Après-midi récréatif au Catholic’s Pub

La paroisse de Rochefort vous propose un après-midi récréatif par mois : tous les derniers lundis, à partir de 14h30, au Catholic’s Pub (109 rue P. Loti 17300 Rochefort)

Prochain Rendez-vous : lundi 16 décembre à partir de 14h30

 

 

Venez  nous rejoindre, c’est nouveau…


Contact

SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter  rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
  05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com

Que fête-t-on pendant l’Avent ?

L’Avent est le temps liturgique précédant la fête de Noël, où les chrétiens se préparent à célébrer la naissance de Jésus lors de la messe de minuit. Ce temps de préparation est marqué par la symbolique de l’attente et du désir. Il commence le 4ème dimanche avant Noël.

Pendant ces quatre semaines d’attente, les foyers installent des crèches et un arbre de Noël avec des boules et des guirlandes. Parfois, c’est toute la maison qui est décorée en vue des fêtes de Noël, où l’on s’échange des cadeaux de Noël. L’Avent est aussi le début de l’année liturgique.

Origines et histoire de l’Avent

Le mot « Avent » ne veut pas dire « avant Noël » ; il vient du latin adventus qui signifie « venue, avènement ». On l’employait autrefois en latin pour désigner la venue de Jésus Christ sauveur parmi les hommes.

Une tradition de l’Avent utilise la symbolique des bougies tout au long des quatre dimanches de l’Avent. Cette tradition s’appuie sur l’Ancien Testament et relie les chrétiens au peuple juif, qui fête Hanouka à partir du 11 décembre. Chaque dimanche de l’Avent, la coutume veut que les chrétiens allument progressivement une bougie sur les quatre, placées sur une couronne végétale.

Le premier dimanche de l’Avent, la bougie symbolise le pardon à Adam et Eve
– Le deuxième dimanche, elle symbolise la foi des Patriarches en la Terre Promise
– Le troisième dimanche, c’est la joie de David, célébrant l’Alliance avec Dieu
– Le quatrième dimanche, elle symbolise l’enseignement des Prophètes, annonçant un règne de paix et de justice

Par Domitille Blanc Tavernier

Signification et sens de l’Avent

L’Avent est la période où les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme à travers l’Enfant Jésus. De sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l’exception du péché.

Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes est lue lors de chaque messe dominicale de l’Avent. Elle redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe. L’Avent invite les chrétiens à découvrir ce que la venue de Jésus-Christ change dans leur vie pour mieux lui faire une place.

Le début de l’Avent marque aussi l’entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s’achever une année plus tard à la même période. L’ensemble du calendrier liturgique aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques).

 

Repas solidaire paroissial à Rochefort

Samedi 14 décembre  à 12h00 à la salle Jacques David ( 65 Ter rue Voltaire à Rochefort )

Partageons un moment convivial et solidaire à la paroisse de Rochefort.

Pour participer, inscrivez-vous auprès de Sœur Monique au 06 56 85 98 88 ou de Sœur Marie Jo au 07 83 54 51 58. Lors de votre inscription, merci de préciser ce que vous pourrez apporter : fromage, salé, sucré, boissons, pain…

Un repas pour se retrouver dans la joie et la fraternité, tout en soutenant notre paroisse ! Venez nombreux !

 

 

 

Tous les mercredis de l’avent messes de la RORATE à 7h00

Tous les mercredis de l’avent à 7h00 à la chapelle Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis une messe sera célébrée, à la lueur des bougies.

Prochaine messe le mercredi 18 décembre à 7h00

Elle sera suivie d’un petit déjeuner au Catholic’s Pub

Qu’est ce que la Rorate ?

