Bonjour
Si vous avez du buis dans votre jardin,
N’hésitez pas à en apporter pour la célébration des Rameaux pour vous et ceux qui n’en auraient pas. Merci
Père Mickaël
Bonjour
Si vous avez du buis dans votre jardin,
N’hésitez pas à en apporter pour la célébration des Rameaux pour vous et ceux qui n’en auraient pas. Merci
Père Mickaël
PS : En ce qui concerne le synode diocésain, il convient de rappeler à chacun qu’une journée est prévue à Soubise le 21 mai.
Voici les différentes fiches proposées par le diocèse pour vous accompagner pendant le temps du Carême. En cliquant dessus, vous pourrez les ouvrir, les télécharger et les imprimer.
C’est dans cette optique que le service diocésain de la vie spirituelle nous propose des fiches de Carême, qu’il est possible de vivre personnellement ou en petites équipes.
Par ailleurs, cinq conférences de Carême se tiendront les dimanches 13, 20, 27 mars, 3 et 10 avril de 17h à 18h, sur le thème « Vivre la mission à la suite de grands témoins ». Il sera possible de les suivre en se rendant à la cathédrale de la Rochelle ou de se réunir à la maison diocésaine (Saintes) où une diffusion en directe sera assurée.
Mercredi 2 mars 2022
En vue de la préparation de la célébration d’entrée en carême le
mercredi 2 mars 2022, nous vous invitons à déposer vos
rameaux à bruler lors des messes des prochains dimanches de
février dans les sacristies. Merci
Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême, est marqué par l’imposition des cendres : le prêtre dépose un peu de cendres sur le front de chaque fidèle, en signe de la fragilité de l’homme, mais aussi de l’espérance en la miséricorde de Dieu. Cette année, il est fêté le mercredi 2 mars.
On trouve déjà le symbolisme des cendres dans l’Ancien Testament. Elles y évoquent le péché et la fragilité de tout être. Lorsque l’homme se recouvre de cendres, il montre à Dieu qu’il reconnaît ses fautes. Maculé de cendres, qui symbolisent ses fautes, il demande à Dieu son pardon.
La cendre appliquée sur le front est un geste de pénitence et d’humilité. La chaleur et la beauté du feu se sont enfuies, il en est ainsi de toute vie, au début nous étions poussière et à la fin nous serons cendre. Le Christ est venu nous sortir de cette impasse, oui, sa résurrection nous donne l’espoir de brûler d’amour avec lui, dans une vie qui cette fois ci sera éternelle.
Tout en le marquant, le prêtre dit au fidèle : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle ». Ce jour, le message de saint Matthieu – chapitre 6, versets 1 à 6 et 16 à 18 – incite les fidèles à prier et agir, non pas de manière orgueilleuse et ostentatoire, mais discrète :
« Quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que te donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais en secret.
Quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret.
Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement du Père qui est présent dans le secret ».
Le pape François l’a rappelé dans son message publié mardi 3 février à l’occasion du 150e anniversaire de la proclamation de Rome, capitale italienne: “Le jubilé de 2025 n’est plus très loin “.
Cette tradition remonte à l’Antiquité. Le nom jubilé vient de l’hébreu « Yobel » qui désigne une corne de bélier utilisée comme trompette. Tous les cinquante ans, le son de cette trompette proclamait le début d’une année spéciale pour Israël, celle du jubilé. Selon la Bible, l’année jubilaire comportait, entre autres prescriptions, la remise des dettes, la libération des esclaves et le repos total de la terre. Une manière de rétablir paix et justice sociale.
Le Pape annonce la tenue du Jubilé en 2025. Dans une lettre adressée au Conseil Pontifical pour la Promotion de la Nouvelle évangélisation -organisateur de cette future Année Sainte – le Pape François souhaite préparer le peuple chrétien à vivre l’événement dans toute sa dimension pastorale.
Après deux ans de pandémie de Covid 19, le pape espère que ce moment de grande importance spirituelle, ecclésiale et sociale, favorisera «la recomposition d’un climat d’espérance et de confiance».
Ces deux dernières années, pas un seul pays n’a été épargné par «l’épidémie soudaine qui, en plus d’avoir touché du doigt le drame de la mort dans la solitude, l’incertitude et le caractère provisoire de l’existence, a modifié notre mode de vie».
