Temps d’échange et de partage au Catholic’s Pub

Hello les ami(e)s !

Petit rappel à la population !!!

Le Catholic’s Club ouvre ses portes Vendredi 25 avril !

Nous vous attendons à partir de 19h00 pour fêter la fin de la semaine et le beau temps !

 

 

L’Equipe du Catholic’s Club – Bar associatif soumis à une adhésion annuelle de 10€ par personne. Vous devrez présenter votre carte d’adhérent à chaque manifestation de l’association afin de pouvoir y participer.

 

 

 

 

Dans quelques jours le site paroissial va évoluer.

Chers lecteurs,

Permettez moi de vous envoyer ces quelques mots car je me retire, pour passer la main. Voilà 9 ans que vous me suivez sur ce site, je vous en remercie vivement.

Le site paroissederochefort.fr a été créé à l’initiative du père Yves Guiochet et mis en route avec l’accord  du père Mickaël Le Nezet, qui lui a succédé comme curé de Rochefort. J’ai été aidée par une petite équipe : Virginie Richard, Mickaël Cadot et Raphaël Gégoué  informaticien.

Ainsi vous avez pu obtenir des infos sur la paroisse, être au courant des différents évènements paroissiaux et diocésains avec les photos de Thaddée et le design de Luc. Mme Lastère, mère et Philippe Berthelot ont participé à la rubrique “prière mensuelle” qui est très suivie, nous les remercions beaucoup.

J’ai été très heureuse de faire ce travail journalier, le moment est venu de passer la main à Emma Gauthier, que vous connaissez déjà grâce aux différents mails qu’elle vous envoie et à la feuille paroissiale qu’elle édite chaque semaine, merci à elle pour ce service très prenant.

Oui, dans quelques jours, ce site aura une présentation nouvelle et il sera plus sécurisé que maintenant pour éviter toute attaque.

Bonne route à la nouvelle équipe qui va travailler, avec le soutien du père Daniel Martin qui m’ a accordé sa confiance,  je suis sûre qu’ils sauront vous satisfaire.

Nicole GRZESIAK

 

 

 

Biographie du pape François

Jorge Mario BERGOGLIO est né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine. Après une formation d’ingénieur chimiste, il entre au séminaire, puis au noviciat de la Compagnie de Jésus le 11 mars 1958. Il part faire son noviciat au Chili et revient en 1963 pour obtenir une licence de philosophie. De 1964 à 1965, il est professeur de littérature et de psychologie à l’université de l’Immaculée de Santa Fe puis, en 1966, à l’université del Salvador à Buenos Aires. De 1967 à 1970, il reprend des études de théologie et obtient son diplôme.

Il est ordonné prêtre le 13 décembre 1969 et prononce ses voeux perpétuels le 22 avril 1973.

Il devient maître des novices et professeur à la faculté de théologie de l’université de San Miguel et conseiller pour la province jésuite. Le 31 juillet 1973, il est nommé provincial d’Argentine, charge qu’il exerce jusqu’en 1979. Entre 1980 et 1986, il est recteur à l’université de San Miguel. Il est également prêtre en paroisse dans le diocèse de San Miguel. Il part ensuite finir son doctorat en Allemagne, puis revient à l’université del Salvador et enfin à l’église de la Compagnie de Jésus à Cordoue comme directeur spirituel et confesseur.
Jean-Paul II le nomme évêque titulaire d’Auca et auxiliaire de Buenos Aires, le 20 mai 1992. Il reçoit la consécration épiscopale le 27 juin 1992. Sa devise est « Miserando atque eligendo ». Le 3 juin 1997, il est nommé coadjuteur de Buenos Aires dont il devient archevêque le 28 février 1998. Le 9 novembre 2005, il est élu président de la Conférence épiscopale argentine, réélu en 2008 et termine son mandat en novembre 2011. Il est président de la Commission épiscopale pour la pastorale universitaire.

Il est créé cardinal par Jean-Paul II lors du consistoire du 21 février 2001, du titre de Saint-Robert Bellarmin.

Élu pape le 13 mars 2013, il devient le 265e successeur de Pierre et inaugure solennellement son pontificat le 19 mars 2013.

