L’école privée St Joseph de Rochefort au service de vos enfants

Adresse de cette école privée :

  • Ecole saint Joseph
  • 65, rue Voltaire
  • 17300 ROCHEFORT SUR MER
  • Tél : 05.46.99.07.46
  • Fax : 05.46.99.07.46

Equipe enseignante :

1: Capucine Legourd (classe B), 2; Agnès Morange (AESH), 3: Nathalie Moore (English teacher), 4: Philippine Caillaud (CM1), 5: Fanny Dauchel (CE2), 6: Aîcha Garnier (AESH), 7: Adèle Larue (CE1), 8: Nadège Guillet (Classe B) 9: Julie  Gaborit (CP), 10: Lorie Baranger (CM2), 11: Dorothée Prineau (Classe A).

L’école a construit son projet éducatif autour de :

  1. l’acquisition des savoirs
  2. l’ouverture sur la vie
  3. la construction de la personne dans le respect de sa liberté
  4. la recherche d’un éveil spirituel ou d’un approfondissement de la foi chrétienne, la quête et l’appropriation des valeurs de l’Évangile
  5. L’acquisition des savoirs

Enseigner, c’est guider, éveiller la curiosité, apprendre à apprendre tout en assurant la solidité des fondamentaux : lire, écrire, compter.

L’apprentissage de l’enfant est favorisé par la proposition d’activités et de démarches pédagogiques ciblées et diversifiées qui tiennent compte de la personnalité et des besoins de l’enfant. Une aide individualisée est mise en place pour les élèves en difficulté ainsi qu’une proposition de soutien le midi.

  1. Une école ouverte sur la vie :

Les activités, au même titre que les enseignements, contribuent à l’ouverture sur le monde d’aujourd’hui.

Ainsi, au cœur des activités scolaires, les enfants sont initiés à l’anglais dès la petite section de maternelle. Les cours, assurés par un professeur d’anglais, ont lieu deux fois par semaine selon une progression solide et structurée.

  1. La construction et l’épanouissement de la personne :

Il n’y a pas d’instruction sans désir d’éduquer.

Enseigner, c’est accompagner un groupe classe mais aussi chaque élève personnellement en tenant compte de ce qu’il est afin qu’il trouve la voie qui sera pour lui la meilleure.

  1. La recherche de l’éveil spirituel :

Ouvert à tous, notre établissement se veut témoin engagé de la Foi chrétienne

Mme Guillet, chef d’établissement

Les classes de l’école

L’école Maternelle

Elle comprend deux classes de cycle: Classe A et Classe B regroupant des élèves des 3 niveaux de Maternelle  Petite section ,Moyenne section et Grande section .Les enfants y sont accueillis dès l’âge de 2 ans et demi.

Le CYCLE 1 cible les premiers apprentissages. il est principalement basé sur la variété des découvertes et les multiples expérimentations qui doivent être vécues sur cette période d’âge afin d’accompagner le développement de l’enfant.

L’école élémentaire

Elle comprend cinq classes réparties en deux cycles :

 le CYCLE 2  (1 classe de CP, de CE1 et une classe de CE2) cible la période des apprentissages fondamentaux.

 Le CYCLE 3  ( 1 classe de CM1, 1 classe de CM2) est consacré aux approfondissements nécessaires à l’enfant.

Peu à peu, une place particulière est accordée à l’appropriation des méthodes de travail qui permettent à l’élève d’acquérir l’autonomie suffisante pour entrer au Collège.

Les classes possèdent une structure d’aide apportée aux enfants en difficulté provisoire qui est assurée par une enseignante spécialisée en adaptation, appelé le RA (regroupement d’adaptation). 

L’enseignante spécialisée du réseau rochefortais s’appelle Blandine Rauturier.

Dsc 1023

 Toutes les classes de l’école bénéficient dès la maternelle :

  • d’une initiation à la langue anglaise
  • d’un programme de découverte de l’informatique et d’internet (à partir de la Grande Section)

Contact :

 

La Saint Valentin, fête de l’amour, est catholique

Qui est saint Valentin ?