La messe Rorate est célébrée avant la fin de la nuit, idéalement de façon à se terminer aux toutes premières lueurs de l’aurore. Cette messe est célébrée à la seule lumière des bougies.
Le terme « Rorate » vient du mot latin qui a donné son titre au chant grégorien « Rorate cæli », chant d’entrée de la messe du 4e dimanche de l’Avent : « Cieux, faites venir le Juste comme une rosée ; Qu’il descende des nuées comme une pluie bienfaisante : Que la terre s’entrouvre et donne naissance au Sauveur. »

 

Chapelet médité à l’église St Paul

Samedi  7 décembre  2024 

 Chapelet médité à 17 h00 à l’église Saint-Paul de Rochefort

Nous prierons la Très Sainte Vierge pour nos familles, pour qu’elles connaissent la vraie paix, celle apportée par Jésus, il y a quelque 2000 ans.

Nous prierons aussi pour la paix dans l’Église et dans le monde, en Europe et au Proche-Orient particulièrement.

Nous aurons toujours dans nos pensées nos frères chrétiens persécutés et les nombreux réfugiés dans le monde, qui vont vivre un nouvel hiver ; nous prierons aussi pour nos frères prisonniers.

Le mois de décembre

C’est le mois consacré à Marie en son Immaculée-Conception.
Saint Maximilien Kolbe médita, dit-il, toute sa vie sur cette mystérieuse appellation, par laquelle la Vierge elle-même se présenta à Lourdes.

Vertus recommandées : la Patience et la Joie.

Protecteurs du mois    : Saint Nicolas ; Saint Étiennele premier diacre et premier martyr (le 26) ; Saint Jean, Apôtre (le 27 décembre), celui à qui le Christ révéla, de façon singulière, les mystères de son Cœur.

Les grandes fêtes du mois :

– le 8 :  fête de l’Immaculée Conception, de Marie, particulièrement fêtée au sanctuaire de Notre-Dame de la Prière, à  l’Île-Bouchard (près de Tours) et bien sûr à Lourdes. La neuvaine en l’honneur de l’Immaculée commence le 30 novembre.  

A propos de l’Île Bouchard : les apparitions eurent lieu dans l’église Saint-Gilles (à partir du 8 décembre 1947) ; c’est là qu’en mars 1429, Jeanne d’Arc s’était arrêtée pour assister à la messe, sur la route qui la conduisait vers le roi à Chinon. La dernière des quatre petites voyantes, Jacqueline Aubry, est décédée il y a peu, le 15 mars 2016, à l’âge de 81 ans ; lorsque celle-ci racontait les apparitions de Marie, elle impressionnait toujours les personnes par la façon dont elle faisait le signe de croix, très large, très lentement : c’était ainsi, disait-elle, que la Vierge Marie lui avait appris à le faire.

Au début de décembre 1947, la France semble au bord de la guerre civile et d’une grève générale, Marie demande aux petits voyants et aux fidèles présents de prier pour la France et pour la paix ; et mystérieusement, à partir du 9 décembre, en quelques jours, tout se dénoue ; la paix civile est restaurée.

Ci-après : vidéo-témoignage de Jacqueline Aubry en 2012, la dernière des voyantes, peu de temps avant son décès :

https://youtu.be/GG04aR2DTD8

– le 25  : Nativité du Seigneur Jésus : Chantons l’Enfant qui nous est né, alleluia.

– le 29  : Dimanche de la Sainte Famille : nous La prierons spécialement pour nos familles, afin qu’elles restent toujours fidèles ; que les trois Cœurs unis de Jésus, Marie et Joseph soient nos modèles et nos Protecteurs (cf. Apparitions d’Itapiranga).


Quelques-uns des grands saints du mois :

le 1er le bienheureux Charles de Foucauld (1858-1916). Après de nombreuses infidélités à Dieu, il se convertit en 1886, à la suite d’une confession à l’abbé Huvelin, à Paris.

Ce fut, écrit-il, une seconde révélation : « Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour Lui : ma vocation religieuse date de la même heure que ma foi : Dieu est si grand. Il y a une telle différence entre Dieu et tout ce qui n’est pas Lui ».

