L’onction des malades

Recevoir en communauté le sacrement de l’onction des malades

Dimanche 16 avril à l’église St Louis de Rochefort

Cette proposition est faite à tous ceux qui subissent une maladie grave, une opération importante ou une vieillesse qui a besoin de soutien spirituel.

 

Après la Passion, le silence divin.

Comme l’eau au milieu du jardin, le silence irrigue nos vies, sans faire de bruit. Au coeur des ténèbres, au coeur de nos souffrances, il est là, Dieu est là.

À la mort de Jésus, des signes sont donnés . la terre tremble et les rochers se fendent (cf. Mt 27, 51). Des cœurs s’ouvrent aussi, comme celui du centurion criant sa foi : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu ! » (Mc 14, 39).

De la foule des disciples il n’en reste que quelques-uns : parmi eux se trouve la Vierge Marie. Ils sont là près de la Croix. Le ciel se manifeste à tous mais seuls les cœurs blessés,  ouverts à l’espérance comprendront les signes donnés.

Une phrase de Jésus leur revient : prononcée quelques jours auparavant, aux Rameaux. Jésus disait : « Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit » (Jn 12, 24).

Ils comprennent maintenant qu’il s’agit de Jésus et de leurs illusions, Le peuple simple, proche de la nature, sait que le  grain de blé doit mourir pour produire la victoire des moissons. Pour autant nul n’imagine que d’un tel drame puisse surgir la lumière de la Résurrection. Les amis du Christ sont dans le silence de l’attente. Le silence du passage de la mort à la vie.

Aujourd’hui encore, l’Église passe par le chemin douloureux du Christ portant la croix, elle est souffletée par les révélations concernant les errements de ses clercs, elle saigne des persécutions de ses fidèles, de par le monde,  elle traverse des tempêtes. Benoît XVI,  lors des obsèques du cardinal Meisner disait en 2016 : « Le Seigneur n’abandonne pas son Église, même lorsque parfois le navire a tant pris l’eau qu’il est sur le point de chavirer. »

Nous allons, en silence,  ce Samedi saint, faire descendre en nos cœurs ce mystère de deuil,  de compassion, de contemplation douloureuse, intensément vécu par la Vierge Marie. Elle qui entendit son fils Jésus, sur la croix , prier   le psaume 30 : « Père, en tes mains je remets mon esprit ! »

Le Samedi saint, veille du dimanche de Pâques clôt la Semaine sainte.

C’est un jour de silence,  plongées dans le noir, les églises tiennent leurs  cloches muettes . Au soir du Samedi saint débute la Vigile Pascale. C’est une veillée liturgique, célébrée en l’honneur du passage de Jésus, des ténèbres de la mort, à la lumière de la Résurrection, le dimanche de Pâques.

Dimanche de Pâques, les cloches sonnent à toute volée…

  • Pâques →  9h30 à l’église St Pierre du Breuil Magné. – 10h30 à l’église St Etienne de Tonnay Charente→  11h00 à l’église St Louis.

 

Vendredi saint : Chemin de croix

  • Vendredi Saint à Rochefort  → 19h00 à l’église Notre Dame
  • Vendredi Saint → 18h00 à l’église St Etienne de Tonnay Charente

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche

Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation

Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession

Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?

Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

    • 1e station : Jésus est condamné à mort
    • 2e station : Jésus est chargé de sa croix
    • 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
    • 4e station : Jésus rencontre sa Mère
    • 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
    • 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
    • 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
    • 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
    • 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
    • 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
    • 11e station : Jésus est attaché à la croix
    • 12e station : Jésus meurt sur la croix
    • 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
    • 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
    • (15e station : avec Marie, dans l’espérance de la résurrection)
Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.

Les Rameaux : l’entrée de Jésus à Jérusalem

La fête des Rameaux à Rochefort et Tonnay Charente

Dimanche 2 avril 2023

  • 9h30 : messe à l’église St Pierre du Breuil Magné
  • 10h30 : messe à l’église de St Etienne de Tonnay Charente
  • 11h00 : messe à l’église St Louis

Scène de liesse d’une portée théologique immense

L’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, relatée de façon pittoresque, mais en même temps avec  une grande profondeur théologique nous prépare au drame qui va se dérouler, à Pâques.