Valentin de Terni, plus connu sous le nom de saint Valentin est un moine qui a refusé de se soumettre à l’empereur Claude II Le Gothique, ce dernier voulait interdire le mariage pour éviter que les hommes soient tentés de rester avec leurs femmes plutôt que de partir à la guerre.

A cette époque l’empire romain, engagé dans des campagnes militaires sanglantes, éprouve des difficultés à recruter des soldats,  Aussi les fiancés se mettent en quête d’une personne acceptant de les unir par les liens du mariage. Valentin de Terni accepta de marier les couples et défia ainsi l’autorité de l’empereur.

La légende prétend  que Valentin, après avoir assuré les jeunes hommes, leur donnait, une fleur de son jardin  que ceux-ci s’empressaient d’offrir à leurs fiancées. Informé l’empereur ordonna que Valentin soit emprisonné.

Si tu savais le don de Dieu, tu serais heureux et ton empire aussi !” Ce jour là à Rome, vers l’an 270, Valentin répond ainsi à l’empereur Claude qui l’interroge. Il est ensuite conduit chez le juge.

Or, celui-ci à une fille adoptive, aveugle. “Si tu peux la guérir, lui dit le juge, je croirais que Jésus est la lumière et qu’Il est Dieu“.

Le prisonnier, mettant la main sur les yeux de la jeune fille, pria : “Seigneur, qui êtes la Vraie Lumière, éclairez votre servante”. L’enfant recouvra la vue, demanda le baptême avec toute sa famille (une cinquantaine de personnes), et son père délivra tous les chrétiens qu’il tenait prisonniers.

Averti de ces conversions, l’empereur fait mettre à mort le juge et tous les siens. Valentin est décapité vers 273. Les reliques de ces martyrs sont vénérées  à Rome, dans l’église Sainte Praxède.

Le pape Gélase Ier le reconnaitra saint en 494 et il décidera de mettre sa fête au  14 février.

Cette histoire explique pourquoi fiancés et célibataires se sont placés sous le patronage de saint Valentin, saint patron des amoureux. Le jour de son martyr, fixé au 14 février, correspondait déjà dans la Rome Antique, aux festivités païennes des Lupercales, marquant l’arrivée du printemps.

Vers 500, les chrétiens remplacèrent les fêtes païennes par une fête liturgique, en l’honneur de saint Valentin. Que saint Valentin bénisse tous les amoureux !

Prière

Dieu Tout-Puissant, dont la bonté et la miséricorde sont infinies,  faites que tous ceux qui invoquent saint Valentin, soient exaucés en considération de ses mérites. Nous Vous remercions, Dieu Tout-Puissant d’avoir été éduqué dans la foi que saint Valentin a prêchée dans nos pays, il y a plus de 1300 ans.  Nous qui sommes par le baptême devenus vos enfants, faites que nous puissions un jour Vous contempler face à Face avec Saint Valentin.

Nous Vous le demandons, par Jésus Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous, dans l’unité du Saint Esprit, maintenant et pour les siècles et les siècles. Amen.

Saint-Valentin,
Faites que ma vie s’illumine dans le partage de l’amour.

Prière extraite du livre “Prier avec les Saints, recueil de 212 litanies”, de A. Mius, aux Ed. Résiac

Source : Spiritualité Chrétienne

Qu’est ce que le dimanche de la santé 2023

En France, cet événement se vit en paroisse à l’occasion du Dimanche de la Santé, généralement le dimanche le plus proche du 11 février. L’Église est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi.

Le Dimanche de la Santé aura lieu cette année le dimanche 12 février 2023 à 11h00 à l’église St Louis de Rochefort

Télécharger le livret ici.

Des fleurs dans nos églises pour créer un chemin vers Dieu

Chers paroissiens

La liturgie dominicale a vraiment besoin de bénévoles  pour le fleurissement  des églises Notre Dame  et St Louis de Rochefort. Pouvez-vous donner un peu de votre temps et de votre savoir-faire à la paroisse, qui manque cruellement de mains.

Merci beaucoup.

Contact PAROISSE : 

SECRÉTARIAT PAROISSIAL
Presbytère Saint-Louis
109 Ter rue Pierre Loti
17300 Rochefort
05 16 65 42 89 – @ : paroissederochefort@gmail.com

Fleurir une église, c’est créer un chemin vers Dieu

« La beauté des fleurs ouvre une porte vers le ciel.

