Le chauffage de l’église Notre Dame, est en mauvais état.
A partir du samedi 1er février, et jusqu’au printemps 2025 la messe anticipée du samedi soir de 18h30 sera célébrée dans la salle paroissiale : “Jacques David” 65 ter rue Voltaire.
Messes en Maisons de Retraite chaque semaine : Voilà un Temps de Paix et de Communion. Une belle occasion d’apporter réconfort, espérance et chaleur spirituelle à ceux qui en ont besoin. Vous êtes les bienvenus !
Jardin d’Iroise : Chaque 1er jeudi du mois à 15h00
Les Girandières (les Zenitudes) : Chaque 2ème mercredi du mois à 14h00.
Clos des Fontaines : Chaque 3ème mercredi du mois à 15h00
La Roseraie : Chaque 3ème mardi du mois à 15h00
Les Bégonias : Chaque 4ème jeudi du mois à 15h00
Hôpital Béligon : Chaque 4ème jeudi du mois à 15h00
Vous accompagnez une personne hospitalisée ? Celle-ci a besoin d’un soutien spirituel ?
L’aumônerie catholique de l’Hôpital de Rochefort est à votre disposition pour
accompagner les patients hospitalisés, leurs familles et le personnel soignant.
Merci de signaler toute hospitalisation à l’aumônerie pour permettre
une visite et un accompagnement adaptés.
Par ailleurs, le Service d’Évangélisation des Malades (SEM) propose des
visites à domicile pour les personnes isolées et les malades qui ne peuvent se déplacer.
N’hésitez pas à faire appel à ce service (le SEM)pour offrir un peu de réconfort et une présence bienveillante aux personnes qui vous sont proches.
Dimanche de la Santé aura lieu cette année dimanche 9 février 2025 à 11h00 à l’église St Louis de Rochefort
La Journée mondiale des malades est présentée dans les diocèses français lors du dimanche de la santé, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation de leur santé sont des priorités évangéliques. Cette année, le dimanche de la santé aura lieu le dimanche 9 février 2025.
Cet événement se vit en paroisse. L’Eglise est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes bénévoles qui œuvrent au côté d’associations laïques où des personnes de bonne volonté s’engagent aussi.
Encourager tous ces volontaires, qui, partout en France, dans la discrétion, viennent, au jour le jour, rencontrer leur prochain, l’autre, le malade, la personne isolée, est l’une des dimensions du Dimanche de la santé. Comme celle de les aider à approfondir leur engagement, à poursuivre leur formation, afin de donner à ce service toute sa dimension de mission évangélique.
Qui enverrai-je ? (Isaïe 6,8) Thème de cette année.
Chaque 2 février, lors de la Chandeleur, dernière fête du cycle de Noël, il est d’usage de manger des crêpes. Mais, quelle est l’origine, le sens, de la fête de la Chandeleur ?
La Chandeleur est une fête religieuse chrétienne, qui correspond à la Présentation de Jésus au Temple de Jérusalem. Présent dans le Temple, un vieillard, Syméon, se comporte en prophète, en proclamant que Jésus est la lumière qui se révèle aux nations. Voyant Jésus il s’écrie en effet: “Et maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples: lumière qui se révèle aux nations et done gloire à ton peuple, Israël.” Cette prière est dite le soir par les clercs et des laïcs, après les vêpres, en allant se coucher.
La Chandeleur est fêtée le 2 février, soit quarante jours après Noël. La fête de la Chandeleur tire son nom du mot chandelle et provient d’une fête païenne – la festa candelarum – fête de la lumière, puisque les jours rallongent. Sa christianisation date probablement du IVe siècle.
C’est devenu aussi le jour des crêpes dont la tradition dit qu’elles étaient faites avec la farine restante de l’année. Leur forme ronde et leur couleur claire était censée évoquer le disque solaire. Aujourd’hui, peut-être en souvenir des gamins sautant par-dessus les feux de la Chandeleur, le jeu consiste à faire sauter les crêpes jusqu’au plafond. Le 2 février, à vos poêles !