Il célèbre le Jubilé extraordinaire de la miséricorde en 2016, et le jubilé 2025 sur le thème « pèlerins d’espérance ».

Hospitalisé pour une grave pneumonie en février et mars 2025, il meurt au matin du lundi de Pâques, le 21 avril 2025.

Textes du pape François

Encycliques :

  • Lumen Fidei, 29 juin 2013.
  • Laudato Si’, 24 mai 2015.
  • Fratelli tutti, 3 octobre 2020.
  • Dilexit nos (24 octobre 2024)

Exhortations apostoliques :

  • Evangelii Gaudium, 24 novembre 2013.
  • Amoris laetitia, 19 mars 2016.
  • Gaudete et exsultate, 19 mars 2018.
  • Christus vivit, 25 mars 2019.
  • Querida Amazonia, 2 février 2020.
  • Laudate Deum, 4 octobre 2023.
  • Est Utique Fiducia, 15 octobre 2023.
Biographie du pape François avant son élection

Le pape François, Jorge Mario Bergoglio, est né en 1936 en Argentine. Rentré comme novice dans la Compagnie de Jésus en mars 1958, il est nommé prêtre en 1969, évêque de Auca et auxiliaire de Buenos Aires en 1992 puis archevêque co-adjuteur du même diocèse. Président de la Conférence épiscopale d’Argentine de 2005 à 2011, il est créé cardinal par Jean-Paul II en 2001. À 76 ans, il est élu Pape le 13 mars 2013. En mémoire de l’engagement de saint François d’Assise, il choisit le nom de François. Il est le 266ᵉ Pape de l’Église catholique.

Jorge Mario Bergoglio est né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine dans une famille d’immigrés italiens. Il suit une formation d’ingénieur chimiste avant d’entrer au séminaire de Villa Devoto, puis au noviciat de la Compagnie de Jésus le 11 mars 1958. Il part faire son noviciat au Chili et revient en 1963 pour obtenir une licence de philosophie à l’Université de San Miguel.

De 1964 à 1965, il est professeur de littérature et de psychologie à l’Université de l’Immaculée de Santa Fé puis, en 1966, à l’Université del Salvador à Buenos Aires. Entre 1964 et 1965, il est professeur de littérature et de psychologie au Collège de l’Immaculée Conception de Santa Fe. En 1966 il enseigne ces matières au Collège Salvatore de Buenos Aires. De 1967 à 1970, il reprend des études de théologie à l’Université de San Miguel et obtient son diplôme.

Il est ordonné prêtre le 13 décembre 1969 par Mgr Jamón José Castellano, archevêque émérite de Cordoue.

Après une année à Alcala de Henares en Espagne, il prononce ses vœux perpétuels le 22 avril 1973. Il devient maître des novices à la Villa Barilari, à San Miguel, professeur à la Faculté de Théologie et conseiller pour la Province jésuite.

Le 31 juillet 1973, il est nommé Provincial des jésuites d’Argentine, charge qu’il exerce jusqu’en 1979 (6 ans). Entre 1980 et 1986, Jorge Bergoglio occupe principalement deux fonctions : il est recteur du collège Saint-Joseph à San Miguel, dans la banlieue de Buenos Aires et curé de la paroisse Saint-Joseph à San Miguel. Durant cette période, Bergoglio enseigne la théologie pastorale. En 1986, il quitte ces fonctions pour se rendre à Francfort, en Allemagne afin de poursuivre ses études et travailler sur une thèse de doctorat (sur le théologien italien Romano Guardini), qu’il n’achèvera finalement pas. En juin 1990, il retourne en Argentine. Suite à une période de conflit au sein de la Compagnie de Jésus, Jorge Mario Bergoglio est envoyé en exil à Cordoba, en Argentine, de 1990 à 1992 où il est curé et confesseur. Cette période d’exil se termine le 13 mai 1992, lorsqu’il est nommé évêque auxiliaire de Buenos Aires par le Pape Jean-Paul II. Cette nomination s’est faite sur l’intervention du cardinal Antonio Quarracino, alors archevêque de Buenos Aires, qui souhaitait avoir Bergoglio comme proche collaborateur. Cette nomination marque le début de son ascension dans la hiérarchie ecclésiastique, le menant ultimement à devenir le pape François en 2013.