Jésus entre à Jérusalem sur le dos d’un âne symbolique

Pour le lecteur contemporain, qu’un roi fasse une entrée triomphale sur un âne est un peu étonnant…

Pourtant, si Jésus choisit cet animal, c’est qu’il tient à accomplir la prophétie de Zacharie (Za 9,9) dans l’Ancien Testament où le prophète annonce l’arrivée du roi à Jérusalem :

« Tressaille d’une grande joie, fille de Sion ! Pousse des cris d’allégresse, fille de Jérusalem ! Voici que ton Roi vient à toi. Il est juste, lui, et protégé de Dieu, il est humble, monté sur un âne et sur un poulain, petit d’une ânesse. » (Za 9,9)

Et c’est peu dire qu’une telle entrée ne peut passer inaperçue des juifs. Ces derniers, lecteurs des prophètes, connaissent bien l’importance symbolique de cet animal comme en témoigne le midrash :

« L’âne qu’Abraham a sanglé [Gn 22,3] avec tant de dévouement, c’est ce même âne qui a transporté Moïse le libérateur en Égypte, et c’est lui encore qui apportera le rédempteur à ses descendants. » Pirqe de Rabbi Eliezer, ch. 31, VIIIᵉ-IXᵉ s. après Jésus-Christ.

La foule acclame Jésus comme le Messie

« Hosanna au Fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna dans les hauteurs ! » (Mt 21,9)

En criant « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur », le peuple de Jérusalem reprend les paroles du psaume 118, ce qui nous indique deux choses :

  • Le peuple de Jérusalem connaît par cœur le livre des psaumes. Ce qui, pour un connaisseur de la liturgie juive n’est pas très surprenant : le psaume 118 est utilisé lors de plusieurs grandes fêtes (à la Pâque, à Pentecôte, et à la Fête des tentes). C’est donc avec une prière archi-connue que Jésus est accueilli.
  • L’autre info majeure, c’est qu’en reconnaissant Jésus comme le fils de David, venant au nom du Seigneur, le peuple de Jérusalem reconnaît sa messianité. Ce Jésus qui entre sur un âne accomplit la promesse divine, récompensant l’attente de ce peuple.
Entrée à Jérusalem âne Jésus rameaux foule auréoles Giotto di Bondone
Giotto di Bondone (1266-1337), L’entrée à Jérusalem (fresque), Église de l’Arena, Padoue, Italie.

Que signifie le mot « Hosanna » crié par la foule ?

L’évangéliste Matthieu, comme tous les auteurs du Nouveau Testament, écrit son Évangile en grec. Pourtant, il ne prend pas la peine de traduire le terme Hosanna et se contente de transcrire ce terme hébreu.

Et que ce soit le latin, ou toutes les langues postérieures, toutes préserveront ce terme sans lui trouver d’équivalent. Il n’est donc pas inutile de se pencher sur sa signification. Deux possibilités s’offrent à nous :

  • L’étymologie d’abord. Hosanna signifie littéralement « sauve ! ». L’appel à un salut de la part du Fils de David est d’une grande portée dans le cadre d’une entrée messianique à Jérusalem.
  • Déjà à l’époque, ce chant est une acclamation liturgique, un chant de gloire et de joie. Dans notre texte le fait que l’on colle « au fils de David » au datif (on passe sur ce mode de déclinaison grec…) nous incite à voir le terme « Hosanna » comme une acclamation faite à Jésus et à Dieu.

En conclusion

Jésus arrive à Jérusalem monté sur un animal royal et messianique (l’âne), acclamé par une foule qui, en proclamant un psaume, l’identifie au fils de David venu au nom du Seigneur.

Déjà reconnu par certains comme le Messie, Jésus finira cette semaine conspué et cloué sur une croix…

Annonciation du Seigneur à Marie

La scène de l’Annonciation du Seigneur nous est bien connue. Dieu envoie l’archange Gabriel annoncer à Marie qu’elle a été choisie pour être la mère de son Fils Jésus. Dieu propose et attend une réponse.. qui sera : « Qu’il me soit fait selon ta parole. »

Le 25  mars, l’Église célèbre cet évènement qui inaugure l’accomplissement des promesses. Ainsi, dans sa confiance absolue en Dieu, Marie accepte le projet divin (Luc 1,38). Elle devient la Mère de Dieu et du Sauveur avant de devenir, au pied de la croix, la Mère de l’Église. C’est pourquoi cette fête est d’abord la fête de l’Incarnation. Dieu commence en Marie sa vie humaine qui conduira ce minuscule embryon jusqu’à la Croix et la Résurrection, jusqu’à la Gloire de Dieu.

