La paroisse vous propose de prier avec Taizé chaque premier lundi soir du mois à 20h30 à la chapelle de Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis (entrée par la rue Pierre Loti).
Pour les musiciens rejoignez-nous à 20h15 avec votre instrument.
Dates programmées :
1er juillet 2024
CONTACT PAROISSE :
SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort ☏ 05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com
En raison du festival des Sœurs jumelles à Rochefort, du mardi 24 au samedi 29 juin les horaires des messes changent, elles auront lieu à 9h au lieu de 18h00 dans la chapelle Notre Dame de Lourdes de l’église St Louis.
Le festival sœurs jumelles ou la rencontre de la musique et de l’image.
Pour la 4ème édition le rendez-vous imaginé et proposé par Julie GAYET dévoile sa programmation des plus électriques avec en prime des nouveautés.
Lancement le mardi 25 juin 2024à partir de 16h00 place Colbert à Rochefort
Le Festival Sœurs Jumelles 2024 se déroulera du 25 au 30 juin prochain à Rochefort. Ce festival de Charente-Maritime propose des concerts et spectacles sous formes de conversation artistiques.
Des artistes de la chanson française comme Mc Solar, Etienne Daho, Olivia Ruiz et Clara Ysé seront en concert
Concert Symphonique Cinéma Lucie Leguay, direction Alexandre Tharaud, piano
Alexandre Tharaud, accompagné de trentre-cinq musiciens de l’Orchestre National de Bordeaux, présente les musiques de film de sa vie, avec des arrangements des grandes pages d’Ennio Morricone (Cinéma Paradiso, La Banquière), Vladimir Cosma (L’As des as, Le Grand Blond avec une chaussure noire), John Williams (La Liste de Schindler), Michel Legrand (Les Demoiselles de Rochefort, L’Eté 42) Philippe Sarde (Le Chat, Les choses de la vie), Gabriel Yared (L’Amant), Claude Bolling (Borsalino), Francis Lay (Un homme qui me plaît).
Concert en partenariat avec l’Opéra National de Bordeaux.
PREMIÈRE PARTIE Des élèves de l’École normale de musique de Paris se produiront en première partie de ce concert. Depuis sa fondation par Alfred Cortot en 1919, cette école attire des étudiants venus du monde entier pour l’excellence de son enseignement et son engagement à faire rayonner la musique française à l’étranger.
Anna & Anastassia Touliankina
C. Chaminade : Six Pièces Romantiques op. 55/1 “Primavera” et op. 55/2 “La chaise à porteurs”
C. Chaminade : Six Pièces Romantiques op. 55/3 “Idylle Arabe” et op. 55/4 “Sérénade d’Automne”
C. Chaminade : Six Pièces Romantiques op. 55/5 “Danse Indoue” et op. 55/6 “Rigaudon”
N. Kapustin : Sinfonietta op.49 pour piano 4 mains
Samedi 29 juin 2024 à 20h 00 au temple église protestante unie de Rochefort.
Le “café mortel” est un espace pour celles et ceux qui se sentent concernés ou qui s’interrogent sur le deuil et la mort. C’est un moment de partage où chacun peut s’exprimer, être écouté sans aucun jugement, ni commentaire.
C’est une forme participative d’échanges, un “partage – expériences” sur la mort, le deuil, les obsèques…pour sortir des tabous au sujet de la perte d’un proche.
Animé par Jérémy Duval, ancien pasteur de l’Eglise protestante Unie de France et ancien conseiller funéraire, aujourd’hui Maître de conférence funéraire.
Contact :
Eglise Protestante Unie de Rochefort, 17 rue J. Jaurès 17300 Rochefort
La Nuit des églises, initiée par l’Église de France, est une manifestation cultuelle et culturelle inscrite dans le paysage estival des diocèses depuis 2011, bénéficiant d’une reconnaissance à l’échelle nationale, et à laquelle participent chaque année plusieurs centaines d’églises.