Miserando Atque eligendo

Il reçoit la consécration épiscopale le 27 juin 1992 de la part du cardinal Antonio Quarracino, le Nonce apostolique, Mgr Ubaldo Calabresi et l’évêque de Mercedes-Luján, Mgr Emilio Ogñénovich. Sa devise est « Miserando atque eligendo. » qui signifie « par miséricorde et par élection ». Il participe à la IXe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques en octobre 1994 sur la vie consacrée.

Le 3 juin 1997, il est nommé archevêque coadjuteur du même diocèse. Il participe à l’Assemblée spéciale pour l’Amérique du Synode des évêques en novembre 1997. À la mort du Cardinal Antonio Quarracino, il se fait remarquer pour son train de vie humble, voire ascétique, il devient archevêque de la capitale d’Argentine, le 28 février 1998.

Il est aussi l’évêque ordinaire des fidèles de rite oriental résidents en Argentine sans Ordinaire de leur propre rite et Chancelier de l’Université catholique d’Argentine depuis le 30 novembre 1998.

Il est rapporteur général adjoint de la Xème Assemblée Générale ordinaire du Synode des Évêques sur l’évêque en octobre 2001. Il participe également à XIe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques en octobre 2005 sur l’Eucharistie.
Le 9 novembre 2005, il est élu président de la Conférence épiscopale d’Argentine, réélu en 2008 et termine son mandant en novembre 2011. Il est Président de la Commission épiscopale pour l’Université catholique d’Argentine.

Il est créé cardinal-prêtre par Jean-Paul II lors du consistoire du 21 févier 2001. Bergoglio, âgé de 64 ans à l’époque, était l’un des 44 nouveaux cardinaux nommés ce jour-là. Jean-Paul II lui assigne le titre de cardinal-prêtre de l’église romaine de Saint-Robert-Bellarmin, en l’honneur du saint jésuite et docteur de l’Église.

Papabile lors du conclave de 2005, il est sans doute le challenger le plus sérieux de Joseph Ratzinger (Allemagne) avec le cardinal Carlo Maria Martini (Italie).

En tant que cardinal, Bergoglio est devenu membre de plusieurs congrégations et conseils au sein de la Curie romaine, notamment :

La Congrégation pour le Clergé, La Congrégation pour le Culte divin et Discipline des Sacrements, la Congrégation pour les Instituts de Vie consacrée et les Sociétés de Vie apostolique
Le Conseil pontifical pour la Famille (membre de la présidence)
La Commission pontificale pour l’Amérique latine
Le Conseil ordinaire du Secrétariat général du Synode des évêques
Le Conseil post-synodal
Douze ans plus tard, le 13 mars 2013, le cardinal Bergoglio est élu 266ᵉ pape de l’Église catholique, prenant le nom de François.

Avant son élection, il est l’auteur de Meditaciones para religiosos en 1982, Reflexiones sobre la vida apostólica en 1986 et Reflexiones de esperanza (1992)

Que se passe-t-il les jours qui suivent la mort d’un Pape ?

Annonce officielle de la mort du Pontife par le Doyen du Collège des cardinaux

C’est le cardinal Camerlingue (actuellement le cardinal Kevin Farrell) à qui il est revenu, ce lundi de Pâques 21 avril au matin, de constater et de notifier le décès du Pape.

La garde de la dépouille est placée sous sa responsabilité. Le Camerlingue informe le Doyen, actuellement le cardinal Giovanni Battista Re. Le Doyen du Collège des cardinaux est un cardinal élu par ses pairs. Le titre de Doyen est conféré par élection, et non en vertu de l’âge. Le Doyen n’acquiert pas un pouvoir de gouvernement sur les autres cardinaux, mais il est considéré comme le premier d’entre eux. C’est ce dernier qui fait part du décès au corps diplomatique et aux chefs d’État. Le Doyen convoque en outre les cardinaux du monde entier.