Comme les écoles ou les usines, les églises ont été fermées. Comme toute la population, les chrétiens ont éprouvé de la souffrance, de la peur ou le confinement. Il n’est pas question pour le pape François d’en rester là: l’Esprit Saint nous appelle à repartir.
Pas de monnaie pour la quête ? Voici un autre moyen de participer à ce geste liturgique important.
Le panier connecté est présenté aux paroissiens munis d’une carte bancaire (MasterCard ou Visa) avec paiement sans contact.
Pas besoin de faire son code. Il suffit de choisir le montant désiré : 2, 5, 10 ou 20 euros, puis de poser sa carte sur le lecteur.
Le débit est immédiat. La somme est transmise sur le compte bancaire de la paroisse.
Les paniers sont identiques à nos paniers de quête traditionnels.
Je choisis le montant de mon offrande:
2, 5, 10 ou 20€
Merci pour le bon accueil que vous réserverez à ce nouveau moyen de participer à la quête.
Je n’ai pas de monnaie sur moi… Je télécharge : appli-laquete.fr sur mon téléphone portable (c’est gratuit).
1 – Pour télécharger gratuitement l’application, cliquer sur installation, puis patienter quelques minutes. Une fois installée, l’application s’ouvre
2 – Il faut alors entrer dans le formulaire vos coordonnées, choisir un mot de passe, puis VALIDER.
3 – Identifiez votre carte bancaire. ( Soyez tranquille, tout est sécurisé.)
4 – Puis, choisissez votre église dans l’onglet « mes églises » :
Rochefort : – Saint Louis – Notre-Dame – Saint Paul
5 – Enfin il vous reste à choisir le montant souhaité : 2€, 5€, 10€ et “libre” (au choix) et vous pressez le bouton : « Je donne ».
C’est terminé !
Cette application vous permet de donner à la quête, en toute sécurité, quand vous le désirez : pendant la messe, pendant une célébration ou au dehors. (messe vue à la télévision).
Voici un tutoriel d’explication :
La fête se rattache initialement à le Confrérie du Rosaire, d’inspiration dominicaine, qui se proposait de diffuser la dévotion au chapelet.
En 1571, le pape saint Pie V institua une fête de Notre-Dame de la Victoire, en action de grâce pour la victoire de Lépante remportée par don Juan d’Autriche sur les Turcs, victoire attribuée à la récitation du chapelet. Grégoire XIII lui donna le titre qu’elle porte aujourd’hui et la fixa au premier dimanche d’octobre. Obligatoire pour les seules églises où se trouvait érigée la confrérie du Rosaire, elle fut étendue à toute l’Espagne par Clément X. Sous Clément XI, elle devint universelle (1716), en mémoire de deux nouvelles victoires remportées sur les Turcs.
Aujourd’hui, l’Eglise nous invite à découvrir la place de Marie dans le mystère du Salut en redisant sans cesse : « Je vous salue Marie, pleine de grâce… ». Marie a accepté d’être la mère de Dieu, lors de l’Annonciation, participant ainsi au mystère de la Rédemption. L’Ave Maria est constitué d’une salutation rappelant la visitation de l’Ange lors de l’Annonciation et d’une invocation pour confier à la Mère de Dieu la vie de ses fils aujourd’hui et à l’heure où ils rejoindront Dieu.
Je n’ai pas de monnaie sur moi… Je télécharge : appli-laquete.fr sur mon téléphone portable (c’est gratuit).
1 – Pour télécharger gratuitement l’application, cliquer sur installation, puis patienter quelques minutes. Une fois installée, l’application s’ouvre
2 – Il faut alors entrer dans le formulaire vos coordonnées, choisir un mot de passe, puis VALIDER.
3 – Identifiez votre carte bancaire. ( Soyez tranquille, tout est sécurisé.)
4 – Puis, choisissez votre église dans l’onglet « mes églises » :
Rochefort : – Saint Louis – Notre-Dame – Saint Paul
5 – Enfin il vous reste à choisir le montant souhaité : 2€, 5€, 10€ et “libre” (au choix) et vous pressez le bouton : « Je donne ».