Origines de la fête de la Chandeleur
La fête des chandelles
Dans la Rome antique, en février, il était de coutume de célébrer la festa candelarum, la fête des chandelles. En effet, après le solstice d’hiver en décembre avec la fête du Sol Invictus (qui est ensuite devenu Noël, lorsque le christianisme a conquis l’Empire romain), la fête des chandelles célébrait le retour des jours plus longs et plus doux.
Pendant cette fête populaire, on pouvait voir des processions de torches dans les rues romaines pour célébrer la fin de l’hiver. Les flambeaux allumés rappelaient le flambeau de Cérès, déesse de l’agriculture, des moissons et de la fertilité, partie aux enfers chercher sa fille Proserpine (Perséphone en Grèce), enlevée par le roi des Enfers, Pluton. Le mythe raconte que Cérès, déprimée, révoltée, en aurait oublié de s’occuper des cultures terrestres. Après avoir conclu un pacte avec Pluton, Cérès a récupéré sa fille, devenue Reine des Enfers mais aussi déesse du printemps.
Le flambeau de Cérès, et la festa candelarum, rappellent la victoire de la lumière sur les ténèbres en février. Ce mois de transition annonce le retour du printemps.
La Présentation de Jésus au Temple
Entre les IVe et Ve siècles, alors que le christianisme devient la religion officielle de l’Empire romain, l’Église est traversée par de fortes controverses (c’est l’époque des premières hérésies de l’Occident chrétien) et par une volonté marquée de christianiser un certain nombre de rites païens. C’est le cas, notamment, de la fête de Noël qui a remplacé le culte du Sol Invictus.
La Présentation de Jésus au Temple
A la fin du Ve siècle, le pape Gélase 1er décide de christianiser la fête des chandelles païenne et organise des processions aux chandelles, revisitées dans une symbolique chrétienne. Il se saisit ainsi du symbole de la lumière et décrète le 2 février fête de la Présentation de Jésus au Temple car il est « la lumière du monde » (Jean 8.12-59). Cela représente la clôture d’un cycle de quarante jours après Noël qui s’inscrit dans une tradition juive : « Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur » (Luc 2,22).
La Présentation de Jésus au Temple dans la Bible
La Présentation de Jésus au Temple est relatée dans l’Évangile selon Luc (2, 30-38). Comme cité précédemment, Marie et Joseph respectent la loi de Moïse – bien que la loi juive n’exige que la purification des femmes quarante jours après avoir donné naissance (Lévitique 12) – et amènent Jésus au Temple, à Jérusalem. Les parents des garçons premiers-nés devaient, dans la tradition juive, présenter leur fils à Dieu comme offrande et racheter celui-ci, en mémoire du passage de l’Ancien Testament, lorsque Dieu a épargné les premiers-nés du peuple hébreu au moment des dix plaies d’Égypte.
Au Temple réside le prophète Siméon (écrit aussi Syméon) qui, tenant dans ses bras l’Enfant, reconnaît que Dieu a accompli sa promesse et acclame « Mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël ton peuple » (cantique de Siméon, dit aussi Nunc dimittis). La prophétesse Anne est également présente et prophétise que Jésus délivrera son peuple.
Par la présence des deux prophètes, Luc est soucieux de montrer que Jésus est reconnu par eux et que son message sera glorifié et s’adressera à tous les peuples.
Découvrez qui est Saint Siméon
Pourquoi fête-t-on la Chandeleur le 2 février ?
La fête de la Chandeleur est célébrée depuis, au moins, le IVe siècle, c’est-à-dire au même moment que l’instauration de la fête de la Nativité. Dans son livre Peregrinatio Aetheriae (381-384), la pèlerine Egérie décrit des festivités ayant lieu à Jérusalem quarante jours après l’Épiphanie. La naissance de Jésus était alors célébrée le 6 janvier en Orient.