Les obsèques du pape François seront célébrées samedi 26 avril 2025

Vatican News

La messe de funérailles du Souverain pontife François sera célébrée sur le parvis de la basilique Saint-Pierre, samedi 26 avril, à 10h00, au premier jour des novemdiales, selon l’Ordo Exsequiarum Romani Pontificis (nn. 82-109), a informé l’Office des célébrations liturgiques pontificales, mardi matin. Ces obsèques ont lieu la veille du dimanche de la Miséricorde divine.

La liturgie sera présidée par le cardinal Giovani Battista Re, doyen du Collège cardinalice. Au terme de la messe, l’Ultima commendatio et la Valedictio auront lieu. Le cercueil du Souverain pontife sera ensuite transporté de la basilique Saint-Pierre vers la basilique Sainte-Marie-Majeure pour l’inhumation. Plusieurs chefs d’État et de gouvernement ont annoncé leur participation.

Translation du cercueil à Saint-Pierre mercredi matin

Avant cela, la dépouille de l’évêque de Rome sera exposée aux fidèles en la basilique Saint-Pierre. Le cercueil sera transporté mercredi matin à 9h00, heure de Rome, en procession de la Maison Sainte-Marthe à la basilique, en passant par la place Sainte-Marthe, la place des protomartyrs romains, l’Arco delle Campane avant d’entrer dans la basilique vaticane. Sur l’autel de la confession, le cardinal camerlingue Kevin Farrell présidera la liturgie de la parole, à l’issue de laquelle commencera la vénération de la dépouille aux fidèles.

Merci d’avoir lu cet article. Si vous souhaitez rester informé, inscrivez-vous à la lettre d’information en cliquant ici

Débutent neuf jours de deuil

Ce sont les novemdiales, un service funèbre qui dure neuf jours et qui se déroule comme suit :

  • exposition du corps du Pape
  • procession jusqu’à la basilique Saint-Pierre de Rome
  • déposition dans le cercueil de cyprès et fermeture du cercueil
  • messe de funérailles
  • descente dans la crypte de la basilique et mise dans le cercueil de zinc, puis celui de bois
  • inhumation, vraisemblablement dans la crypte (entre le 4ᵉ et 6ᵉ jour après la mort du Pape)

Qui gouverne quand le Pape meurt ?

Pendant le temps de la vacance, le gouvernement de l’Église revient à l’assemblée des cardinaux, réunie en Congrégation générale dans un exercice commun et limité du gouvernement de l’Église. En effet, celle-ci ne peut prendre aucune décision dont la validité excéderait la période de vacance du Siège apostolique. « Les questions qui sont du ressort du Souverain Pontife, durant sa vie ou dans l’exercice des fonctions de sa charge […], devront toutes être réservées exclusivement au futur Pontife. » Constitution apostolique Universi Dominici Gregis, n°1. Le pouvoir pontifical ne peut pas être suppléé.

Pour assurer la gestion des affaires courantes, l’organisation des funérailles et du conclave, les congrégations se mettent en place :

Le Collège cardinalice se réunit quotidiennement pour :

  • organiser les novemdiales (« neuf jours » de services funèbres),
  • fixer la date de l’inhumation entre le 4ᵉ et le 6ᵉ jour après la mort du Pape
  • fixer le jour et l’heure du commencement des opérations de vote, idéalement le 15ᵉ jour, et au plus tard 20 jours après le début de la vacance,
  • traiter les questions exceptionnelles et urgentes
  • La Congrégation particulière (cardinal Camerlingue et 3 cardinaux tirés au sort tous les trois jours) assiste les secrétaires des dicastères pour la gestion des affaires courantes

Comment se passe l’élection du nouveau Pape ?

Une élection recueillie, effectuée dans la prière et devant Dieu, afin de pourvoir le premier siège épiscopal, celui de Rome. Les deux tiers des voix des cardinaux électeurs sont requis. Il s’agit d’un conclave. L’élu, dès son consentement donné, est le nouveau pape de l’Église catholique et prononce sa première bénédiction au monde depuis le balcon de la basilique Saint-Pierre de Rome.