Selon Mgr Jean Legrez, archevêque d’Albi et initiateur du projet, “cet événement répond à une double mission : d’une part, permettre aux communautés chrétiennes locales, même dans les plus petits villages, de faire vivre ou de se réapproprier leur église, lieu de leur histoire et de leur enracinement ; d’autre part, ouvrir leurs portes et accueillir largement tous ceux qui se présentent : artistes, visiteurs, curieux, personnes qui s’interrogent… Lors d’une même semaine, partout sur le territoire de notre pays, cela constitue un signe fort d’unité et de manifestation vivante de l’Église rendue visible à travers nos églises”.
Pendant une ou plusieurs soirées, chacun est invité à franchir le seuil d’une église afin de découvrir sous une nouvelle lumière, les richesses de son patrimoine de proximité grâce à des programmes variés : des visites aux chandelles ou guidées, des concerts, des chœurs, des expositions de création contemporaine et/ou d’ornements liturgiques, des lectures, des temps de prière…
Depuis sa création il y a 13 ans, ce sont plus de 7 000 chapelles, églises et cathédrales qui ont participé au moins une fois à La Nuit des églises. Chaque année à cette occasion, des centaines d’animations ont lieu partout sur le territoire avec une grande variété des animations (visites guidées, concerts, expositions, animations ludiques et performances artistiques).
Mardi 11 juin 2024 de 9h30 à 16h30 rendez-vous église St Grégoire d’Ardennes
A une dizaines de kilomètres au sud de Pons pour notre prochaine journée catéchétique en extérieur sur les bords de la Seugne.
Nous serons invités à mettre nos pas dans ceux de nos anciens, notre prière dans leurs propres espérances, les mots de notre foi dans leurs représentations spirituelles.
Etre au secrétariat c’est être utile, au centre de la vie paroissiale.
❖ Le secrétariat paroissial Rochefort
109 Ter rue Pierre Loti – 17300 Rochefort ( derrière l’église St Louis) ☏ : 05.16.65.42. 89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com
Il est ouvert tout au long de l’année, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 17h.
L’une des richesses de la paroisse c’est VOUS ! Vous qui acceptez de donner de votre temps à la vie de la paroisse. Nous avons tous des talents que le Christ nous invite à mettre au service des autres. Participer à la vie paroissiale au sein d’une équipe permet, en plus de la joie du service, la joie de la rencontre et de la vie fraternelle !
Vous voulez donnez de votre temps et servir l’Église ?
L’activité est simple : on accueille, on informe, on répond au téléphone et on se sert du logiciel informatique.
Donner de son temps
Sur la paroisse de Rochefort, nous recherchons des volontaires pour assurer la gestion du secrétariat paroissial, pendant une demi-journée par semaine,
pour répondre aux appels, recevoir les paroissiens, aider à la gestion des registres…
Si vous êtes intéressés (es) et si vous désirez obtenir davantage de renseignements, n’hésitez pas à nous joindre par téléphone ou
par courriel. Nous avons besoin de vous !
CONTACT PAROISSE :
SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort ☏ 05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com
Antoine de Padoue naquit à Lisbonne vers 1195. Entré chez les chanoines réguliers de saint Augustin, il demeura onze ans au monastère de Sainte-Croix à Coimbra.
Dans ce centre réputé d’études théologiques, il acquit une connaissance merveilleuse de la Sainte Écriture et des Pères. Désireux du martyre, il passa en 1220 aux Frères Mineurs. Il se rendit effectivement au Maroc mais dut le quitter pour cause de maladie. Puis il mena une vie de haute contemplation au Monte Paolo ( Romagne) Il s’adonna ensuite à la prédication et y connut un succès inouï, confirmé par d’éclatants prodiges.
Les sermons de saint Antoine s’adressent tantôt aux fidèles en général, tantôt à des catégories précises de personnes: pénitents, actifs, contemplatifs, religieux, prédicateurs, prélats, etc. ; à chacune de ces catégories notre saint trace la voie du salut et de la perfection.