Dix ans après, il écrit sa fameuse « Prière d’abandon » : « […] mon Père, je m’abandonne à Vous ; mon Père, faites de moi ce qu’Il Vous plaira ; quoi que Vous fassiez de moi, je Vous remercie ; je suis prêt à tout : j’accepte tout […] pourvu que Votre volonté se fasse en toutes Vos créatures […] ; je me remets entre Vos mains, avec une infinie confiance, car Vous êtes mon Père ».

Il voulait être « Frère universel » ; il écrit à Tamanrasset, en Algérie, qu’il voudrait « habituer tous les habitants, chrétiens, musulmans, juifs, à me regarder comme leur frère, le frère universel ». Il juge sévèrement la colonisation de l’Algérie par la France radicale, plus ou moins anti-chrétienne, qui ne cherche pas à convertir les populations, alors que, dit-il dans une de ses dernières lettres : si nous ne savons pas « faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront ; le seul moyen qu’ils deviennent français est qu’ils deviennent chrétiens ». 

le 3    Saint François-Xavier ; né en 1506 à Xavier (Javier) en Navarre, venu à Paris avec son ami Ignace de Loyola ; infatigable missionnaire jusqu’en Extrême-Orient, il mourut, épuisé par ses voyages apostoliques, aux portes de la Chine, sur une petite île en face de Canton, en 1552.

: Saint Martin de Porrès (1579-1639) ; l’Église du Christ n’enferme personne dans sa caste ou sa classe sociale : Martin en est l’un des nombreux exemples (avec d’autres personnalités célèbres, tels Vincent de Paul, petit paysan des Landes devenu ministre de Louis XIV ou encore, dès le IIème siècle, saint Calixte 1er, ancien esclave devenu pape).

Péruvien né à Lima, Martin était un mulâtre, fils naturel d’un noble espagnol et d’une pauvre jeune femme noire ; devenu un remarquable médecin, il choisit de servir les pauvres comme frère convers dominicain ; il crée la première “Sécurité sociale” d’Amérique (vers 1600 !) ; il fonde le premier orphelinat du Nouveau Monde, recevant tous les enfants sans distinction de race ou de classe, avec un principe : demander aux riches de partager leur richesse avec les déshérités. Thaumaturge, il se faisait obéir même des animaux : un jour, dit-on, il ordonna aux souris du monastère qui grignotaient les réserves d’aliments de s’en aller au fond du jardin où, fraternel avec elles, il leur apporta quand même à manger… Il avait aussi le don de prophétie et de bilocation : un ancien prisonnier des Turcs raconta aux frères du couvent de Lima que le frère Martin était venu plus d’une fois le réconforter dans sa prison.

le 4  : Saint Jean de Damas (Jean Damascène), vizir d’un calife vers 730 ; il défendit les icônes face aux iconoclastes, jusqu’à accepter d’avoir la main tranchée, mais celle-ci se réunit miraculeusement au bras ; effrayé, le calife lui demanda de redevenir son ministre mais Jean décida de se faire moine et mourut en 749. Il est considéré comme le dernier des “Pères de l’Église”. Ensuite viendront les « Docteurs » (c’est-à-dire les « Savants », savants en matière de doctrine, de foi catholique), tels Saint Jean de la Croix (voir ci-dessous, au 14 décembre).

le 6  : Saint Nicolas, évêque de Myre (en Asie Mineure) ; son culte est introduit par le pape Nicolas 1er en Italie (vers 860), puis, en Allemagne, par une impératrice d’origine byzantine; enfin, au XVème siècle, il devient le fameux patron de la Lorraine (alors germanique).

Dans le nord de l’Europe, c’est le 6 que l’on distribue des cadeaux aux enfants… ; ainsi la fête de Noël est davantage une fête seulement religieuse.

le 7   : Saint Ambroise (v. 340-397) : simple gouverneur de Milan au départ, il était tellement aimé de la population qu’il fut “élu” et acclamé comme évêque par le peuple chrétien (en 374) ; refusant d’abord, il comprit que la vox populi était ici vox Dei… Il allait devenir l’un des plus glorieux évêques d’Occident, l’un des 4 “Pères de l’Eglise” d’Occident avec St Jérôme, St Augustin et St Grégoire le Grand.