Rencontre du groupe des Jeunes Pros

Rencontre du groupe des jeunes Pros de Rochefort le soir un Jeudi par mois  de 20h00 à 22h00 dans la salle du Catholic’s Pub. (109 ter rue Pierre Loti derrière l’église St Louis)

Prochaine rencontre Jeudi 24 mai à 20h00 

Venez rejoindre le groupe des Jeunes Pros !

►  Vous êtes un jeune chrétien en vie active  entre 20 et 35 ans
►  Vous souhaitez vivre votre foi en harmonie avec votre vie dans le monde
►  Vous avez envie d’échanger, de partager, de prier avec d’autres jeunes professionnels.

Alors… rejoignez le groupe des Jeunes Pros de Rochefort !

Un groupe œcuménique qui réunit des jeunes en activité professionnelle, catholiques et protestants, tous les mois, autour d’un repas suivi d’un temps d’échange sur des sujets variés définis ensemble et d’un temps de prière commune. Chacun y apporte sa singularité et toutes les initiatives peuvent y éclore.

CONTACTS
  • Marine Arviset, responsable du groupe   –  06.49.95.49.07
  • Secrétariat paroissial :   05.16.65.42.89

 

Se nourrir de la Parole de Dieu

Jeudi 24 avril 2025

Évangile :  Lc 24, 35-48.

 Paroles du saint père

Il y a un détail dans cette description: l’Évangile dit que les apôtres «dans leur joie, [ils] n’osaient pas encore y croire». La joie qu’ils ressentaient était telle qu’ils ne pouvaient pas croire que cela soit vrai. Et un deuxième détail: ils étaient stupéfaits, surpris, parce que la rencontre avec Dieu conduit toujours à l’émerveillement: elle va au-delà de l’enthousiasme, au-delà de la joie, c’est une autre expérience. […]

Cette page évangélique nous dit que Jésus n’est pas un «esprit», mais une Personne vivante; que Jésus, quand il s’approche de nous, nous remplit de joie, au point de ne pas y croire, et qu’il nous laisse stupéfaits, de cet émerveillement que seule donne la présence de Dieu, parce que Jésus est une personne vivante.

Etre chrétiens n’est pas tout d’abord une doctrine ou un idéal moral, c’est la relation vivante avec Lui, avec le Seigneur Ressuscité: (Regina Caeli, 18 avril 2021)

Vatican News

Pour télécharger ou imprimer le texte,  cliquer ci-dessous sur le commentaire choisi.

 

 

Le pape François est mort : prions pour lui !

Jorge Mario Bergoglio, le pape François de 2013 à 2025, est décédé au Vatican le 21 avril 2025. En union avec toute l’Eglise et avec le monde entier, nous prions le Seigneur de l’accueillir auprès de Lui.

Son éminence, le cardinal Farrell, a annoncé avec tristesse la mort du Pape François, en ces termes : «Chers frères et sœurs, c’est avec une profonde tristesse que je dois vous annoncer la mort de notre Saint Père François. Ce matin, à 7h35, l’évêque de Rome, François, est retourné à la maison du Père. Toute sa vie a été consacrée au service du Seigneur et de son Église. Il nous a appris à vivre les valeurs de l’Évangile avec fidélité, courage et amour universel, en particulier en faveur des plus pauvres et des plus marginalisés. Avec une immense gratitude pour son exemple de véritable disciple du Seigneur Jésus, nous confions l’âme du Pape François à l’amour infiniment miséricordieux du Dieu trinitaire».

Messes pour le Pape

Mercredi de Pâques, 23 avril, la messe (18h30) à l’église Saint-Vivien de Saintes.

Paris, le 21 avril 2025,

Décès du pape François : déclaration de Mgr Eric de Moulins Beaufort, président de la CEF

En ce lundi de Pâques, en tenue de service, sans doute comme il le désirait, le pape François est mort.