Il se montre partout d’une sûreté et d’une rectitude de doctrine admirable; néanmoins il évite les spéculations pour toujours rester pratique. De temps en temps, il interrompait l’apostolat pour se plonger dans la contemplation, où Dieu lui accordait des grâces mystiques. Il occupa aussi plusieurs charges dans l’Ordre et enseigna la théologie à ses jeunes confrères. Antoine mourut à Padoue le 13 juin 1231 et fut canonisé le 30 mai 1232.
En 1931, lors du septième centenaire de la mort de notre saint, les Frères Mineurs demandent au Saint-Siège de bien vouloir honorer saint Antoine du titre de docteur de l’Église.
Le dossier sera présenté en 1936, orné de 2017 signatures venues de partout. C’est le 16 janvier 1945 que saint Antoine sera nommé docteur de l’Église Universelle.
Pourquoi prier saint Antoine?
Saint Antoine de Padoue est sans doute l’un des saints les plus vénérés et priés au monde. Mais pourquoi le prie-t-on? Qu’attend-on de lui ?
Suivant une ancienne tradition, rattachée à un épisode de sa vie, saint Antoine est invoqué pour retrouver les objets perdus. Attention délicate du saint, lorsqu’on pense à l’angoisse de ceux qui ont égaré un document précieux ou la clé de la maison, d’un coffre, de la voiture, etc… Une approche en vérité de saint Antoine peut aussi faire recouvrer la foi, favoriser le retour à la pratique religieuse et même le retour de la force et du courage perdus pour affronter les épreuves de la vie quotidienne: maladie, divorce, perte d’un être cher.
N’est-il pas, lui même, un maître en théologie et un modèle de vie spirituelle, toujours proche de Dieu et des hommes? Au-delà des prières que nous pouvons lui adresser, c’est surtout son message que nous pouvons retenir;
Les choses perdues
C’est sans doute le motif le plus fréquent d’invocation de saint Antoine : retrouver les choses perdues.
D’où cela vient-il ? Certains biographes pensent que cela remonterait à un incident survenu dans la vie du saint. On raconte en effet qu’Antoine possédait un psautier annoté de sa propre main dont il faisait usage pour donner des cours d’Écriture sainte à ses confrères. Or, un novice, qui voulait quitter l’Ordre, s’empara du précieux volume et partit. Antoine pria pour retrouver son psautier. Effectivement, un peu plus tard le novice, repentant, rapporta ledit volume et même réintégra l’Ordre.
Il y a également une hymne composée en l’honneur de saint Antoine qui a connu la plus étonnante des fortunes. Julien de Spire, dans son hymne “Si quaeris miracula”, ce qui veut dire : “Si tu cherches des miracles”, dit que saint Antoine redonne à ceux et celles qui l’en prient l’usage des membres et des forces perdues, en latin : membra viresque perditas.
Dans le cours du temps, on ne sait trop pourquoi, les deux premières lettres de viresque auraient disparu, ne laissant subsister que resque, et “res” veut dire chose. Puisqu’en latin “que” signifie “et“, “resque” se traduit par “et les choses“. Ainsi le sens de la phrase a changé pour donner : les membres et les choses perdues, au lieu de : les membres et les forces perdues. Saint Antoine aurait-il validé le nouveau sens de la phrase pour aider ses frères et sœurs à retrouver des choses perdues ? Une chose est sûre : ça marche, et même, parfois, il retrouve aussi des personnes perdues. Pourquoi pas ?
Le lys de saint-Antoine
Il est légitime de se demander d’où vient la dévotion aux lys de saint Antoine, puisque cette dévotion existe. Voici une hypothèse: au cours de la révolution italienne, les Franciscains de la ville de Marcasso en Sicile, furent expulsés de leur couvent. L’église, demeurée ouverte, restait déserte. Or, une fois l’an, la population des alentours y venait pour la fête de saint Antoine. Beaucoup de fleurs de toute sorte étaient apportées à cette occasion. Il y avait en particulier des roses et des lys.
