et de la vulnérabilité. C’est ce qui explique que la tentation de l’eugénisme et de l’euthanasie n’a jamais été aussi prégnante qu’aujourd’hui.

Or, une société qui ne respecte plus la dignité de la personne, une société qui refuse d’accueillir la vulnérabilité, une société qui menace en définitive la vie des plus faibles est une société qui risque à tout moment de basculer dans l’inhumanité et la barbarie.

Échangeons nos cadeaux, vivons joyeusement la fête ! Oui ! Mais n’oublions pas la foule innombrable des petits et des mal-aimés que notre société exclut. Bon Noël à tous !

† Mgr Thierry SCHERRER

Pour écouter il est né le divin enfant cliquer ICI (clip officiel des prêtres)

 

 

 

Concert à Soubise

L’ensemble vocal féminin “Les CHORDIALES” se produit à l’église de                                                     Soubise  –  Dimanche 17 décembre à 16 h

En hommage à Marie-Thérèse Grézillier  (1926-2022)

Mme Grézillier, pianiste, a beaucoup aidé le Secours Catholique de Rochefort par ses concerts en l’église d’Echillais. Un grand merci à elle et à sa chorale.

Fête de Notre Dame de GUADALUPE

Ce mardi  12 décembre, l’Église universelle célèbre la fête de Notre-Dame de Guadalupe, à Rome une messe sera célébrée en la Basilique Saint-Pierre
Cette festivité est chère au Pape François.

Selon la tradition: le 12 décembre, en la Basilique Saint-Pierre, le Saint-Père préside la  messe dédiée à Notre-Dame de Guadalupe.  Outre le latin, la liturgie laisse une grande place aux langues officielles du continent américain: espagnol, portugais, anglais. Parmi les cantiques qui résonneront sous la coupole de la Basilique, il y aura le célèbre chant à Marie “La Guadalupana”.

Tepeyac, une colline de Mexico choisie par la Vierge

Tout commence en décembre 1531. Mexico est depuis peu la capitale de la Nouvelle-Espagne, mais conserve quelques traces de la civilisation aztèque qui a dominé la région pendant près de 700 ans. Une civilisation pratiquant une religion polythéiste et prônant de cruels sacrifices humains.

Le 9 décembre, une «Dame» interpelle un pauvre Indien marchant sur un chemin d’une colline au nord-ouest de la ville de Tepeyac où il a été baptisé six ans plus tôt. Elle lui demande : «Juanito, le plus humble de mes fils, où vas-tu?», et se présente à Juan Diego comme la «Mère du Vrai Dieu». Elle lui donne des instructions pour que l’évêque, Juan de Zumárraga, fasse bâtir une église sur le lieu de cette apparition.

La Vierge apparaît plusieurs fois à Juan Diego,  et il se produit un fait extraordinaire : Juan Diego, son oncle étant mourant, décide de négliger un rendez-vous avec la Vierge; il a préféré aller chercher un prêtre pour que celui-ci assiste son oncle. Il s’en excuse le lendemain, et la Vierge,  en souriant, lui apprend que son oncle est guéri.  Il faudra un signe surnaturel pour que le prélat se laisse convaincre :  Marie demande à Juan Diego, en plein mois de décembre, de cueillir des fleurs qui sont apparues et elle en fait un bouquet à remettre à l’évêque. Ce 12 décembre, le jeune mexicain redescend donc de la colline en portant dans son habit (le tilma) un bouquet de roses.

Arrivé devant l’évêque, Juan Diego déplie sa tunique : les roses odorantes tombent à terre, et l’assistance, stupéfaite,  aperçoit  sur la tunique de l’Indien, une icône, en pied, de la Mère de Dieu, la Dame telle qu’elle est apparue sur la colline : l’évêque est conquis, un premier sanctuaire est construit en 1533.

Le tilma, vêtement de pauvre qualité fait à base de fibres de cactus, aurait dû se détériorer en quelques  années, mais il est  toujours intact dans le sanctuaire Notre-Dame de Guadalupe, la nouvelle basilique érigée en 1976, où il est vénéré. C’est le  sanctuaire marial le plus visité au monde, signe de la vitalité et de l’universalité de la dévotion envers la «Mère des Amériques».

Notre-Dame de Guadalupe et les papes depuis le 20e siècle

En 1910, alors que le culte de Notre-Dame de Guadalupe est déjà très ancré, saint Pie X proclame la Vierge de Guadalupe patronne de l’Amérique latine. Un patronage étendu aux Philippines par Pie XI en en 1935 et aux Amériques par Pie XII en 1946 qualifié Notre-Dame de Guadalupe de «Reine du Mexique et d’Impératrice des Amériques». 