Depuis sa première apparition au balcon de Saint-Pierre, il demandait, à la fin de toute rencontre, que l’on prie pour lui : « Et surtout, priez pour moi ». En ce jour, de tout cœur, nous le lui disons : « Très Saint-Père, nous prions pour vous, nous catholiques, mais aussi beaucoup d’hommes et de femmes à travers le monde qui ont entendu dans votre voix une voix de la conscience de l’humanité ».

Inlassablement, le pape François a agi pour que l’Église soit plus synodale, débarrassée de tout cléricalisme, en mouvement vers les périphéries, les périphéries de l’Église et celles de nos sociétés, porteuse de la joie de l’Évangile du Christ Jésus. Il a donné aux catholiques le goût d’être des disciples-missionnaires. Avec opiniâtreté, il a appelé l’humanité à croire en la fraternité, notamment en s’appuyant sur le dialogue entre les religions, et à prendre en compte en priorité les besoins et les attentes des personnes pauvres ou en précarité. Face à la crise écologique, il a renouvelé la réflexion en invitant à soigner « la maison commune », à louer le Créateur, à unir attention à l’environnement et attention aux personnes victimes des injustices sociales. Il a été le pape de l’année sainte de la miséricorde et du jubilé de l’espérance.

Nous, Français, rendons grâce tout spécialement pour la venue du pape François à Strasbourg (novembre 2014) mais surtout à Marseille en septembre 2023 et à Ajaccio en décembre dernier. Nous gardons en mémoire son appel plein de gravité et d’émotion à ce que notre pays et les autres pays européens ne perdent pas leur âme en se fermant aux migrants qui viennent chercher la possibilité d’une vie meilleure pour eux et les leurs. Nous ressentons encore la vibrante ovation qu’il a reçue au Stade Vélodrome : « Bonjour, Marseille ; bonjour, la France » et la fierté joyeuse qui parcourait les rues d’Ajaccio et les chants fervents de l’assemblée du Casone. Nous méditons encore sur le tressaillement de Marie qu’il a évoqué dans son homélie de Marseille.

Les fruits de ce pontificat seront à découvrir dans les années qui viennent. Il a marqué assurément la pratique pastorale de l’Église par son style simple, encourageant, sa référence constante à la miséricorde de Dieu, sa volonté que les sacrements soient accessibles à tous ceux qui les demandent, et son rappel persévérant de la croix du Christ Jésus sans laquelle l’Église ne serait qu’une ONG de plus. Elle est le signe effectif de l’amour de Celui qui « désire d’un grand désir » le salut de tous.

Un des derniers messages du pape 

 

Des messes et des veillées seront organisées par toute la France pour prier pour le pape François. La Conférence des évêques remercie tous ceux et celles qui s’y joindront ou s’y associeront. Elle remercie tous ceux et celles de toute religion ou sans religion qui expriment en ces jours leur gratitude. Le pape François a voulu être un « compagnon de Jésus ». Que le Seigneur l’accueille dans sa compagnie éternelle, près du Père. Merci, pape François. Plus que jamais, priez pour nous.

Mgr Eric de Moulins Beaufort

Nuit d’Adoration : Jeudi 17 avril 2025 à l’église St Louis

A l’église St Louis de Rochefort, après la messe de la Sainte Cène jeudi 17 avril 2025 à 19h00. 

Venez vivre une expérience unique lors de notre prochaine nuit d’adoration. Cet évènement offre un temps de prière et de recueillement devant le Saint Sacrement, permettant à chacun de se rapprocher du Christ dans le silence et la contemplation.

Nous vous invitons à rejoindre cette veillée de prière.

Afin d’assurer une continuité de l’adoration tout au long de la nuit, vous pouvez vous inscrire préalablement auprès de Jean-Baptiste MARTIN au 06.28.08.20.91

Qu’est-ce que la nuit d’Adoration ?

 

L’Adoration Eucharistique est une prière, un dialogue intime avec Jésus réellement présent sous les apparences du pain consacré (le Saint-Sacrement). C’est un face à face avec le Christ. « Je l’avise et il m’avise » répondit simplement un paroissien du saint Curé d’Ars qui l’interrogeait sur ses nombreux et longs temps d’adoration.