Voyez et apprenez de là comment Marie, élue au-dessus de toute créature pour être mère de Dieu, reine du ciel et de la terre, a néanmoins fait choix pour elle-même d’être la servante de Dieu et de tout le monde.

(Bienheureux Ruysbroek – dans « Le Salut éternel »)

L’école privée St Joseph de Rochefort au service de vos enfants

Adresse de cette école privée :

  • Ecole saint Joseph
  • 65, rue Voltaire
  • 17300 ROCHEFORT SUR MER
  • Tél : 05.46.99.07.46
  • Fax : 05.46.99.07.46

Equipe enseignante :

1: Capucine Legourd (classe B), 2; Agnès Morange (AESH), 3: Nathalie Moore (English teacher), 4: Philippine Caillaud (CM1), 5: Fanny Dauchel (CE2), 6: Aîcha Garnier (AESH), 7: Adèle Larue (CE1), 8: Nadège Guillet (Classe B) 9: Julie  Gaborit (CP), 10: Lorie Baranger (CM2), 11: Dorothée Prineau (Classe A).

L’école a construit son projet éducatif autour de :

  1. l’acquisition des savoirs
  2. l’ouverture sur la vie
  3. la construction de la personne dans le respect de sa liberté
  4. la recherche d’un éveil spirituel ou d’un approfondissement de la foi chrétienne, la quête et l’appropriation des valeurs de l’Évangile
  5. L’acquisition des savoirs

Enseigner, c’est guider, éveiller la curiosité, apprendre à apprendre tout en assurant la solidité des fondamentaux : lire, écrire, compter.

L’apprentissage de l’enfant est favorisé par la proposition d’activités et de démarches pédagogiques ciblées et diversifiées qui tiennent compte de la personnalité et des besoins de l’enfant. Une aide individualisée est mise en place pour les élèves en difficulté ainsi qu’une proposition de soutien le midi.

  1. Une école ouverte sur la vie :

Les activités, au même titre que les enseignements, contribuent à l’ouverture sur le monde d’aujourd’hui.

Ainsi, au cœur des activités scolaires, les enfants sont initiés à l’anglais dès la petite section de maternelle. Les cours, assurés par un professeur d’anglais, ont lieu deux fois par semaine selon une progression solide et structurée.

  1. La construction et l’épanouissement de la personne :

Il n’y a pas d’instruction sans désir d’éduquer.

Enseigner, c’est accompagner un groupe classe mais aussi chaque élève personnellement en tenant compte de ce qu’il est afin qu’il trouve la voie qui sera pour lui la meilleure.

  1. La recherche de l’éveil spirituel :

Ouvert à tous, notre établissement se veut témoin engagé de la Foi chrétienne

Mme Guillet, chef d’établissement

Les classes de l’école

L’école Maternelle

Elle comprend deux classes de cycle: Classe A et Classe B regroupant des élèves des 3 niveaux de Maternelle  Petite section ,Moyenne section et Grande section .Les enfants y sont accueillis dès l’âge de 2 ans et demi.

Le CYCLE 1 cible les premiers apprentissages. il est principalement basé sur la variété des découvertes et les multiples expérimentations qui doivent être vécues sur cette période d’âge afin d’accompagner le développement de l’enfant.

L’école élémentaire

Elle comprend cinq classes réparties en deux cycles :

 le CYCLE 2  (1 classe de CP, de CE1 et une classe de CE2) cible la période des apprentissages fondamentaux.

 Le CYCLE 3  ( 1 classe de CM1, 1 classe de CM2) est consacré aux approfondissements nécessaires à l’enfant.

Peu à peu, une place particulière est accordée à l’appropriation des méthodes de travail qui permettent à l’élève d’acquérir l’autonomie suffisante pour entrer au Collège.

Les classes possèdent une structure d’aide apportée aux enfants en difficulté provisoire qui est assurée par une enseignante spécialisée en adaptation, appelé le RA (regroupement d’adaptation). 

L’enseignante spécialisée du réseau rochefortais s’appelle Blandine Rauturier.

Dsc 1023

 Toutes les classes de l’école bénéficient dès la maternelle :

  • d’une initiation à la langue anglaise
  • d’un programme de découverte de l’informatique et d’internet (à partir de la Grande Section)

Contact :

 

La Saint Valentin, fête de l’amour, est catholique

Qui est saint Valentin ?