Dans l’Occident chrétien, la fête de la Noël est fixée au 25 décembre depuis environ le IVe siècle, comme cela est mentionné dans le Chronographe de 354. Quarante jours après correspond au 2 février. On sait également que l’Empereur Justinien a institué la fête de l’Hypapante (qui signifie « rencontre » et qui est le nom de la fête orthodoxe) le 2 février 521 à Constantinople.
La signification de la Chandeleur pour les chrétiens
Le jour de la Chandeleur est celui où l’on bénit les cierges, de la même manière que Jésus est la lumière du monde et qu’il nous éclaire par son message universel.
Il était coutume de ramener des cierges bénis à l’église, dans sa maison, afin de purifier et protéger leur foyer et de porter chance pour les mois à venir.
L’assemblée paroissiale est une instance de proposition : le peuple de Dieu exprime ses besoins et ses souhaits.
Elle est un lieu d’apprentissage de la synodalité et de la coresponsabilité afin de prendre en compte l’avis des paroissiens (habituels et occasionnels).
1. Que dit le droit canonique ?
Can. 212 : « Les fidèles ont la liberté de faire connaître aux pasteurs de l’Église leurs besoins surtout spirituels, ainsi que leurs souhaits. Selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles; restant sauve l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes. »
2. Que dit l’Ordonnance ?
On se référera à la section 2, chapitre 3, article 20, p. 23 et p. 24 ( cliquer en bas de page sur le lien pour accéder à ces textes)
On se réfèrera aussi aux grands principes :
• La synodalité : chapitre 1, article 4, p. 10
Le principe de synodalité signifie que, dans l’Église, le peuple de Dieu
doit exprimer ses besoins et ses souhaits… • La coresponsabilité : chapitre 1, article 5, p. 11
Le principe de coresponsabilité signifie que l’Église est une
communauté de disciples-missionnaires qui portent tous ensemble
le souci de l’évangélisation…
• Prendre soin les uns des autres : chapitre 1, article 3, p. 10 1
3. Quels sont les rôles de l’EAP ( Equipe d’Animation Paroissiale) et du CEP (Conseil Economique Paroissial ) ?
Il appartient à l’EAP d’aider le curé à discerner les priorités, définir le programme de mise en œuvre, appeler les personnes qui seront responsables des projets retenus.
Le CEP doit permettre de trouver les ressources nécessaires à ces projets en
sollicitant les paroissiens intéressés par leur réalisation.
4. Quels sont les écueils à éviter ?
Le but de l’assemblée paroissiale est de participer, en écoutant les autres,
pour proposer et discerner les propositions susceptibles d’améliorer la vie de la paroisse tout en restant réaliste.
• Ce n’est donc pas une assemblée de copropriétaires où chacun vient défendre ses intérêts.
• Ce n’est pas non plus une assemblée générale d’association où chacun va voter selon le principe « un homme, une voix » sur les résolutions préparées par l’EAP.
5. Ce que le dit le pape François sur le processus de décision dans la primitive Église «À travers le livre des Actes des apôtres, nous continuons à suivre un voyage : le voyage de l’Évangile dans le monde. Saint Luc montre avec un grand réalisme la fécondité de ce voyage, ainsi que l’apparition de certains problèmes au sein de la communauté chrétienne. Dès le début, il y a eu des problèmes. Comment harmoniser les différences qui coexistent en son sein sans que ne se produisent des affrontements et des fractures ? La communauté n’accueillait pas seulement les Juifs, mais aussi les Grecs, c’est-à-dire des personnes provenant de la diaspora, pas des Juifs, avec leur propre culture et sensibilité et ayant une autre religion. Aujourd’hui, nous les appelons des «païens ». Et ces derniers étaient accueillis. Cette « comprésence » – présences diverses – détermine des équilibres fragiles et précaires ; et face aux difficultés apparaît la « zizanie », et quelle est la pire zizanie qui détruit une communauté ? La zizanie du murmure, la zizanie du commérage : les Grecs murmurent à cause de l’inattention de la communauté à l’égard de leurs veuves. Les apôtres commencent un processus de discernement qui consiste à bien évaluer les difficultés et à chercher ensemble des solutions. Ils trouvent une issue en partageant les diverses tâches en vue d’une croissance sereine de tout le corps ecclésial et pour éviter de négliger aussi bien la « course » de l’Évangile que le soin des membres les plus pauvres » 1
. PAPE FRANÇOIS, AUDIENCE GÉNÉRALE, mercredi 25 septembre 2019
Pour vivre la sixième édition du Dimanche de la Parole de Dieu, qui sera célébré dans toute l’Église le 26 janvier 2025, le pape François a choisi comme devise les paroles du psalmiste : « J’espère en ta parole » (Ps 119, 74).