Il est célèbre pour avoir su s’opposer à l’empereur Théodose, un ami pourtant, mais qui, dans un accès de fureur, venait de massacrer des habitants, innocents, de Thessalonique. Ambroise lui interdit l’entrée de la cathédrale (équivalent d’une excommunication) ; 8 mois plus tard, à l’approche de Noël, accablé de remords, l’empereur vint en personne demander pardon…

le 9   : Saint Juan Diego, le voyant de Guadalupe, près de Mexico ; sur sa tilma (sorte de poncho) fut imprimée une icône miraculeuse de la Vierge Marie (voir ci-après), image analysée par les scientifiques et qui, par ses caractéristiques extraordinaires, fait penser à l’icône miraculeuse du Suaire de Turin. Les dialogues entre la Sainte Vierge et son “petit enfant” (âgé pourtant de quelque 50 ans !) sont extrêmement touchants.

le 12  : Notre-Dame de Guadalupe. Son apparition à l’Indien Juan Diego, en 1531, constitue un tournant dans la mission auprès des Indiens, mission qui jusque-là, depuis près de 30 ans, avait eu peu de succès ; à partir de ce moment, de façon aussi mystérieuse qu’extraordinaire, les Indiens par millions demandent à être baptisés ; les missionnaires vont multiplier les baptêmes au point d’en avoir, disait-on, les bras presque paralysés !

Notre-Dame de Guadalupe fut proclamée en l’an 2000, par Jean-Paul II, “Patronne des Amériques“.

            

 

le 13  : Sainte Lucie : vierge, martyre à Syracuse vers 453 ; elle est l’une des cinq vierges martyres célébrées dans le “Canon romain” ou Prière Eucharistique n° 1.

le 14 : Saint Jean de la Croix : né en 1542 dans une famille très pauvre, il va devenir, avec son amie spirituelle Thérèse d’Avila, l’un des géants de la Réforme catholique au XVI° siècle, au temps du « Siècle d’or » de l’Espagne.

Immense mystique et poète, il réforme l’Ordre du Carmel ; les nouveaux moines sont appelés « Carmes déchaux », ne portant plus des chaussures mais des sandales dans un souci de pénitence plus grande. Persécuté par des frères restés « Chaussés », il est interné pendant 8 longs mois de souffrance, où il va alors vivre « Une Nuit obscure ».

D’une grande vigueur et fermeté, il est en même temps d’une grande douceur : « Les vertus de Dieu ne s’enseignent pas à coups de bâton et avec rudesse » écrit-il. « Tout en traitant des choses de Dieu, il nous faisait tous rire », témoigne un Frère.

Dans « La Montée du Carmel », il décrit les étapes, les différents chemins qui conduisent l’âme vers Dieu.

Il meurt en 1591 au milieu de grandes souffrances, lui qui avait écrit : « Les richesses infinies de Dieu sont inaccessibles à ceux qui repoussent les souffrances ». Lui qui écrivit aussi : « Où il n’y a pas d’amour, mettez de l’amour et vous obtiendrez de l’amour ». 

le 21  : Saint Pierre Canisius. Docteur de l’Église, Hollandais d’origine, ami de St Ignace, il défendit, avec vigueur mais grande bonté, la réforme (il disait : “le renouvellement“) de l’Église catholique face au protestantisme, publiant de remarquables “Catéchismes”, créant d’innombrables collèges ; il est considéré, après St Boniface (8 siècles auparavant), comme le second apôtre de l’Allemagne ; il mourut épuisé par ses travaux en 1597.

le 26  : Saint Étienne, le premier martyr, lapidé pour le Christ ; à l’image de son Maître, il s’écria : “Seigneur, ne leur compte pas ce péché“.