C’est terminé !
Cette application vous permet de donner à la quête, en toute sécurité, quand vous le désirez : pendant la messe, pendant une célébration ou au dehors. (messe vue à la télévision).
Voici un tutoriel d’explication :
La paroisse de Rochefort vous propose
Le chemin de croix est la méditation de la passion du Christ
Suivre le chemin de croix est une dévotion catholique qui permet de revivre la passion de Jésus et de méditer la signification de cet évènement.
En considérant les souffrances du Christ on découvre son amour pour nous. Cette méditation éveille en nous un sentiment de compassion et de gratitude envers le Seigneur qui nous a aimés jusqu’au bout.
Lors de ce cheminement nous pouvons réfléchir à nos propres croix. “Celui qui veut marcher derrière moi, qu’il renonce à lui même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive”, nous a dit Jésus.
Certains mystiques, comme saint François d’Assise qui a reçu les stigmates, Angèle de Foligno, ou encore Catherine Emmerich, ont vécu d’une manière très intense la passion de Jésus.
Le chemin de croix ne fait pas partie de la liturgie de l’Église, mais c’est une dévotion recommandée par les papes.
En parcourant les 14 stations du chemin de croix, le corps est associé à la méditation. Celle ci est aidée par les représentations (peintures ou monuments) des différentes stations.
La récitation de prières fait partie du chemin de croix.
Les 14 stations traditionnelles du Chemin de croix, ( plus, éventuellement, la 15ème)
Certains pays ont ajouté la résurrection en quinzième station et, en 2000, Jean-Paul II a donné son accord.
Pour la fête de saint Joseph, vendredi 19 mars, des temps forts ont été proposés par le père Mickaël Le Nezet, pour permettre aux paroissiens d’être en communion les uns avec les autres, chez eux.
Ont été proposés:
À 20h30, un film en E-cinéma de François Lespes : “Je rentrerai au ciel en dansant”, retraçant l’histoire d’un couple martyr du Rwanda.
Puis le samedi 20 mars vers 9h 30, Il y a eu un enseignement sur le sacrement de miséricorde par le Père Eric NDIKUBWAYO.
LE SACREMENT DE LA MISÉRICORDE
Introduction
A force d’usage régulier des mots sacrement et miséricorde on peut facilement se dire qu’on en sait tout. Ce qui n’est peut-être pas faux ! Mais la répétition rafraîchit la mémoire ; c’est la raison pour laquelle je vous propose de commencer par le sens que révèlent ces deux mots-clés de cet enseignement. En effet, le sacrement veut dire signe visible et efficace¹.
Quant à la miséricorde, il est l’amour viscéral, dit le pape François. Il vient du cœur comme un sentiment profond, naturel, fait de tendresse et de compassion, d’indulgence et de pardon². Cet enseignement est structuré sur deux parties :
La Miséricorde divine et la miséricorde humaine !
L’amour viscéral de la Sainte Trinité se manifeste de deux manières, tout d’abord par le don de la vie de Jésus et par la confession (le pardon)
Dans l’évangile selon Saint Jean, Jésus nous en dit beaucoup sur cette miséricorde divine : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. » (Jn 3, 13). Ainsi Jésus, en tant que Fils unique de Dieu est désormais l’amour rendu visible et tangible dans toute sa vie.
Sa personne n’est rien d’autre qu’amour, un amour qui se donne gratuitement. Il est l’expression de l’amour viscéral de Dieu pour chacun de nous. Qui dit viscéral dit entrailles, dit également la partie la plus intime et vitale d’un être vivant. Il est comme le deuxième cerveau ! Voir Dieu accepter de se séparer d’une partie importante de lui-même ou de sa famille trinitaire, cela confirme ce que dit la prophétie d’Isaïe qui s’adresse à chacun de nous :
« Tu as du prix à mes yeux et je t’aime » Is 43, 4 ; la vie de tout être humain compte beaucoup pour Dieu. Cette miséricorde divine se manifeste également, pour Jésus, par l’acceptation de la mission qui lui a été confiée. Jésus a accepté d’assumer la mission de représenter l’amour Trinitaire. Dieu Le Père est l’initiateur du projet du salut des hommes. Jésus en est réalisateur et l’Esprit Saint joue le rôle d’accompagnateur sur la périlleuse route du don de soi pour la vie des Hommes. Jésus est l’ultime et parfaite révélation de l’Amour de Dieu pour nous !