Prier avec les fleurs, les feuilles, les fruits est un art, à la portée de tous.

Le fleurissement agrémente la liturgie, cette grande action de grâce centrée sur l’eucharistie, où le Christ se donne.

Cet art fait entrer la beauté de la création dans la célébration. 

Saint Jean-Paul II aimait les fleurs : dans la lettre apostolique du 4 décembre 1988 lors du  25ème anniversaire de la promulgation par Paul VI de la Constitution conciliaire Sacrosanctum Concilium sur la Sainte Liturgie, il disait :

« Les signes, surtout les signes sacramentels, doivent avoir la plus grande expressivité. Le pain et le vin, l’eau et l’huile, mais aussi l’encens, les cendres, le feu et les fleurs et presque tous les éléments de la création ont leur place dans la liturgie comme une offrande au Créateur et contribuent à la dignité et à la beauté de la célébration. »

« La plus grande expressivité » c’est-à-dire ce qui exprime avec force une pensée, un sentiment, une émotion. Autrement dit la liturgie est une action qui met en jeu des gestes et des signes forts qui doivent servir la célébration. Les éléments végétaux que nous arrangeons serviront l’action liturgique. Nous pouvons reprendre à notre compte le vocabulaire des concepteurs lumières : « habiter le lieu, éclairer ce qui s’y trouve et ce qui s’y passe. »

En étant au service de l’Église en prière, le fleurissement est soumis à l’action liturgique et doit respecter le temps liturgique. En effet, ce n’est pas en notre nom propre que nous fleurissons, mais au nom de toute l’Église. Quand l’Église célèbre le culte divin, elle le fait dans une culture donnée et dans le temps. Ce temps chrétien qui fait mémoire des interventions de Dieu dans l’histoire.

Ainsi, le fleurissement, en respectant le temps et la pédagogie mise en œuvre par l’Église elle-même, permet à l’Église en prière d’exprimer son attente, sa joie, sa peine, son espérance, bref de faire mémoire de l’aujourd’hui du Salut en le déployant dans notre histoire, ici et maintenant.

Le fleurissement dans la liturgie est donc l’une des mises en œuvre concrètes de la réponse de l’assemblée à Dieu qui œuvre pour le salut de l’homme.

C’est enfin permettre à la création d’entrer dans le temps éternel déployé par la liturgie et dans l’action de grâce de l’Église ».

 

Fête de la Miséricorde

Jeudi 15 décembre à 20h00 à l’église Notre Dame :

Célébration du sacrement de réconciliation

Prière de sainte Faustine Kowalska :

  •  « Je désire me transformer toute entière en Ta miséricorde et être ainsi un vivant reflet de Toi, ô Seigneur ; que le plus grand des attributs divins, Ton insondable miséricorde, passe par mon âme et mon cœur sur le prochain.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mes yeux soient miséricordieux, pour que je ne soupçonne et ne juge jamais d’après les apparences extérieures, mais que je discerne la beauté dans l’âme de mon prochain et lui vienne en aide.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mon oreille soit miséricordieuse, afin que je me penche sur les besoins de mon prochain et ne reste pas indifférente à ses douleurs ni à ses plaintes.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que ma langue soit miséricordieuse, afin que je ne dise jamais de mal de mon prochain, mais que j’aie pour chacun une parole de consolation et de pardon.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mes mains soient miséricordieuses et remplies de bonnes actions, afin que je sache faire du bien à mon prochain et prendre sur moi les tâches les plus lourdes et les plus déplaisantes.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mes pieds soient miséricordieux, pour me hâter au secours de mon prochain, en dominant ma propre fatigue et ma lassitude. Mon véritable repos est dans le service rendu à mon prochain.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mon cœur soit miséricordieux, afin que je ressente moi-même les souffrances de mon prochain. Je ne refuserai mon cœur à personne. Je fréquenterai sincèrement même ceux qui, je le sais, vont abuser de ma bonté, et moi, je m’enfermerai dans le Cœur très miséricordieux de Jésus. Je tairai mes propres souffrances. Que Ta miséricorde repose en moi, ô mon Seigneur.
  • Ô mon Jésus, transforme-moi en Toi, car Tu peux tout.
  • Ô mon Dieu caché dans ce grand et Divin Sacrement ! Jésus, soyez avec moi à chaque moment ! Et mon cœur sera tranquillisé.
  • Ainsi soit-il. »

Il m’a été demandé de faire un témoignage sur le sacrement de la réconciliation.