C’est un cri d’espérance : l’homme, au moment de l’angoisse, de la tribulation, de l’insignifiance, crie à Dieu et met en lui toute son espérance.
En ce dimanche où nos paroisses mettent particulièrement en valeur la Parole de Dieu, n’hésitons pas à prendre des résolutions pour que cette Parole nous accompagne à chaque instant de notre vie.
POUR MIEUX VIVRE AVEC LA PAROLE DE DIEU
Portez la Parole « dans votre poche »
C’est ce que suggère le pape François : « Prenez l’habitude d’avoir toujours un petit Évangile dans votre poche, dans votre sac, afin de pouvoir le lire pendant la journée. » Il existe plusieurs éditions du Nouveau Testament ou de l’Évangile, en volumes agiles, version de poche, qui se glissent facilement dans nos sacs ou sacs à dos et que nous pouvons toujours emporter avec nous.
Intégrez la Parole dans votre téléphone portable
Vous pouvez facilement avoir la Bible dans votre téléphone portable pour la consulter à tout moment, il existe plusieurs applications et pages Internet dans différentes langues, non seulement avec la Bible mais aussi avec les lectures de la Sainte Messe pour chaque jour, des pages où vous pouvez lire ou écouter la Parole de Dieu, des pages avec des commentaires et des réflexions de la même chose. Vous pouvez également mettre un rappel dans vos notifications pour avoir un temps chaque jour pour rencontrer la Parole de Dieu, afin qu’elle vous accompagne partout où vous allez. Par exemple l’application de la Bible de la Liturgie AELF (sur Android ou Iphone)
Chapelet médité
Une autre source pour prier avec les Écritures est la variété des prières catholiques traditionnelles, telles que le chapelet. Il s’agit d’une prière évangélique d’orientation christologique, définie par saint Jean-Paul II comme un « recueil de l’Évangile ». En effet, elle a un caractère essentiellement contemplatif, puisqu’elle nous fait entrer dans la méditation sur les mystères de la vie du Seigneur, accompagnés par Celui qui était le plus proche du Seigneur. Afin de donner un fondement biblique et une plus grande profondeur à la méditation, il est utile que l’énonciation du mystère soit suivie de la proclamation d’un passage biblique correspondant. Il convient qu’après l’énonciation du mystère et l’annonce de la Parole, nous nous arrêtions pendant un temps approprié pour fixer notre regard sur le mystère médité, avant de commencer la prière vocale (cf. Lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae, n° 30-31). Par exemple avec les Equipes du Rosaire.
Pour la prière universelle
Chers frères et sœurs, réunis en assemblée pour célébrer le mystère de notre rédemption, implorons le Dieu Tout-Puissant pour que, par sa Parole, notre chemin vers la sainteté soit renouvelé. Prions ensemble et disons : Fais de nous, Seigneur, des hérauts de ta Parole !
Pour le Pape, les évêques et les prêtres, afin qu’ils aiment chaque jour toujours plus la Parole de Dieu et, en la méditant profondément, qu’ils la partagent avec joie avec le peuple qui leur est confié. Prions le Seigneur.
Pour les lecteurs et les catéchistes, afin qu’en approfondissant chaque jour leur connaissance de la Parole de Dieu, ils puissent être configurés avec elle et la transmettre avec le témoignage de leur propre vie. Prions le Seigneur.