Dieu nous a confié Jésus, son trésor, mais de par la fragilité de notre humanité ce trésor, nous le portons comme dans des vases d’argile, dit saint Paul, (2 Co 4, 7). Le péché porte atteinte à la relation établie entre Dieu et l’Homme.
Mais comme Dieu ne se lasse pas de pardonner (Is 55, 7) il nous tend toujours sa main dans le sacrement de la réconciliation et du pardon : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos » (Mt.1, 28). Non seulement le péché nous sépare de Dieu mais aussi pour notre conscience, il est une charge lourde à porter, car il est aussi capable de nous éloigner de notre entourage.
Par le biais de l’Eglise la miséricorde divine nous est proposée comme une main tendue pour nous aider à nous relever et à réparer ce qui est interrompu.
Au sujet du rôle de l’Eglise, dans le livre intitulé « Le nom de Dieu est miséricorde », le journaliste Tornielli pose la question au pape François : Pourquoi est-il important de se confesser ? «Devant un prêtre » et voici la réponse du pape :
C’est Jésus qui dit à ses Apôtres : « Ceux à qui vous pardonnerez leurs péchés seront pardonnés » (Jn 20, 19-23). Ainsi les apôtres et leurs successeurs- les évêques et les prêtres, leurs collaborateurs deviennent des instruments de la miséricorde divine³.
Par le sacrement de la réconciliation et du pardon, « Dieu nous pardonne », dit le cardinal Ricard, Il ne nous enferme pas dans notre passé, dans notre péché. Il nous redit son amour et nous ouvre à nouveau un avenir » (4). Malheureusement, comme on peut le constater, malgré tout l’amour et le pardon que Dieu propose à l’homme, le sacrement de réconciliation et du pardon n’attirent pas les foules, il est même le sacrement le plus délaissé !! Est-ce pour dire que les chrétiens de notre génération sont parfaits et n’ont pas besoin du pardon de Dieu ? Je ne pense pas, il me semble qu’il y a ceux qui peuvent parfois se dire qu’il n’est pas nécessaire de se confesser devant un prêtre car on peut bien présenter à Dieu ses péchés sans l’aide d’un intermédiaire. Et d’ailleurs, à ce sujet, le même journaliste a bien voulu savoir ce qu’en pense le pape François et il lui répondit en ces termes :
Même s’il est vrai que le Seigneur pardonne à ceux qui implorent individuellement son pardon ! Pour chacun en tant qu’être social, il est important de se confesser devant un prêtre car (5) :
Les prêtres agissent in persona christi, en la personne de Jésus, c’est très beau ! Et cela prend une signification profonde, parce que nous sommes des êtres sociaux. Si tu n’es pas capable de parler de tes erreurs avec ton frère, tu peux être sûr que tu seras incapable d’en parler, même avec Dieu, et tu finis par te confesser devant ton miroir, devant toi-même. Se confesser devant un prêtre, est une façon d’être concret et authentique : C’est se mettre face à la réalité en regardant une autre personne, et non soi-même reflété dans un miroir….L’église est appelée à dispenser la miséricorde (6).
Et alors, pourquoi décidons-nous de nous refuser ce cadeau du ciel ? Je vous invite, comme le Fils prodigue qui rentre chez son père (Lc 15, 11-32), quand la nécessité et l’opportunité se présente, de ne pas hésiter à profiter du don de la miséricorde de Dieu dans le sacrement de la confession. Déjà l’opportunité se présentera dans quelles minutes, profitons-en !
Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux (Lc 6, 36). Voici la recommandation de Jésus pour chacun de nous qui avons choisi de le suivre. Par le don de sa vie, il nous a témoigné son amour et il nous a ouvert les portes du salut. A notre tour, il nous invite à imiter l’amour viscéral du Père qui a accepté de nous donner son fils unique. Cela est possible soit par les œuvres de miséricorde corporelle soit par les œuvres de miséricorde spirituelle.