Juste quelques mots…

J’ai découvert, il y a maintenant quelques années, que comme tous les sacrements, la confession elle aussi devait partir de la Parole de Dieu. Pas évident au début. Peu à peu, j’ai fait l’expérience, en méditant la Parole, que Dieu lui-même me montrait des points de conversion, ce qui était à corriger, à ajuster.

Et le plus souvent, ces points n’étaient pas ceux que je voulais voir, ni ceux que j’aurais spontanément reconnu.

En quelque sorte, le sacrement de réconciliation c’est un peu moins moi qui coche une case dans une liste, et de plus en plus Dieu qui me montre les points, les liens, les lieux dans ma vie où je résiste à cet amour immense qu’il veut me donner.

Du coup, quand je vais trouver un prêtre pour me confesser, j’essaye de venir avec la parole qui m’a montré ou qui a mis en évidence la blessure que Dieu veut venir guérir. Cela reste encore difficile d’avouer clairement mes fautes, mes ruptures d’amour avec Dieu, les autres ou envers moi-même, question d’amour propre sans doute aussi, mais je sais au plus profond de moi que c’est un rendez-vous avec l’amour miséricordieux de Dieu pour moi, avec cet Amour qui veut me façonner toujours plus à son image et qui me libère.

Témoignage anonyme recueilli le 28 novembre 2021 à Rochefort

Accueil des enfants pendant la messe

Tous les dimanches pendant la messe de 11h00, l’accueil des enfants est tenu par des parents, dans la chapelle du Sacré coeur à l’église St Louis.

 

CONTACT PAROISSE : 

SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter  rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
  05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com

Oclocher : Ma paroisse dans la poche !

Découvrez le site Oclocher en moins de 5 minutes.

Oclocher : Ma paroisse dans la poche !

Pourquoi Oclocher ?

Le clocher est un repère pour les pèlerins.
Les cloches donnent le rythme de la journée.
On se retrouve dans Oclocher !

L’ambition : ​une communauté  évangélisatrice.

“À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples :
si vous avez de l’amour les uns pour les autres.”
 Jn 13, 35

Une communauté soudée est une paroisse qui rayonne,   ses paroissiens s’engagent dans les œuvres et l’évangélisation.  L’étirement géographique des paroisses, le rythme rapide de notre société, et les réticences à l’engagement rendent difficile le contact régulier et vrai entre les membres d’une paroisse.

Fort de ce constat, Oclocher souhaite dynamiser les communautés en aidant les paroissiens à participer à leur paroisse et à ne pas rester aux portes tant de l’église (lieu) que de l’Eglise (communauté).

Le contexte

Nouvelles possibilités offertes par le numérique.

Le smartphone permet de maintenir des contacts malgré la distance et s’affirme aujourd’hui comme un véritable moyen d’organiser sa vie : chaque événement est organisé en ligne, chaque famille a son groupe WhatsApp, les paroisses créent leurs chaînes Youtube…Même si en raison de son âge on est réticent il faut avoir le courage de sauter le pa, Au XIXème siècle combien ont hésité à passer de la diligence au chemin de fer !

Présent dans toutes les poches, le smartphone démultiplie l’accès aux autres. Pour servir et écouter les autres il est indispensable.

La proposition d’Oclocher

Grâce à son application, Oclocher propose aux fidèles de conserver le contact entre eux et avec la paroisse : le curé  peut  s’adresser à ses paroissiens à tout moment via des messages courts : exemple ” Commentaire du père Mickaël”, horaires des messes, animations paroissiales, évènements.