Avant de repartir, chacun rapportait chez soir une fleur que l’on conservait comme un précieux souvenir. Une année, le sacristain oublia de replacer la statue du saint dans sa niche. Quelques semaines plus tard, il vint réparer son oubli.
Mais quelle ne fut pas sa surprise : au pied de la statue se trouvait une gerbe de lys d’une incomparable fraîcheur. L’étonnement fut d’autant plus grand que les autres fleurs abandonnées sur place étaient complètement desséchées. La nouvelle fit boule de neige et on voulut voir de ses yeux ces admirables lys, alors que la saison des lys était bel et bien passée.
Un prodige semblable se serait passé à Mentosca, en Autriche, en 1630. Un lys avait été déposé dans la main de saint Antoine pour la fête du 13 juin. Laissé là toute l’année, il conserva sa fraicheur et continua de répandre son parfum. Le pape Léon XIII a concédé lui-même une bénédiction spéciale des lys de saint Antoine pour la fête du saint.
Le bref de saint-Antoine
Une femme du Portugal, en butte aux vexations du démon, ne savait plus à quel saint se vouer. Un jour, son mari la traita de “possédée du démon”. Alors, n’y tenant plus, elle décida de mettre fin à ses jours, en se jetant dans le fleuve.
En cours de route, elle passa devant l’église des Franciscains et s’y arrêta pour une dernière prière. C’était un 13 juin. Pendant sa prière elle s’endormit, et, soudain, Antoine lui apparut, un papier à la main : « Prends ce billet et il te délivrera ». Or, le billet portait cette citation de l’Apocalypse : « Voici que le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu de manière à pouvoir ouvrir le livre et en ouvrir les sceaux ».
À son réveil, toute surprise de se retrouver avec ce billet en main, elle reprit confiance et retourna chez elle complètement guérie. Ce billet parvint jusqu’au roi du Portugal qui en facilita grandement la diffusion. C’était une formule brève: un Bref, efficace entre les mains de tous ceux et celles qui y croient. Cette dévotion au Bref de saint Antoine est encore très populaire de nos jours et bien des personnes portent ce bref sur elles.
Le pain des pauvres
Ceci s’est passé à Padoue, au Moyen Âge. Un enfant laissé sans surveillance, s’amusa dans l’eau et se noya. De retour, la mère chercha son enfant et le retrouva enfin, mais sans vie.
Des Franciscains qui surveillaient la construction de la basilique accoururent et consolèrent la pauvre femme du mieux qu’ils purent. L’enfant était inerte mais la foi de sa mère resta vive. Elle fit à saint Antoine la promesse suivante : ” Si mon enfant revient à la vie, je donnerai aux pauvres autant de pain que pèse mon enfant“. On pria beaucoup et vers la fin de la nuit l’enfant revint à la vie. Telle serait l’origine de l’œuvre du pain des pauvres qu’on a surnommée en ce temps là “pondus pueri ” ou ” poids de l’enfant” en latin. Au début du 19e siècle, le prodige est oublié, mais à la fin du même siècle, grâce à l’aventure qui advint à Louise Bouffier, il refit surface.
En effet, le 12 mai 1890, Louise ne parvenait pas à ouvrir la porte de son magasin. La serrure était brisée et le serrurier, impuissant, suggéra d’enfoncer la porte. Au dernier moment, la dame se ravisa et dit au serrurier : « Essayez encore avec cette clé. Si cela réussit, je promets à saint Antoine de donner autant de pain aux pauvres que je le pourrais ». Cela marcha ! De là s’est répandue l’habitude de ramasser du pain pour les pauvres en échange d’une faveur obtenue.