Dans la bulle d’indiction du jubilé extraordinaire de la miséricorde, le pape François nous en donne 7 : donner à manger aux affamés, donner à boire à ceux qui ont soif, vêtir ceux qui sont nus, accueillir les étrangers, assister les malades, visiter les prisonniers, ensevelir les morts (7).
En regardant de près, je me suis dit que notre communauté paroissiale est sur le bon chemin. Car à travers le lien qui est entretenu avec le Secours catholique, les affamés ne sont pas délaissés. Ils peuvent avoir un petit déjeuner complet trois fois par semaine, c’est déjà quelque chose ! Ils peuvent avoir une aide pour s’acheter des vêtements. Les étrangers y trouvent également un bon espace d’accueil. Une équipe du SEM est toujours disponible pour que les personnes âgées ou malades ne se sentent pas seules.
L’aumônerie de la prison de Rochefort ne cesse également d’entourer les détenus de l’amour fraternel, sans oublier un service des obsèques pour l’accompagnement des familles endeuillées Bref, communautairement, nous pouvons nous féliciter.
Cependant, il est aussi important que chacun, à son niveau, cherche à apporter sa contribution ; car ceux qui ont besoin d’aide sont toujours nombreux. Déjà hier, un paroissien m’a téléphoné pour me parler d’un sortant de prison qui dort dehors dans le froid ; qui a besoin d’aide.
Dans la même bulle d’indiction du jubilé extraordinaire de la miséricorde, le pape François nous donne également 7 œuvres de miséricorde spirituelle : conseiller ceux qui sont dans le doute, enseigner les ignorants, avertir les pécheurs, consoler les affligés, pardonner les offenses, supporter patiemment les personnes ennuyeuses, prier Dieu pour les vivants et pour les morts8. Contrairement aux œuvres de miséricorde corporelle, les œuvres de miséricorde spirituelle constituent un don de soi sans l’intermédiaire de moyens matériels de quelque sorte que ce soit. Comme Jésus s’est donné, nous sommes appelés à nous donner pour nos frères sœurs en humanité. C’est un chantier important à mener communautairement et individuellement.
Par le don de sa vie, Jésus nous a lavé des souillures du péché et par la confession il nous couvre de sa miséricorde. Nous sommes appelés à aimer comme lui ; en cas d’offense, à pardonner non pas sept fois mais soixante-dix fois sept fois (Mt 18, 22). Ainsi la réitération du pardon fera naître en nous l’amour viscéral semblable à celui de la Sainte Trinité qui ne cesse de nous aimer malgré notre fragilité pécheresse !
Père Eric NDIKUBWAYO, Vicaire de la paroisse de Rochefort.
(1) Cf. L’encyclopédie catholique pour tous, Théo, Fayard, p 582, Paris, 1992
(2)http://www.vatican.va/content/francesco/fr/bulls/documents/papafrancesco_bolla_20150411_misericordiae-vultus.html
(3) Cf. Andrea TORNIELLI, dans Pape François, le nom de Dieu est miséricorde, libreria, Editrice Vaticana, p 43, Citta del Vaticano, 2016
(4) https://bordeaux.catholique.fr/diocese/mgr-ricard/catecheses/misericordieux-comme-le-pere
(5) Cf. Andrea TORNIELLI, Idem, P 45
(6) Idem, P 44
Pour télécharger ou imprimer le texte du père Eric cliquer ICI
« Accueillez-vous donc les uns les autres comme le Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu » (Romains 15, 7)
À l’entrée de l’église Saint Louis, des personnes accueillent les fidèles qui viennent assister le dimanche à la messe de 11h00.
Vous êtes intéressé (e)s pour ce service d’accueil ? Merci de vous faire connaître auprès de Martine Guérin (tél. 06.82. 65.75.03).
Pour info : En raison des mesures sanitaires, il n’y a pas d’accueil pour les enfants.
Des écharpes colorées et des badges seront à votre disposition. Vous les trouverez dans la sacristie. Merci de penser à les remettre (pliées ) ainsi que les badges, à la fin de votre service.
IMPORTANT ! Les masques sont obligatoires pour entrer dans l’église ainsi que la pose de gel hydroalcoolique sur les mains.