Grâce à son application, Oclocher propose aux  paroissiens d’interagir entre eux :

  • ” Notre bébé Paul est né hier soir, nous remercions le Seigneur”
  • ” Mon mari est entré à l’hôpital, je le confie à vos prières ! “
  • ” Besoin d’aide pour déplacer un frigo lourd chez moi. 

L’application Oclocher propose des fonctionnalités que l’on peut regrouper en trois groupes.

Je me nourris spirituellement Je m’engage Je m’informe
Homélie quotidienne Evénements Horaires
Articles Coups de main Lieux
Intentions de prières Equipes Coordonnées

Pour télécharger l’application “Oclocher ” cliquer ICI

     

 

Sur les pas de Pauline Jaricot

Fondatrice de l’œuvre de la Propagation de la foi et du Rosaire Vivant, Pauline Jaricot sera béatifiée à Lyon – Eurexpo le dimanche 22 mai 2022, à 15h, lors d’une célébration présidée par le cardinal Luis Antonio Tagle, préfet de la congrégation pour l’évangélisation des peuples.

Connue dans le monde entier, Pauline-Marie Jaricot (1799-1862) est une femme hors norme. Issue d’une famille aisée de soyeux lyonnais, elle connaît à 17 ans une conversion fulgurante. Elle consacre sa vie à Dieu par un vœu solennel dans la chapelle de la Vierge de Fourvière à Lyon. Elle entreprend de soulager les misères autour d’elle en multipliant les initiatives. Elle crée le Rosaire Vivant, une chaine de prière qui existe encore.

Mais elle veut surtout répandre l’Évangile dans le monde entier en soutenant les missions. Pour cela, elle initie l’Œuvre de la Propagation de la foi, à l’origine des Œuvres Pontificales Missionnaires, dans laquelle chaque donateur ou donatrice doit en trouver 10 autres et devient par là même, un acteur du premier réseau social missionnaire ! « La mère des missions » vient de voir son premier miracle reconnu par l’Église.

Chaque épisode retrace  la vie de Pauline Jaricot, dans les actualités du diocèse.

Merci au diocèse de Lyon pour cette très belle réalisation

Regarder l’épisode 1

Regarder l’épisode 2

Regarder l’épisode 3

Regarder l’épisode 4

Regarder l’épisode 5

Une veillée diocésaine de prière sera organisée à la maison diocésaine (Saintes, 20h30) le dimanche 22 mai 2022, jour de la béatification de Pauline Jaricot. Informations ici

Octave de Pâques

L’octave de Pâques désigne, dans le calendrier liturgique latin, les huit jours qui suivent la fête pascale, du dimanche de Pâques au dimanche de quasimodo, ou dimanche in albis, qui est devenu en l’an 2000 le dimanche de la divine Miséricorde. D’autres fêtes religieuses de la religion catholique sont aussi suivies d’une octave, destinée à les solenniser.

Actuellement, selon le calendrier liturgique romain, seules les solennités de Pâques et de Noël sont suivis d’une octave. Dans le calendrier liturgique tridentin, la solennité de la Pentecôte est également suivie d’une octave, comprenant les Quatre-Temps de l’été.

Pendant cette octave, la messe est célébrée tous les jours avec les prières du jour de Pâques. La répétition des mêmes prières et des mêmes chants sert à rappeler que la Résurrection se prolonge par-delà la fête pascale. Les cloches des églises peuvent sonner à 18 h durant ces 8 jours.

Tirant son origine de l’Ancien Testament avec la fête Souccot elle fut introduite par l’empereur Constantin dans la liturgie catholique.

Égérie a décrit dans son Voyage comment elle était vécue au IVème  siècle à Jérusalem : « (…) pendant l’Octave, toute cette pompe et cette décoration se déploient dans tous les lieux saints. (…) Pendant toute cette octave, tous les jours, c’est la même décoration et la même pompe (…) Les moines de l’endroit, au complet, continuent à veiller jusqu’au jour en disant des hymnes et des antiennes. (…) À cause de la solennité et de la pompe de ces jours, des foules innombrables se rassemblent de partout, non seulement des moines, mais aussi des laïcs, hommes et femmes. »

Dans le rite byzantin

Toute la semaine, appelée Semaine Lumineuse, les portes du sanctuaires restent ouvertes (voire ôtées de leurs gonds) dans les églises. On ne lit rien dans les offices, tout est chanté, et l’intégralité des offices est calquée sur le déroulement des offices du dimanche de Pâques.