Pour les parents, afin que, éclairés et fortifiés par la Parole de Dieu, ils aient la sagesse de guider leurs enfants, en leur transmettant la foi dans le Christ. Prions le Seigneur.
Pour toute la communauté chrétienne à l’écoute de Dieu, rassemblée autour de sa Parole, afin qu’elle grandisse dans l’unité et témoigne authentiquement de l’amour de Dieu. Prions le Seigneur.
Pour l’Église, appelée à être unie dans le Christ, afin que, par l’écoute des Écritures Saintes, elle puisse découvrir le chemin pour parvenir à une unité authentique et solide. Prions le Seigneur.
Pour chacun de nous, parce que nous ouvrons notre cœur à la Parole de Dieu et travaillons ainsi ensemble chaque jour pour construire la paix. Prions le Seigneur.
Père miséricordieux, écoute les prières que nous t’adressons avec foi par ton Fils, Verbe fait chair, qui vit et règne pour les siècles des siècles
Amen.
Mercredi 29 janvier 2025 à 20h00 au Centre Jean Baptiste Souzy / maison de la parole 33 rue Alfred Kastier (les Minimes) La Rochelle.
Thème :
Les déplacements de populations : enjeux et perspectives. Les migrations soulèvent aujourd’hui des peurs et alimentent les débats politiques.
Quelles réalités se cachent derrière les phénomènes migratoires actuels et futurs?
Quels défis devons nous relever face à ces mouvements de populations ?
Conférence à deux voix : comprendre les enjeux des migrations.
Deux intervenants viendront nous apporter leur éclairage sur cette grande question des migrations :
Olivier Clochard : Géographe, chargé de recherche au CNRS, directeur de Migrinter « Migrations internationales : espaces et sociétés »
Marcela Villalobos Cid : Coordinatrice nationale du Réseau Pastorale des Migrants (Conférence des Évêques de France) et coordinatrice France du Service jésuite des réfugiés. Elle a étudié le droit à l’Université Autonome de Querétaro (Mexique), et a obtenu une maîtrise en développement communautaire à l’Université Concordia (Montréal, Canada) et en solidarité et action internationale à l’Institut catholique de Paris. Elle a travaillé pour la pastorale sociale du diocèse de Montréal, avec une attention particulière pour les populations à risque et les migrants latino-américains ; en France, elle a travaillé pour le Secours Catholique Caritas France et le Service Jésuite des Réfugiés France. Elle travaille actuellement comme coordinatrice nationale des délégués de la pastorale des migrants au sein de la Conférence des Évêques de France. Ses domaines de compétence sont les migrations, l’hospitalité et l’interculturalité.
au temple protestant (7 rue Jean Jaurès à Rochefort)
Plongez dans des récits riches de sens et de transmission où les souvenirs et les valeurs prennent vie. Un moment de partage et de réflexion à ne pas manquer !
Entrée libre
Pensez à vous couvrir ( les soirées sont fraîches) et apportez un coussin pour plus de confort sur les bancs.
Lecture sur le thème : “Des histoires d’héritages“
Venez nombreux !
Invitez vos proches et rejoignez-nous pour cette soirée conviviale et inspirante.
Dans le cadre de l’année Sainte, une formation ouverte à tous (accompagnateurs ou non), en 3 soirées, sur la première lettre de Saint Pierre, est proposée par le Pôle Annonce de la Foi.
Ce dimanche 12 janvier, l’Église universelle fête le Baptême du Seigneur. Célébrée après l’Épiphanie, cette fête clôt le temps de Noël.
Le baptême du Christ est la première manifestation de la vie publique du Christ. Il est également l’épisode de la vie de Jésus le plus attesté historiquement, les quatre évangélistes font référence à l’événement.