Conserver précieusement ces cartes une fois complétées pour les remettre au secrétariat paroissial.
Ne pas déposer ces cartes sur les tables, ces cartes sont éditées pour être données de la main à la main.
Rester un peu dans l’église pour répondre aux personnes désirant une information complémentaire.
Un « bonjour », un sourire de bienvenue.
En tant que chrétiens, nous sommes heureux d’être au service de nos frères et de pouvoir les aider du mieux que nous pouvons.
Par exemple en plaçant les personnes âgées dans l’église comme les mères ayant des poussettes et des enfants.
Notre désir, c’est que chaque participant à la messe ait reçu un « bonjour », un sourire de bienvenue , ou « comment ça va ? » pour que personne ne se sente ignoré.
Vous allez bientôt recevoir une information concernant la campagne du denier de l’Eglise pour l’année 2021.
Le denier ne sert pas au fonctionnement des paroisses mais c’est une aide précieuse versée directement à l’évêché pour le traitement et les charges sociales des prêtres et des acteurs pastoraux. Grâce à ce denier, chaque prêtre du diocèse reçoit 560 euros par mois. Le reste du traitement des prêtres, soit 450€ provient des offrandes de messes des paroissiens. Une offrande messe se monte à 18€.
Pour information le denier sur notre ensemble paroissial de Rochefort était l’année dernière de 44151 euros en baisse de 7% Mais par ailleurs, les dons faits directement à la paroisse était de 9286 euros en augmentation par rapport aux années passées.
Je tiens à vous remercier pour votre générosité qui n’a jamais fait défaut
même dans ces temps difficiles.
P. Mickaël
Très prochainement avec le conseil économique nous vous rendrons compte de la situation de la paroisse et des projets que nous envisageons en fonction de la situation actuelle.
Nous pourrions l’appeler la « dîme de gratitude » ou « la dîme au temple ». Jésus a lui-même versé l’offrande au temple et il a signifié toute l’importance de ce que faisait la veuve qui mettait des pièces dans le tronc du temple.
Parce que tout nous est donné, nous pouvons à notre tour donner en retour à l’Église, qui est le temple de Dieu. C’est aussi un signe de communion avec tous ceux qui forment l’Église, un signe d’appartenance.
Le Denier, qui est la première des ressources de l’Église en France, représente 46 % de l’ensemble des dons courant que nous collectons.
Pour faire un DON cliquer sur l’image
Pour l’Église catholique en France, ce sont les Associations Diocésaines (associations cultuelles régies par la loi de 1905) qui sont habilitées à gérer l’ensemble des activités des paroisses et du diocèse. Il en existe une au sein de chaque évêché.
Les biens d’Église sont destinés à l’accomplissement de sa mission, ils ont été constitués par les dons des générations successives, ils sont entretenus et renouvelés en vue de l’action pastorale de l’Église. Ces biens d’Eglise sont notamment des biens immobiliers qui servent à la mission (en particulier toutes les églises et locaux paroissiaux construits après 1905 dans les villes).
La gestion doit être prudente, elle est responsable, encadrée et contrôlée : la responsabilité de l’évêque et celle des curés sont réelles et personnelles, mais ils ne peuvent agir sans des conseils constitués et reconnus (conseils paroissiaux et diocésain pour les affaires économiques).
Cette gestion ecclésiale est grevée de l’obligation de solidarité et de partage avec les autres Églises au premier chef, et avec les pauvres en général par l’intermédiaire d’organismes adaptés. Elle doit assurer la lourde charge de l’entretien des églises et des locaux construits après 1905.
Les ressources des diocèses proviennent donc essentiellement de la générosité des fidèles.
Combien donner?
Vous pouvez par exemple donner l’équivalent de 1% de vos revenus annuels, ou encore 10% de votre impôt, ou bien la valeur de 2 ou 3 journées de travail. De plus, si vous êtes imposables, vous pouvez déduire 66% de votre don du montant de votre impôt.
Ainsi, en donnant 200€, vous bénéficiez, si vous êtes imposables, d’une remise d’impôt de 132€, et votre don vous revient en fait à 68€.
Les campagnes de collecte sont lancées courant janvier dans une majorité des diocèses français. Vous pouvez bien sûr donner toute l’année.