 

Chantons maintenant : “Le Christ est vraiment ressuscité”.

Pâques, écoute active de la fragilité

Jeudi Saint signifie communion – amour de l’autre – don de soi, pourquoi ne pas se tourner  vers ceux que l’on évite d’ordinaire, car on est pressé,  car on n’y pense pas, ou parce qu’on a d’autres soucis…. ?

Rencontrer nos frères et sœurs en marge est nécessaire, tourner nos regards vers eux est indispensable, c’est pourquoi  l’ Assemblée Plénière des évêques réunie à Lourdes en novembre 2021 – avec le CERAS  Centre de Recherche et d’Actions Sociales – « l’Action populaire » créée en 1903, par Jésuites et  laïcs – nous propose des interviews filmées.  Les personnes en précarité  ont besoin de parler d’elles, prenons au sérieux leur message, celui de l’Évangile et les appels du pape François.

Ces témoignages évoquent des chemins de vie pierreux,  inégaux,  parfois des impasses, loin, ou à côté de l’Église, notre maison commune.
Convaincus que l’écoute des personnes en précarité peut évangéliser chacun et chacune d’entre nous, les évêques de France, et le Ceras, proposent quatre vidéos;  une par jour, du jeudi Saint au dimanche de Pâques.

Ces  quatre vidéos nous aiderons à actualiser la Bonne Nouvelle; elle est inscrite sur du papier,  parfait, mais il faut maintenant l’inscrire dans nos cœurs …et dans nos mains de travailleurs à la vigne du Seigneur.
Le mystère pascal approche,  luttons contre notre pauvreté spirituelle, notre avarice cachée, et enrichissons les pauvres de notre présence, de notre écoute afin d’apporter le soutien affectif, matériel ou financier qui convient.

  • Jeudi Saint – Faire Église : la Communion parfois fragile et brisée

  • Vendredi Saint – Entendre les cris

  • Samedi Saint – Un moment de jachère

  • Dimanche de Pâques : Rêver la fraternité universelle

Rite du lavement des pieds

Un geste chargé de sens

Un tel rite frappe toujours l’assemblée, car, ce jour-là il met immédiatement en œuvre la liturgie ce qui est exceptionnel.

Quels que soient les acteurs, la vérité du geste est là.; donc le Christ est présent parmi eux.

Le prêtre, après avoir déposé sa chasuble, le cas échéant, se met au travail et verse de l’eau sur les pieds des invités puis il les essuie.

Comme pour tout acte liturgique, bien sûr, il faut veiller à la profondeur du symbole , en veillant à la mise en scène.

Un tel geste est orienté vers la Passion

Le Missel propose six antiennes qui peuvent être chantées à cette occasion. Les cinq premières sont des citations de l’évangile de Jean au chapitre 13 d’où est tiré justement le lavement des pieds. Le lien entre ce geste et le dernier discours est évidemment orienté vers la Passion, acte sublime de charité :

En lavant les pieds de ses disciples, Jésus anticipe l’humiliation de sa mort sur la Croix, pour tout homme. Il montre que son triomphe et sa gloire passent par le sacrifice et par le service : tel est le seul chemin pour tout chrétien. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis (cf. Jn 15, 13); seul l’amour est capable de sauver le monde, non pas la force, à laquelle, hélas, beaucoup de dirigeants de peuples ont été, et sont toujours, tentés de recourir.

La manifestation du sacerdoce du Christ

Dans ce geste, pratiqué une fois par an est illustré le rapport à l’eucharistie et au sacerdoce :

De manière significative, là où les évangiles synoptiques racontent l’institution de l’eucharistie, l’évangile de Jean propose, illustration profonde, le récit du ‘lavement des pieds’, par lequel Jésus donne l’exemple de la communion et du service  (cf. Jn 13, 1-20)

Ce geste n’est pas un service banal il manifeste l’accomplissement du sacerdoce du Christ auquel les apôtres doivent « prendre part ».

 

Chant pour la semaine sainte