Valentin de Terni, plus connu sous le nom de saint Valentin est un moine qui a refusé de se soumettre à l’empereur Claude II Le Gothique, ce dernier voulait interdire le mariage pour éviter que les hommes soient tentés de rester avec leurs femmes plutôt que de partir à la guerre.

A cette époque l’empire romain, engagé dans des campagnes militaires sanglantes, éprouve des difficultés à recruter des soldats,  Aussi les fiancés se mettent en quête d’une personne acceptant de les unir par les liens du mariage. Valentin de Terni accepta de marier les couples et défia ainsi l’autorité de l’empereur.

La légende prétend  que Valentin, après avoir assuré les jeunes hommes, leur donnait, une fleur de son jardin  que ceux-ci s’empressaient d’offrir à leurs fiancées. Informé l’empereur ordonna que Valentin soit emprisonné.

Si tu savais le don de Dieu, tu serais heureux et ton empire aussi !” Ce jour là à Rome, vers l’an 270, Valentin répond ainsi à l’empereur Claude qui l’interroge. Il est ensuite conduit chez le juge.

Or, celui-ci à une fille adoptive, aveugle. “Si tu peux la guérir, lui dit le juge, je croirais que Jésus est la lumière et qu’Il est Dieu“.

Le prisonnier, mettant la main sur les yeux de la jeune fille, pria : “Seigneur, qui êtes la Vraie Lumière, éclairez votre servante”. L’enfant recouvra la vue, demanda le baptême avec toute sa famille (une cinquantaine de personnes), et son père délivra tous les chrétiens qu’il tenait prisonniers.

Averti de ces conversions, l’empereur fait mettre à mort le juge et tous les siens. Valentin est décapité vers 273. Les reliques de ces martyrs sont vénérées  à Rome, dans l’église Sainte Praxède.

Le pape Gélase Ier le reconnaitra saint en 494 et il décidera de mettre sa fête au  14 février.

Cette histoire explique pourquoi fiancés et célibataires se sont placés sous le patronage de saint Valentin, saint patron des amoureux. Le jour de son martyr, fixé au 14 février, correspondait déjà dans la Rome Antique, aux festivités païennes des Lupercales, marquant l’arrivée du printemps.

Vers 500, les chrétiens remplacèrent les fêtes païennes par une fête liturgique, en l’honneur de saint Valentin. Que saint Valentin bénisse tous les amoureux !

Prière

Dieu Tout-Puissant, dont la bonté et la miséricorde sont infinies,  faites que tous ceux qui invoquent saint Valentin, soient exaucés en considération de ses mérites. Nous Vous remercions, Dieu Tout-Puissant d’avoir été éduqué dans la foi que saint Valentin a prêchée dans nos pays, il y a plus de 1300 ans.  Nous qui sommes par le baptême devenus vos enfants, faites que nous puissions un jour Vous contempler face à Face avec Saint Valentin.

Nous Vous le demandons, par Jésus Christ, notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous, dans l’unité du Saint Esprit, maintenant et pour les siècles et les siècles. Amen.

Saint-Valentin,
Faites que ma vie s’illumine dans le partage de l’amour.

Prière extraite du livre “Prier avec les Saints, recueil de 212 litanies”, de A. Mius, aux Ed. Résiac

Source : Spiritualité Chrétienne

Qu’est ce que le dimanche de la santé 2023

En France, cet événement se vit en paroisse à l’occasion du Dimanche de la Santé, généralement le dimanche le plus proche du 11 février. L’Église est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi.

Le Dimanche de la Santé aura lieu cette année le dimanche 12 février 2023 à 11h00 à l’église St Louis de Rochefort

Télécharger le livret ici.

Des fleurs dans nos églises pour créer un chemin vers Dieu

Chers paroissiens

La liturgie dominicale a vraiment besoin de bénévoles  pour le fleurissement  des églises Notre Dame  et St Louis de Rochefort. Pouvez-vous donner un peu de votre temps et de votre savoir-faire à la paroisse, qui manque cruellement de mains.

Merci beaucoup.

Contact PAROISSE : 

SECRÉTARIAT PAROISSIAL
Presbytère Saint-Louis
109 Ter rue Pierre Loti
17300 Rochefort
05 16 65 42 89 – @ : paroissederochefort@gmail.com

Fleurir une église, c’est créer un chemin vers Dieu

« La beauté des fleurs ouvre une porte vers le ciel.