Les scientifiques sont perplexes depuis le départ  car l’image est colorée par des pigments totalement inconnus, selon le pape Pie XII il s’agit de  «pinceaux qui ne sont pas de ce monde». De plus l’agrandissement des photos de la pupille de l’icône a révélé la présence du reflet de l’image de Juan Diego, fidèle aux lois de l’optique (les 3 reflets de la loi de Purkinje : cornéen, cristallin inversé et rétinien). On y voit Juan Diego comme le voyait l’œil de la Vierge. Sur l’icône figurent de nombreuses étoiles qui correspondent aux constellations célestes telles qu’elles étaient visibles au moment de l’apparition, enfin la grande fleur stylisée de la tunique correspond au symbole divin des Aztèques.

En 1961, saint Jean XXIII invoque Notre Dame de Guadalupe  «Mère des Amériques». En 1966, saint Paul VI envoie une rose d’or à la basilique Notre-Dame de Guadalupe, saint Jean-Paul II dès la première année de son pontificat, s’y rend au mois de janvier 1979. Il rédige à cette occasion une prière à la «Mère des Amériques». Vingt ans plus tard, toujours depuis le Mexique, il l’invoque comme «Étoile de la première et de la nouvelle évangélisation d’Amérique». Il béatifie Juan Diego le 6 mai 1990 et le canonise le 31 juillet 2002.

Le pape François est attaché à la Vierge de Guadalupe. Au cours de son voyage apostolique au Mexique en février 2016, il lui rend plusieurs fois de touchants hommages, déclarant par exemple : «la ‘Vierge Brune’ nous enseigne que l’unique force capable de conquérir le cœur des hommes est la tendresse de Dieu», en effet la Vierge de Guadalupe a les traits d’une indienne. Il met la rencontre entre Marie et Juan Diego à la portée de tout croyant : «Ne suis-je pas, moi, ta mère  ? ” nous dit Marie. 

D’après Adélaïde Patrignani – Cité du Vatican.

La conversion massive des Indiens

Le contexte de l’apparition de Notre Dame de Guadalupe est particulier : il se produit lors de la colonisation de l’Amérique par les Espagnols, débutée en 1510. La conversion des Indiens est massive et volontaire. C’est la raison pour laquelle le peuple mexicain sera profondément catholique.

Suite à l’apparition de la Vierge de Guadalupe, les conversions se multiplient à un rythme qui déroute les missionnaires franciscains et l’influence de l’apparition s’étendra à tout le continent.  Les autochtones viennent même de très loin pour recevoir le baptême. Ainsi, en 1539, neuf ans après l’apparition, près de neuf millions d’indiens se  convertissent.

Pour le pape Jean Paul II voilà « un grand exemple d’évangélisation parfaitement acculturée »

Article Aleteia

Dimanche 17 décembre : journée internationale des Migrants

“100 pour un toit Pays Rochefortais” vous invite – Dimanche   17 décembre      à partir de 15 h 30 Clos Lapérouse chemin de la Vieille Forme 17300  Rochefort 

A venir soutenir la journée internationale des migrants                                              en partenariat avec le Collectif Migrants 17.

Bénéfices reversés aux associations d’aide aux migrants.
Venez nombreux et en famille !
Programme  détaillé ci-dessous.
À bientôt donc !                     
Merci de faire circuler l’information
👉 𝟏𝟓𝐡𝟑𝟎 – 𝟏𝟖𝐡 : ateliers en famille, thème Noël  Solidarité
Encadrés par des animateurs Laurette et Compagnie, L’Or-en-Ciel et Fun & Calm, seront proposés aux enfants et à leurs parents, des jeux, des chansons, des contes, kamishibaï, des ateliers d’éveil créatif, d’arts-plastiques et de danse…  Après-midi d’amusement garanti tant aux enfants qu’aux parents.
Ouvert gratuitement aux familles de migrants 5 € conseillés pour les autres familles.
👉 𝟏𝟖𝐡𝟑𝟎 – 𝟏𝟗𝐡𝟑𝟎 Débat mouvant 
Coordonné par les acteurs associatifs (Migrants 17…), le débat mouvant consiste à soumettre une proposition à un groupe, puis à demander aux participants de prendre physiquement position pour ou contre elle, en allant au côté de la salle qui correspond à l’affirmation ou bien à la négation.
Après avoir laissé un temps de réflexion pour élaborer des arguments, on lance le débat avec la règle suivante : formuler des arguments pour expliquer sa position et changer de « côté » si les arguments de l’autre camp sont convaincants. Le débat mouvant permet ainsi aux participants d’élaborer et de justifier leur opinion en construisant des arguments.
👉 𝟏𝟗𝐡𝟑𝟎 – 𝟐𝟑𝐡 : petite restauration du monde et concerts
𝐌𝐞𝐥𝐯𝐢𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐍𝐮𝐚𝐠𝐞𝐬
Des chansons qui parlent de nous, des chemins que l’on arpente, des rêves que l’on invente.
L’interprétation et les textes véhiculent l’émotion, celle qui touche le cœur et fait frissonner la chair.
Le groove à la guitare et l’envie de vivre au cœur, Melvin nous emmène en voyage avec lui, dans les nuages.
𝐁𝐚𝐥 𝐭𝐫𝐚𝐝 𝐩𝐚𝐫 𝐃𝐢𝐝𝐢𝐞𝐫 𝐏𝐚𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐝
Danse et amusements en perspective !