le 27  : Saint Jean, le disciple bien-aimé, le seul Apôtre resté au pied de la Croix ; il allait devenir le premier dépositaire des mystères du Cœur du Christ.

le 28  : les Saints Innocents, massacrés par Hérode, peu après la naissance de Jésus ; considérés comme les saints patrons de tous les petits enfants non nés.

le 31 : Saint Sylvestre 1er… mais aussi Sainte Catherine Labouré (religieuse au Monastère de la Rue du Bac, à Paris) à qui la Sainte Vierge, en 1830, confia la Médaille miraculeuse ; c’est la première des 9 grandes apparitions de la Très Sainte Vierge dans nos temps modernes (avec celles de  La Salette -1846 ; Lourdes -1858 ; Pontmain -1871 ; Pellevoisin -1876 ; Fatima -1917 ; les Trois-Fontaines -près de Rome- et l’Île-Bouchard -1947 ; enfin, Akita -au Japon, 1973). Une dernière apparition, à Itapiranga, près de Manaus, a été incomplètement reconnue par l’évêque du lieu, en 2009.

A propos d’Akita : celle-ci est l’avant-dernière apparition de Marie reconnue officiellement (en 1984) ; c’est une apparition peu connue et pourtant, le Cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, affirma que le message marial d’Akita, donné à la Sœur Agnès Sasagawa, était substantiellement une confirmation du message de Fatima ; un jour même, l’ange gardien de la Sœur lui demanda de réciter régulièrement la prière de Fatima, peu connue alors au Japon : « Ô mon Jésus, pardonnez-nous, préservez-nous du feu de l’enfer, attirez au Ciel toutes les âmes, et (secourez) particulièrement celles qui en ont le plus besoin », prière à dire après chaque dizaine de chapelet.

Lors d’une de ces apparitions, la Vierge Marie dit à la Sœur Sasagawa : “Avec le Rosaire, priez en réparation pour les péchés de tous les peuples ; priez beaucoup pour le Saint-Père, pour les évêques et les prêtres“.

Le message du 13 octobre 1973 est particulièrement impressionnant, écho pour notre temps des messages de La Salette et de Fatima : ” Si les hommes…ne se convertissent pas, le Père infligera un châtiment …n’épargnant ni les prêtres ni les fidèles. Les survivants se trouveront si désolés qu’ils envieront les morts. Les seules armes qui vous resteront, seront le rosaire et le signe laissé par mon Fils. Chaque jour, récitez les prières du rosaire “.    [« Celle qui pleure au Japon – La Dame de tous les peuples » par le Père Joseph-Marie Jacq ]

 

 

Ciné conférence du festival chrétien du cinéma : « Et je choisis de vivre »

Dans le cadre du festival chrétien  du pays rochefortais : la vie après la perte d’un être cher. Le deuil, de la sidération à la renaissance ?

Synopsis :

Le film raconte l’histoire d’Amande, qui perd son fils Gaspar, la veille de son premier anniversaire. Après l’enterrement de Gaspar, rien ne semble pouvoir empêcher Amande d’être engloutie par ce vide qui s’ouvre devant elle.

Pour se libérer du désespoir qui la submerge, Amande s’engage dans une quête initiatique, à la rencontre d’autres personnes qui ont éprouvé la même indicible douleur et qui aujourd’hui ont retrouvé le goût de vivre.

Le succès de ce film, ce sont avant tout les mots simples de cette maman fabuleuse, absolument touchante d’authenticité, qui ne cache pas ses doutes et ose se montrer vulnérable devant les caméras.

À mon sens, ce courage est exemplaire et à lui seul une formidable source de réconfort pour tous ceux qui auront la bonne idée d’aller voir ce documentaire d’une grande intelligence émotionnelle.