L’enfant Jésus dans les bras de saint Antoine
C’est peut-être le plus grand titre de gloire, ou plutôt de bonheur, que cette présence de l’enfant Jésus dans les bras de saint Antoine. Il nous a été transmis qu’un frère moine, à Camposampiero, en entrant dans la cellule d’Antoine, le vit, entouré de lumière, caressé par Jésus, tenu dans ses bras. Quelle grâce extraordinaire !
Le père Christophe de la Chanonie recherche pour sa comédie musicale : « Les cerisiers de Nagasaki » des personnes sachant bouger sur scène et chanter.
Il y a cinq rôles d’acteur-chanteur. Huit personnes sont recherchées au total.
Les faits sont authentiques, et le récit adapté pour les besoins de la narration.
L’histoire se déroule dans les années 1935 à 1950 au Japon. La Japon est en guerre avec la Chine et quelques années plus tard la seconde guerre mondiale éclate. Arrive l’explosion de deux bombes nucléaire successives, puis la reconstruction. Un jeune couple vit dans la ville de Nagasaki. Midori, jeune femme et mère de famille, et son époux Takashi Nagai, brillant universitaire et chercheur, qui effectue les premiers clichés radiologiques. Il se convertit, adulte, au catholicisme. Cette comédie musicale raconte et retrace les grandes étapes de la vie du couple avant, pendant et après la guerre.
Nous cherchons :
un homme entre 30 et 40 ans, cheveux foncés, taille environ 1m70, de corpulence mince, yeux foncés pour jouer le rôle de Takashi Nagaï : Takashi est un radiologue venant progressivement à la foi en Christ ; il est confronté à la mort, la guerre, la souffrance ; auteur d’une œuvre scientifique et littéraire, il devient alors célèbre dans son pays et au-delà : c’est un sage.
une femme 30/40 ans, cheveux longs foncés, taille environ 1m60, attitude gracieuse, pour jouer le rôle de Midori : Midori est issue de la famille Moriyama, dont les ancêtres sont des « chrétiens cachés », qui au Japon se sont transmis clandestinement pendant des siècles la foi chrétienne. Logé chez eux, l’étudiant Takashi découvre cette religion, et une idylle naît entre eux.
une femme 50/60 ans, taille environ 1m60, pour jouer le rôle de la belle mère de Takashi : Mme Moriyama, mère de Midori. Elle vit au côté de sa fille et prend soin de la maison et de ses hôtes ; elle travaille dans les rizières.
un homme 45/55 ans, taille environ 1m80, pour jouer le rôle de Maximilien Kolbe : polonais, religieux franciscain, en mission au Japon de 1930 à 1933, côtoie Takashi Nagaï qu’il consulte pour des problèmes pulmonaires. Entreprenant, il développe sur place l’imprimerie de journaux religieux. Il regagnera la Pologne mais sera arrêté et envoyé au camp de concentration d’Auschwitz où il mourra de faim et de soif en prenant la place d’un père de famille. Il a l’étoffe d’un saint.
une femme 25/30 ans, 1m 60 environ, pour jouer le rôle d’une religieuse infirmière (japonaise) : elle travaillera avec un Professeur de médecine. Ces deux personnages sont inventés pour restituer l’ambiance de l’université de médecine de Nagasaki à l’époque, et les secours sur les champs de bataille.
Les postulants seront bénévoles et devront accepter de travailler en équipe, d’être maquillés et costumés pour les rôles. Après au moins trois représentations dans le diocèse vers Pentecôte 2025, il est possible que des représentations se fassent ensuite à l’extérieur du département.
Période de répétitions (St Sulpice de Royan) : dernier trimestre 2024 et année 2025.
Vous pouvez postuler en envoyant coordonnées et une courte vidéo par mail : falci.musique@gmail.com ou par téléphone 06 95 85 26 38.
Merci d’envoyer vos candidatures avant le 2 septembre 2024
Le père Christophe de la Chanonie, du diocèse de La Rochelle depuis 2000, a créé la « Tournée des curés ».
ll compose des chansons accompagné d’un musicien professionnel.
Il est auteur-compositeur de cette comédie musicale.