Prier avec les fleurs, les feuilles, les fruits est un art, à la portée de tous.

Le fleurissement agrémente la liturgie, cette grande action de grâce centrée sur l’eucharistie, où le Christ se donne.

Cet art fait entrer la beauté de la création dans la célébration. 

Saint Jean-Paul II aimait les fleurs : dans la lettre apostolique du 4 décembre 1988 lors du  25ème anniversaire de la promulgation par Paul VI de la Constitution conciliaire Sacrosanctum Concilium sur la Sainte Liturgie, il disait :

« Les signes, surtout les signes sacramentels, doivent avoir la plus grande expressivité. Le pain et le vin, l’eau et l’huile, mais aussi l’encens, les cendres, le feu et les fleurs et presque tous les éléments de la création ont leur place dans la liturgie comme une offrande au Créateur et contribuent à la dignité et à la beauté de la célébration. »

« La plus grande expressivité » c’est-à-dire ce qui exprime avec force une pensée, un sentiment, une émotion. Autrement dit la liturgie est une action qui met en jeu des gestes et des signes forts qui doivent servir la célébration. Les éléments végétaux que nous arrangeons serviront l’action liturgique. Nous pouvons reprendre à notre compte le vocabulaire des concepteurs lumières : « habiter le lieu, éclairer ce qui s’y trouve et ce qui s’y passe. »

En étant au service de l’Église en prière, le fleurissement est soumis à l’action liturgique et doit respecter le temps liturgique. En effet, ce n’est pas en notre nom propre que nous fleurissons, mais au nom de toute l’Église. Quand l’Église célèbre le culte divin, elle le fait dans une culture donnée et dans le temps. Ce temps chrétien qui fait mémoire des interventions de Dieu dans l’histoire.

Ainsi, le fleurissement, en respectant le temps et la pédagogie mise en œuvre par l’Église elle-même, permet à l’Église en prière d’exprimer son attente, sa joie, sa peine, son espérance, bref de faire mémoire de l’aujourd’hui du Salut en le déployant dans notre histoire, ici et maintenant.

Le fleurissement dans la liturgie est donc l’une des mises en œuvre concrètes de la réponse de l’assemblée à Dieu qui œuvre pour le salut de l’homme.

C’est enfin permettre à la création d’entrer dans le temps éternel déployé par la liturgie et dans l’action de grâce de l’Église ».

 

Fête de la Miséricorde

Jeudi 15 décembre à 20h00 à l’église Notre Dame :

Célébration du sacrement de réconciliation

Prière de sainte Faustine Kowalska :

  •  « Je désire me transformer toute entière en Ta miséricorde et être ainsi un vivant reflet de Toi, ô Seigneur ; que le plus grand des attributs divins, Ton insondable miséricorde, passe par mon âme et mon cœur sur le prochain.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mes yeux soient miséricordieux, pour que je ne soupçonne et ne juge jamais d’après les apparences extérieures, mais que je discerne la beauté dans l’âme de mon prochain et lui vienne en aide.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mon oreille soit miséricordieuse, afin que je me penche sur les besoins de mon prochain et ne reste pas indifférente à ses douleurs ni à ses plaintes.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que ma langue soit miséricordieuse, afin que je ne dise jamais de mal de mon prochain, mais que j’aie pour chacun une parole de consolation et de pardon.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mes mains soient miséricordieuses et remplies de bonnes actions, afin que je sache faire du bien à mon prochain et prendre sur moi les tâches les plus lourdes et les plus déplaisantes.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mes pieds soient miséricordieux, pour me hâter au secours de mon prochain, en dominant ma propre fatigue et ma lassitude. Mon véritable repos est dans le service rendu à mon prochain.
  • Aide-moi, Seigneur, pour que mon cœur soit miséricordieux, afin que je ressente moi-même les souffrances de mon prochain. Je ne refuserai mon cœur à personne. Je fréquenterai sincèrement même ceux qui, je le sais, vont abuser de ma bonté, et moi, je m’enfermerai dans le Cœur très miséricordieux de Jésus. Je tairai mes propres souffrances. Que Ta miséricorde repose en moi, ô mon Seigneur.
  • Ô mon Jésus, transforme-moi en Toi, car Tu peux tout.
  • Ô mon Dieu caché dans ce grand et Divin Sacrement ! Jésus, soyez avec moi à chaque moment ! Et mon cœur sera tranquillisé.
  • Ainsi soit-il. »

Il m’a été demandé de faire un témoignage sur le sacrement de la réconciliation.