Le Festival chrétien du pays-rochefortais, vous invite à poursuivre votre voyage en Humanité, avec son nouvel évènement Ciné-Conférence, organisé

 Dimanche 1er Décembre à 16h00  à l’Apollo Ciné 8 de Rochefort

Le deuil est le sujet de cette nouvelle rencontre. Le deuil est l’expérience humaine la plus universellement partagée et nous savons qu’il y a des pertes qui changent à tout jamais une existence.

L’évènement débutera avec la projection du très beau documentaire « Et je choisis de vivre », élu meilleur documentaire de l’année 2019 par Allo Ciné.

Ce film sera suivi par les interventions de Martine Piton, Présidente Poitou – Charentes de l’association Vivre son Deuil, et de Liliane
Thomas, responsable Charente-Maritime de l’association SPAMA.
Avec elles nous découvrirons et comprendrons les différentes étapes du deuil, comme temps de relation avec la personne aimée et comme processus naturel de restructuration de soi.
L’évènement commencera à 16h00 et se terminera à 18h00.

Les entrées sont au tarif de 7€ 50, et à partir de 6€ pour les enfants de – de 14 ans.
Pour des raisons d’organisation il est demandé de réserver ses places, au cinéma ou sur son site internet. Les réservations sont ouvertes dès le 12 novembre.

Venez nombreux !

 

Se nourrir de la Parole de Dieu

Vendredi 29 novembre 2024

 Évangile : Lc 21, 29-33.

 Paroles du saint père

 Demandons-nous: dans quoi investissons-nous notre vie? Sur des choses qui passent, comme l’argent, le succès, l’apparence, le bien-être physique ? De ces choses, nous n’apporterons rien. Sommes-nous attachés aux choses terrestres, comme si nous devions vivre ici pour toujours ? Tant que nous sommes jeunes, en bonne santé, tout va bien, mais quand vient l’heure du départ, nous devons tout quitter.

La Parole de Dieu nous avertit aujourd’hui: la scène de ce monde passe. Et seul l’amour restera. Fonder sa vie sur la Parole de Dieu, n’est donc pas s’évader de l’histoire, c’est s’immerger dans les réalités terrestres pour les rendre solides, les transformer par l’amour, en y imprimant le signe de l’éternité, le signe de Dieu. Voici alors un conseil pour faire des choix importants. Quand je ne sais pas quoi faire, comment faire un choix définitif, un choix important, un choix qui implique l’amour de Jésus, que dois-je faire? Avant de décider, imaginons-nous face à Jésus, comme à la fin de la vie, devant Lui qui est amour.

Et en y pensant, face à lui, au seuil de l’éternité, nous prenons la décision pour aujourd’hui. C’est ainsi que nous devons décider: toujours en regardant l’éternité, en regardant Jésus. Ce n’est peut-être pas la plus facile, ce n’est peut-être pas la plus immédiate, mais ce sera la bonne, cela est certain

Vatican News

 Vous pouvez télécharger et relire les derniers commentaires en cliquant ci-dessous, sur la date de votre choix.

Ciné-Débat au palais des congrès de Rochefort jeudi 28 novembre

Jeudi 28 novembre à 19h15 salle Pierre Loti au Palais des congrès de Rochefort  (73 rue Toufaire ) le CCFD Terre Solidaire local vous propose un film débat :

“Les maux de notre alimentation” film de Clément Lefer, Maud Koenig O’Carroll et Christophe Guérin.

Notre alimentation dépend en partie du travail de populations des pays du Sud.
Les conditions de leur travail ne sont pas optimales…(vous le verrez en Equateur)
S’informer sur leurs réalités  et échanger sur nos réactions possibles
sont le but de cette soirée.
L’entrée est gratuite

Qu’est-ce que la fête du Christ-Roi ?

La solennité du Christ Roi de l’Univers termine l’année liturgique et précède le premier dimanche de l’Avent.