Les Pères de l’Église ont vu dans ce passage deux aspects. L’humilité de Jésus d’abord qui, en se faisant baptiser, prend sur lui le péché de l’humanité pour la purifier dans les eaux du Jourdain. Le Christ se fait solidaire des pécheurs. Mais si Dieu rejoint l’homme au cœur de son mal, le baptême du Christ est aussi une anticipation de sa Résurrection, c’est-à-dire une nouvelle naissance. Ce passage de la vie du Christ est aussi une première manifestation du Dieu Trinitaire. Après le baptême de Jésus, les cieux s’ouvrent et la voix du Père déclare que Jésus est son fils bien-aimé. Après l’humilité, c’est la gloire du Christ qui est représentée dans le témoignage rendu par Jean le Baptiste, et par le témoignage rendu par Dieu envers son Fils bien-aimé.
Au cinéma Rex de Tonnay-Boutonne Jeudi 16 janvier 2025 à 20h30
Venez vous plonger au cœur de l’Asie du Sud-Est, où l’école est un défi quotidien pour de nombreux enfants. Venez découvrir leurs histoires et leurs rêves dans des paysages magnifiques qui témoignent de leur résilience.
Synopsis
Sur les rives du Mékong, qui traverse Laos, Thaïlande, Cambodge et Vietnam, l l’accès à l’instruction est un combat quotidien, 6 enfants d’âges différents rêvent d’un avenir meilleur. Comme un puzzle les parcours de Prin, Muy-Lat-Awng, Phout, Pagna, Thookolo et Juliet se répondent, s’assemblent et racontent leur formidable aventure : celle de “GRANDIR”.
La projection sera suivie d’une discussion avec Guillaume d’Aboville,
Directeur Général de l’ONG : – Les enfants du Mékong, pour échanger sur les enjeux de l’éducation et de la lutte contre la pauvreté dans cette région.
Cette soirée se terminera par un moment convivial autour du verre du cinéphile.
Venez nombreux !
Une soirée riche en émotions et en découvertes vous attend.
Le Président et les membres du bureau de l’Association ont l’honneur de vous convoquer à l’Assemblée Générale mixte qui se tiendra au Catholic’s Pub à Rochefort (17300), 109ter rue Pierre Loti,
L’Assemblée Générale délibérera sur les ordres du jour suivants :
Ordre du jour de l’Assemblée Générale extraordinaire :
Modifications statutaires diverses ;
Modification de la dénomination de l’association ;
Transfert du siège de l’association ;
Modification de l’objet de l’association ;
Formalités.
Ordre du jour de l’Assemblée Générale ordinaire·
Présentation des rapports moral et financier de l’exercice clos le 31 décembre 2024
Approbation de ces rapports, des comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2024 et du budget prévisionnel
Quitus au bureau de l’association pour sa gestion au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2024
Fixation du montant de la cotisation annuelle
Désignation des membres du bureau
Présentation du règlement intérieur
Questions diverses.
Restant à votre entière disposition pour toutes informations que vous souhaiteriez obtenir sur cette prochaine réunion,
Bien cordialement.
Le Président et les membres du bureau
Après l’ouverture du Jubilé 2025 à Rome par le pape François, dans la nuit de Noël, c’est dans notre diocèse que cette Année Sainte a été solennellement ouverte le dimanche 5 janvier, en la fête de l’Epiphanie.
A La Rochelle, Mgr François Jacolin a célébré la messe d’ouverture à la cathédrale Saint-Louis avec des chrétiens venus de toute l’agglomération rochelaise, et même de plus loin ! Ensemble, ils sont entrés en pèlerins d’espérance dans la cathédrale et dans cette Année sainte !
A Saintes, le Père Bertrand Monnard, vicaire général, a ouvert la porte, symbolisant l’entrée dans l’année sainte, avant de présider la messe concélébrée avec une quinzaine de prêtres.
Après avoir prié à l’Abbaye aux Dames et avoir écouté des extraits de la bulle d’indiction du pape François, une procession a conduit les chrétiens venus de Saintes et de toute la Saintonge jusqu’à la cathédrale Saint-Pierre,