 

Film exceptionnel : Prêtres des pontons de Rochefort – Saintes.

Vendredi 8 décembre à 19h00 au cinéma Atlantique-Ciné

Pour la première fois un film sur les prêtres réfractaires déportés à Rochefort pendant la terreur révolutionnaire en 1794 passe sur écran à Saintes, et en France. sous le titre : les oubliés de l’île, il a été tourné par Sébastien Cassen

Entrée gratuite sur réservation. (05.46.92.49.60) : 17 rue Champagne (St Georges Parc Atlantique) 17100 Saintes. 

Article de Sud-Ouest cliquer ICI

En 1794, la Révolution française reléguait les prêtres qui avaient refusé de prêter serment à la République révolutionnaire au prix de la rupture avec le pape et Rome( prêtres insermentés ).829 prêtres et religieux seront entassés sur d’anciens bateaux négriers ( les Deux associés et le Washington), au large de Rochefort, 527 mourront, en 1995 leur martyre est reconnu : 64 d’entre-eux seront béatifiés par le pape Jean-Paul II.

Le Saintais Sébastien Cassen illustre cette tragédie dans un documentaire visible à Saintes vendredi 8 décembre à 19h00.

Temps de l’avent 2023

Que fête-t-on pendant l’Avent ?

L’ Avent est le temps liturgique précédant la fête de Noël, où les chrétiens se préparent à célébrer la naissance de Jésus lors de la messe de minuit. Ce temps de préparation est marqué par la symbolique de l’attente et du désir.

Il commence le 4ème dimanche avant Noël.

Pendant ces quatre semaines d’attente, les foyers installent des crèches et un arbre de Noël avec des boules et des guirlandes.

Parfois, c’est toute la maison qui est décorée en vue des fêtes de Noël, où l’on s’échange des cadeaux de Noël. L’Avent est aussi le début de l’année liturgique.

Origines et histoire de l’Avent

Le mot « Avent » ne veut pas dire « avant Noël » ; il vient du latin adventus qui signifie « venue, avènement ». On l’employait autrefois en latin pour désigner la venue de Jésus Christ sauveur parmi les hommes.

Une tradition de l’Avent utilise la symbolique des bougies tout au long des quatre dimanches de l’Avent. Cette tradition s’appuie sur l’Ancien Testament et relie les chrétiens au peuple juif, qui fête Hanouka à partir du 11 décembre. Chaque dimanche de l’Avent, la coutume veut que les chrétiens allument progressivement une bougie sur les quatre, placées sur une couronne végétale.

– Le premier dimanche de l’Avent, la bougie symbolise le pardon à Adam et Eve
– Le deuxième dimanche, elle symbolise la foi des Patriarches en la Terre Promise
– Le troisième dimanche, c’est la joie de David, célébrant l’Alliance avec Dieu
– Le quatrième dimanche, elle symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice.

Signification et sens de l’Avent

L’Avent est la période où les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme à travers l’Enfant Jésus. De sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l’exception du péché.

Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes est lue lors de chaque messe dominicale de l’Avent. Elle redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe. L’Avent invite les chrétiens à découvrir ce que la venue de Jésus-Christ change dans leur vie pour mieux lui faire une place.

Le début de l’Avent marque aussi l’entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s’achever une année plus tard à la même période. L’ensemble du calendrier liturgique aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques).

 

 

 

 

 

 

 

Vivre l’Avent sous le signe de la solidarité

VIVRE L’ AVENT :  COMMENT SE PRÉPARER À NOEL SUR LA PAROISSE ?

►” Le Secours Catholique” propose une collecte de produits alimentaires,  non périssables de préférence, et de produits d’hygiène (dentifrice, gel douche, savon, shampoing, brosses à dents, mousse à raser, rasoirs, kleenex…)

Des cartons et des bacs sont mis à votre disposition pour déposer vos dons dans les églises.