Cette solennité est d’origine récente : elle fut instituée par le Pape Pie XI en 1925. Elle est célébrée le 34e et dernier dimanche du temps ordinaire. Son thème essentiel reprend les grandes proclamations de Louange au Christ que l’on trouve, par exemple, au début des lettres de saint Paul aux Éphésiens et aux Colossiens. À cette occasion, on célèbre le Christ, Fils de Dieu notre Sauveur, comme Seigneur du Cosmos tout entier.

“Il est l’icône du Dieu invisible, le premier-né par rapport à toutes les créatures. C’est en Lui que tout a été créé dans les cieux et sur la terre, les êtres visibles comme les invisibles. Tout est créé par Lui et pour Lui. Il est avant tout les êtres et tout est maintenu en Lui. Il est aussi la Tête du Corps qui est l’Eglise. Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, puisqu’il devait avoir en tout la primauté” (Col. 1. 15-18).

Jésus est-il vraiment roi ?

On peut être gêné par cette appellation de Roi donnée au Christ et se demander, à la suite de la question que posa Pilate au Procès de Jésus à Jérusalem : de quelle royauté s’agit-il ?

Le nom que préfère se donner Jésus n’est ni celui de Roi, ni celui de Messie. Quel nom lui donner alors ? Un double nom reliant la Gloire et la Croix. Il est à la fois le Fils de l’Homme et le Serviteur livré : un titre de gloire et de souveraineté (Fils de l’Homme) et un titre d’amour, de service et de don total à l’Humanité (Serviteur livré).

Jésus le rappelait sur la route d’Emmaüs, après sa mort et sa résurrection, aux disciples qui n’avaient rien compris : “Ne fallait-il pas que le Christ souffrit cela d’abord, pour entrer dans sa Gloire ?” (Lc 24, 25). La Royauté du Christ n’est pas de s’imposer aux consciences, de faire poser le poids de l’autorité comme les puissants de ce monde. Jésus l’avait déclaré à ses disciples Jacques et Jean : “Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude” (Marc 10.45). Si le Christ est Roi, c’est un Roi Serviteur, un Roi qui aime et sauve.

(Article tiré du Jour du Seigneur)

 

 

 

 CINÉ-DÉBAT, « LE CHANT DES VIVANTS » de Cécile Allegra

Vendredi 22 novembre 2024 à 19h00

à l’auditorium du Palais des Congrès de Rochefort

Participation libre.

Le film suit des personnes migrantes, toutes survivantes de la longue route de l’exil. À pied, en camion, ils ont fui la guerre, les persécutions, la torture. Ils ont survécu à l’arrachement, à la route, à l’enfer de la Libye, à la traversée de la Méditerranée. A Conques, en Aveyron, l’association Limbo les accueille pour les aider à se reconstruire.

Le film sera suivi de la projection d’un entretien filmé de la réalisatrice, présentant l’initiative du projet et ses enjeux, puis d’un débat avec : Guillaume Marsallon de La Cimade, Véronique Sévin de Limbo, ainsi que Chloé Lamotte d’Incamps et François Lemore, pour présenter les dispositifs de prise en charge existants sur notre territoire et évoquer leurs expériences.

Une soirée organisée par la Cimade  dans le cadre de son festival “Migrant’scène” et proposée en partenariat Amnesty International  la LDH.

 

 

 

 

La collecte annuelle du Secours Catholique : dimanche 17 novembre 2024

Courrier 2024 venant de la Délégation des Charentes

Bonjour,

Le rapport statistique du Secours Catholique paru ce 14 novembre parle des difficultés d’accès à la protection sociale, qui se sont aggravées ces dix dernières années.

Quand il y a des périodes de ruptures de droits, qui peuvent être causées par l’administration elle-même, nous constatons :

  • l’éloignement géographique des administrations
  • l’éloignement physique : la dématérialisation des démarches administratives, l’impossibilité d’avoir des interlocuteurs. Un véritable parcours du combattant pour accéder à la protection sociale

Toutes ces crises compliquent davantage l’équilibre budgétaire des personnes pauvres. Elles font la plupart du temps de très gros efforts pour bien gérer leur maigre budget, les bénévoles du Secours Catholique en sont témoins.