Dans l’exposition du Saint-Sacrement, le Christ s’expose à notre regard et à notre prière, et il m’invite à m’exposer moi-même à son regard. Il me regarde : je peux lui exposer mes pauvretés intérieures, mes infirmités spirituelles et physiques, mes soucis…

Au cours de la Nuit d’Adoration, à la manière de Marie, nous pouvons faire connaître à Jésus les besoins de nos frères ; prions pour nos proches, les personnes en difficultés, les blessés de la vie, le monde… L’intention générale de cette Nuit d’Adoration  est de prier pour la France, la Vie, et les Vocations. Chacun y ajoute ses intentions personnelles, dans le secret de son cœur.

« Il est bon de s’entretenir avec Lui et, penchés sur sa poitrine comme disciple bien-aimé, d’être touchés par l’amour infini de son cœur. […] Comment ne pas ressentir le besoin renouvelé de demeurer longuement, en conversation spirituelles, en adoration silencieuse, en attitude d’amour, devant le Christ présent dans le Saint-Sacrement ? Bien des fois, chers Frères et Sœurs, j’ai fait cette expérience et j’en ai reçu force, consolation et soutien ! » (Jean-Paul II – Ecclesia de Eucharistia, n° 25)

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Le 14 avril, rendez-vous à La Rochelle pour la Messe chrismale

Tous les chrétiens du diocèse sont invités à la messe chrismale, lundi 14 avril à 17h30 à la cathédrale St-Louis de La Rochelle.

Prêtres, diacres, consacrés et laïcs sont invités à prendre part à cette messe chrismale présidée par Mgr François Jacolin, administrateur apostolique de notre diocèse, et à manifester ainsi l’unité de notre Eglise diocésaine.

Chaque année, dans tous les diocèses du monde, les prêtres, les diacres et les fidèles se réunissent autour de leur évêque pour célébrer la messe chrismale (du grec « khrisma » qui veut dire « huile » ou « onction »).

Au cours de cette eucharistie, l’évêque, par ses questions publiques devant les fidèles, invite les prêtres à redire leur volonté de vivre toujours plus unis au Christ en cherchant à lui ressembler, en demeurant fidèles à leurs engagements et à leurs missions. Il leur demande également de manifester à nouveau leur volonté d’être les serviteurs de l’annonce de la Parole de Dieu et de la célébration des sacrements. Il demande aussi aux diacres de renouveler les promesses de leur ordination, dans la prière et le service. Puis il exhorte les fidèles réunis à prier pour leurs pasteurs.

 

Au cours de la messe chrismale, l’évêque consacre le Saint Chrême. Cette huile mélangée avec un parfum est utilisée pour les sacrements du baptême, de la confirmation et de l’Ordre (diacre, prêtre et évêque), mais aussi pour la consécration des églises, des autels et des cloches. Signe de bénédiction de Dieu, elle est une marque indélébile. Son parfum signifie la plénitude des dons que l’Esprit Saint procure. En plus du Saint Chrême, l’évêque bénit l’huile des catéchumènes – les futurs baptisés – et l’huile pour le sacrement des malades, symbole de vie.

Prêtres et diacres jubilaires

Cette année, nous célèbrerons les jubilés suivants pour les prêtres : 

  • 70 ans : abbé Jean Juhel
  • 60 ans : Mgr Bernard Housset, abbé Jean-Pierre Baron
  • 40 ans : abbé Guy-Michel Resenterra
  • 30 ans : abbé Raphaël Comiotto
  • 25 ans : abbés Mickaël Le Nezet, Christophe Chappot de La Chanonie et Patrick Bettoli
  • 10 ans : abbés Jean-Rony Manoune et Benoît Zhang

Pour les diacres :

  • 50 ans : Jean-Claude Guerlin
  • 25 ans : Christian Guedon
  • 10 ans : David Arrat

Qu’est-ce que le Triduum Pascal ?

Mot latin signifiant « un espace de trois jours », le Triduum pascal, qui va de la messe du soir le Jeudi Saint au dimanche de Pâques inclus, est le centre de gravité de l’année liturgique.

De la Cène à la Résurrection s’écoulent ces trois jours auxquels le Seigneur a souvent fait allusion dans l’Évangile et qui, ensemble, constituent le Mystère pascal.