Juste quelques mots…

J’ai découvert, il y a maintenant quelques années, que comme tous les sacrements, la confession elle aussi devait partir de la Parole de Dieu. Pas évident au début. Peu à peu, j’ai fait l’expérience, en méditant la Parole, que Dieu lui-même me montrait des points de conversion, ce qui était à corriger, à ajuster.

Et le plus souvent, ces points n’étaient pas ceux que je voulais voir, ni ceux que j’aurais spontanément reconnu.

En quelque sorte, le sacrement de réconciliation c’est un peu moins moi qui coche une case dans une liste, et de plus en plus Dieu qui me montre les points, les liens, les lieux dans ma vie où je résiste à cet amour immense qu’il veut me donner.

Du coup, quand je vais trouver un prêtre pour me confesser, j’essaye de venir avec la parole qui m’a montré ou qui a mis en évidence la blessure que Dieu veut venir guérir. Cela reste encore difficile d’avouer clairement mes fautes, mes ruptures d’amour avec Dieu, les autres ou envers moi-même, question d’amour propre sans doute aussi, mais je sais au plus profond de moi que c’est un rendez-vous avec l’amour miséricordieux de Dieu pour moi, avec cet Amour qui veut me façonner toujours plus à son image et qui me libère.

Témoignage anonyme recueilli le 28 novembre 2021 à Rochefort

Accueil des enfants pendant la messe

Tous les dimanches pendant la messe de 11h00, l’accueil des enfants est tenu par des parents, dans la chapelle du Sacré coeur à l’église St Louis.

 

CONTACT PAROISSE : 

SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter  rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
  05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com

Oclocher : Ma paroisse dans la poche !

Découvrez le site Oclocher en moins de 5 minutes.

Oclocher : Ma paroisse dans la poche !

Pourquoi Oclocher ?

Le clocher est un repère pour les pèlerins.
Les cloches donnent le rythme de la journée.
On se retrouve dans Oclocher !

L’ambition : ​une communauté  évangélisatrice.

“À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples :
si vous avez de l’amour les uns pour les autres.”
 Jn 13, 35

Une communauté soudée est une paroisse qui rayonne,   ses paroissiens s’engagent dans les œuvres et l’évangélisation.  L’étirement géographique des paroisses, le rythme rapide de notre société, et les réticences à l’engagement rendent difficile le contact régulier et vrai entre les membres d’une paroisse.

Fort de ce constat, Oclocher souhaite dynamiser les communautés en aidant les paroissiens à participer à leur paroisse et à ne pas rester aux portes tant de l’église (lieu) que de l’Eglise (communauté).

Le contexte

Nouvelles possibilités offertes par le numérique.

Le smartphone permet de maintenir des contacts malgré la distance et s’affirme aujourd’hui comme un véritable moyen d’organiser sa vie : chaque événement est organisé en ligne, chaque famille a son groupe WhatsApp, les paroisses créent leurs chaînes Youtube…Même si en raison de son âge on est réticent il faut avoir le courage de sauter le pa, Au XIXème siècle combien ont hésité à passer de la diligence au chemin de fer !

Présent dans toutes les poches, le smartphone démultiplie l’accès aux autres. Pour servir et écouter les autres il est indispensable.

La proposition d’Oclocher

Grâce à son application, Oclocher propose aux fidèles de conserver le contact entre eux et avec la paroisse : le curé  peut  s’adresser à ses paroissiens à tout moment via des messages courts : exemple ” Commentaire du père Mickaël”, horaires des messes, animations paroissiales, évènements.

Grâce à son application, Oclocher propose aux  paroissiens d’interagir entre eux :

  • ” Notre bébé Paul est né hier soir, nous remercions le Seigneur”
  • ” Mon mari est entré à l’hôpital, je le confie à vos prières ! “
  • ” Besoin d’aide pour déplacer un frigo lourd chez moi. 

L’application Oclocher propose des fonctionnalités que l’on peut regrouper en trois groupes.

Je me nourris spirituellement Je m’engage Je m’informe
Homélie quotidienne Evénements Horaires
Articles Coups de main Lieux
Intentions de prières Equipes Coordonnées

Pour télécharger l’application “Oclocher ” cliquer ICI