Une fois les charges incompressibles réglées (loyer, eau, gaz, électricité), la moitié des ménages connus du Secours Catholique disposent d’un reste pour vivre de 5 euros par jour et par personne !

Il en résulte la plupart du temps : une charge mentale permanente, le stress et les angoisses surdéveloppés, et bien souvent des impacts sur la santé !

Le premier besoin identifié reste l’écoute et le dialogue en confiance (59% des rencontres) car la pauvreté isole, et les préjugés tenaces remplissent de honte ceux qui ne parviennent plus à faire face aux dépenses.

Les 650 bénévoles et 7 salariés de la Délégation du Secours Catholique des Charentes sont au contact direct de ces situations qu’ils côtoient au quotidien. Ils agissent courageusement et font part régulièrement de difficultés dans la mission qu’ils partagent mais aussi de la richesse des rencontres ! On peut citer brièvement quelques “actions phares” qui s’adaptent aux besoins d’aujourd’hui sur les deux Charentes :

L’accueil individuel inconditionnel : lieu de rencontre, d’écoute.

– Les cafés causettes : lieux d’accueil et d’écoute, avec distribution de petits déjeuners.

– La réflexion de fond sur “l’accès digne à l’alimentation” avec des jardins solidaires, des paniers solidaires, ainsi que des ateliers de cuisine et repas partagés !

Vous trouverez en sortant  les enveloppes permettant d’envoyer vos dons. Donner, c’est déjà agir ! Donner, c’est participer à cette magnifique chaîne de solidarité fondée sur l’Evangile !

Merci pour les gestes précieux que vous ferez !

Bon dimanche à tous !

Pour télécharger ce courrier ou l’imprimer cliquer ICI

En 2023, l’association a collecté 154 millions d’euros utilisés pour venir en aide à 3,6 millions de personnes en France et à l’international.

Le Secours Catholique est soucieux de la bonne utilisation des ces fonds et veille à ce qu’ils soient redistribués auprès de celles et ceux que nous aidons. Gage de son sérieux, les comptes du Secours Catholique sont contrôlés par un commissaire aux comptes, par un censeur du Comité de la charte du don en confiance et par un audit interne.

Origine des dons
Origine des dons
Utilisation des dons
Utilisation des dons

Avec des ressources économiques évaluées à 339 millions d’euros pour l’année 2023, le Secours Catholique a consacré 263 millions d’euros à ses missions sociales en France. Ces actions sont menées auprès des familles à faibles ressources, des personnes à la rue, des migrants, des familles et des enfants en situation de précarité ou d’exclusion (organisation de séjours en vacances, accompagnement scolaire…), des demandeurs d’emploi ou encore des personnes âgées isolées… Elles consistent en de l’accompagnement des personnes en difficulté vers la sortie de la précarité et dans le cas d’urgences en du soutien financier.

Dans le monde, agir en partenariat

Les actions du Secours Catholique à l’international sont conduites en lien avec les partenaires locaux, principalement ceux du réseau Caritas Internationalis. Elles visent à améliorer l’accès aux droits (à l’alimentation, à l’eau, à l’éducation, à la citoyenneté…) de populations en situation de pauvreté ou d’exclusion partout dans le monde, à promouvoir la justice sociale et un développement durable.

Découvrir les actions de solidarité internationale du Secours Catholique

TRANSPARENCE ET CONTRÔLE DE NOS COMPTES

Comité de la charte don en confianceLe Secours Catholique est labélisé par le Don en Confiance, organisme de contrôle des associations et fondations faisant appel aux dons : à ce titre, le Secours Catholique se soumet volontairement et annuellement au contrôle de cet organisme qui lui délivre son label “Don en Confiance”. La labellisation du Don en Confiance implique le respect de 4 grands principes : Respect du donateur, transparence, recherche d’efficacité et probité et désintéressement.

télécharger LE RAPPORT FINANCIER 2023

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