Lors de la dernière Cène, Jésus a offert son Corps et son Sang en nourriture à ses Apôtres. La célébration du Jeudi Saint fait mémoire du Lavement des pieds, qui a la même signification que l’Eucharistie : Jésus est venu pour se faire serviteur et offrir sa vie.

Dans la liturgie du Vendredi Saint, nous méditons le mystère de la mort du Christ et nous adorons la Croix, sur laquelle l’œuvre du salut est accomplie.

Suite à ce combat victorieux, l’Église contemple le Christ au tombeau, dans le « repos » du Samedi Saint. Elle est comme Marie, parfaite croyante qui conserva la foi et qui espéra contre toute espérance en la résurrection de Jésus.

Après la longue veille dans l’obscurité de la Vigile pascale, l’Alléluia de la résurrection retentit de nouveau. Le feu de l’amour de Dieu illumine la nuit : le Christ a vaincu la mort, et nous avec lui.

L’abbé Robert Gendreau de Montréal nous explique le Triduum pascal par cette vidéo ci-dessous.

 

 

Vendredi saint : Chemin de croix

  • Vendredi Saint 18 avril à Rochefort : – 15h00 à l’église Notre Dame
  • Vendredi Saint 18 avril à Rochefort  → 19h00 à l’église St Louis

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

La marche

Pour épouser les sentiments du Christ, il est nécessaire d’avancer pas à pas. Pour entrer dans les profondeurs de l’amour du Père, il faut qu’un chemin se creuse, de station en station. Le déplacement physique invite à un déplacement intérieur. Il s’agit de se laisser façonner par la marche, de suivre le Christ pas à pas, de nous laisser conduire sur le chemin qu’il emprunte, et non de le précéder. Il s’agit d’entrer plus profondément dans notre condition de disciple.

La méditation

Le pas à pas s’accompagne du mouvement progressif de la méditation qui nous invite à faire mémoire du chemin accompli par Jésus lui-même. L’Evangile est le fondement de cette méditation qui appelle le pèlerin à une découverte progressive de la miséricorde du Père, en même temps qu’il est invité en contemplant Jésus anéanti sous les coups de la Passion, à reconnaître en lui le Christ, Serviteur de l’amour du Père pour notre humanité.

L’intercession

Tout pèlerinage s’accompagne de prière. Dans le cadre du chemin de croix, la prière voudrait prendre en charge toutes les situations de souffrance, d’épreuve, de détresse, de mort que nous rencontrons autour de nous dans la vie quotidienne ; toutes les vies des hommes de ce monde que le Christ, dans son mystère pascal, a offertes au Père.

La pratique du Chemin de croix peut se faire de manière solennelle, communautaire et processionnelle ou de manière privée, au sein d’une église ou même en pleine ville.

Quelles sont les stations du Chemin de croix ?

Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l’avenir. Celui qui le parcourt avec générosité et avec foi, donne espérance et avenir à l’humanité. Il sème l’espoir.

Les 14 stations du Chemin de croix

    • 1e station : Jésus est condamné à mort
    • 2e station : Jésus est chargé de sa croix
    • 3e station : Jésus tombe sous le bois de la croix
    • 4e station : Jésus rencontre sa Mère
    • 5e station : Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
    • 6e station : Véronique essuie la face de Jésus
    • 7e station : Jésus tombe pour la seconde fois
    • 8e station : Jésus console les filles de Jérusalem
    • 9e station : Jésus tombe pour la 3e fois
    • 10e station : Jésus est dépouillé de ses vêtements
    • 11e station : Jésus est attaché à la croix
    • 12e station : Jésus meurt sur la croix
    • 13e station : Jésus est descendu de la croix et remis à sa mère
    • 14e station : Jésus est mis dans le sépulcre
    • (15e station : avec Marie, dans l’espérance de la résurrection)
Traditionnellement les Chemins de croix comptent 14 stations, aujourd’hui, on ajoute parfois une 15ème station, celle du tombeau vide qui relie ainsi, en finale, toutes les stations à la résurrection.