La vie de saintes et de saints racontée à Lagord

Une bien belle proposition vous est faite quelques jours après la fête de la Toussaint : découvrir la vie d’un saint et d’une sainte, grâce au talent de “Julie Laconteuse”.

Venez nombreux le dimanche 10 novembre, de 17h à 18h, dans l’église (chauffée) de Lagord, pour découvrir ces “racontés”, inspirés de la Légende dorée, de Jacques de Voragine.

Public à partir de 15 ans – Libre participation aux frais

Parcours diocésain de formation : deuxième saison.

Pour la 2e année, le service de formation vous propose un parcours pour (re)découvrir les fondamentaux de la foi chrétienne, et avoir des outils pour servir en Église.

  • Un parcours pour faire l’unité entre ce que je crois, ce que je fais et ce que je vis.
  • Un parcours pour tous ceux qui souhaitent approfondir leur foi et/ou recevoir des outils pour la mission : catéchumènes, recommençants, jeunes baptisés, ceux qui aimeraient s’engager dans l’Église, ceux qui sont déjà actifs en paroisse, en aumônerie, dans un mouvement…
  • Un parcours en 6 samedis, tout au long de l’année à la Maison Diocésaine à Saintes.
  • Un parcours complet et varié, avec prière, enseignement, découverts d’initiatives missionnaires, ateliers et releture.

Le programme de cette année

Pour vous inscrire :

Envoyez nom, prénom, adresse, mail, téléphone et paroisse à jbsouzy@orange.fr

Coût : 50 € pour l’année (règlement lors de la première rencontre)

Chaque samedi, apporter un pique-nique, une bible, un carnet pour prendre des notes

Chapelet médité à l’église St Paul

Samedi  2 novembre  2024 

 Chapelet médité à 17 h00 à l’église Saint-Paul de Rochefort

Pour ceux qui pourraient venir, n’oubliez pas :

Chers amis, chers adhérents,

Nous prierons la Très Sainte Vierge de guider et protéger nos familles.

Nous la prierons aussi pour les défunts de nos familles, dans l’espérance que le Christ les accueille vite dans son Paradis, comme Il le promit au bon larron lui-même, au jour de sa Passion. 

Avec la “Fraternité du bon larron “, nous prierons aussi pour les prisonniers et leurs familles. Nous prierons enfin pour nos parents et amis, âgés, en Maison de retraite, parfois abandonnés.


Mois
 de novembre.

C’est le mois consacré à la prière pour les âmes du Purgatoire.

Vertu recommandée   : L’esprit de prière et de pénitence.

Protecteurs du mois   : Saint Martin (fête le 11 nov.)  et   Saint André, Apôtre (le 30 nov.).

Les grandes fêtes du mois : 

– le 1er :  la Toussaint, fête des Saints du Ciel, fête de chacun de nos saints patrons…

Les grands saints du mois :

– le 3   :  nous fêtons St Martin de Porrès, métis né à Lima (Pérou), fils d’une esclave noire, abandonné par son père (un noble Castillan) ; il était d’une admirable pureté ; devenu tertiaire dominicain, infirmier, d’une charité inépuisable (même pour les animaux !). Doué du charisme de bilocation, il apparut, dit-on, en Europe et même en Chine et au Japon.

Un jour, ayant aidé un pauvre, malade, sale, il dit à l’un de ses supérieurs qui lui faisait une remarque désobligeante : “La compassion est préférable à la propreté ; avec un peu de savon, je nettoierai facilement mes couvertures, mais avec un torrent de larmes, je ne pourrais effacer de mon âme la tache qu’y aurait faite la dureté à l’égard d’un malheureux“. Mort le 3 novembre 1639, il fut canonisé par St Jean XXIII.

– le 4   : Saint Charles Borromée ; évêque de Milan (1538-1584) en un temps terriblement difficile pour l’Eglise et la chrétienté, déchirées par la Réforme protestante.
(Extrait d’un admirable discours de Benoit XVI, le 1er novembre 2010, à l’occasion du 4ème centenaire de sa canonisation) :

« …Nombreux étaient alors les désordres à sanctionner, nombreuses les erreurs à corriger, nombreuses les structures à rénover ; et pourtant, saint Charles s’employa à une profonde réforme de l’Eglise, en commençant par sa propre vie. C’est envers lui-même, en effet, que le jeune Borromée promut la première et la plus radicale œuvre de rénovation.

En ces temps assombris par des divisions, par la confusion doctrinale, l’obscurcissement de la pureté de la foi et des mœurs, et le mauvais exemple de différents ministres sacrés, Charles Borromée ne se limita pas à déplorer ou à condamner, ni simplement à souhaiter le changement des autres, mais, abandonnant les richesses et le confort, il commença à réformer sa propre vie, qui devint remplie par la prière, par la pénitence. Il se dévoua sans compter pour son peuple : lors de la grande peste qui désola Milan en 1576, il porta partout secours et consolations, ignorant les dangers de la contagion ».                                                              

– le 8   :   Bx Jean Duns Scot, franciscain écossais, théologien ; on l’appela le “ménestrel du Verbe incarné”, le “héraut de la bienheureuse Vierge Marie”.

Admirable théologien, surnommé le “Docteur subtil”, on l’appela aussi “Docteur marial” car, méditant sur les mystères de Marie, la “Sans tache” [im-macula], il eut l’intuition de l’Immaculée Conception de Marie ; et c’est bien sous ce vocable que, mystérieusement, se présenta elle-même la Très Sainte Vierge à Lourdes en 1858, après que l’Église, par la voix du Bienheureux Pape Pie IX, eut proclamé, le 8 décembre 1854 : « Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine qui enseigne que la Bienheureuse Vierge Marie, dans le premier instant de sa Conception, a été, par une grâce et un privilège spécial du Dieu Tout-Puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée et exempte de toute tache du péché originel, est révélée de Dieu, et par conséquent qu’elle doit être crue fermement et constamment par tous les fidèles ».

Jean Duns Scot mourut à Cologne en 1308.

– le 10 :  le pape St Léon le Grand ; en l’an 452, par sa seule présence, il fit reculer Attila, le fameux chef des Huns, qui s’apprêtait à piller Rome ; selon une antique tradition, le saint Pape, accompagné d’une délégation, partit à pied, à la rencontre d’Attila pour le supplier d’épargner Rome ; celui-ci, impressionné, semble-t-il, par la majesté du vieillard, donna l’ordre à ses généraux de repartir vers le nord ; ceux-ci, furieux, affirmèrent à Attila qu’il n’avait vraiment rien à craindre de ce vieillard ; Attila aurait répondu alors : ” Je ne crains pas ce vieillard mais je crains les deux anges qui l’accompagnent avec une épée de feu “, ces deux anges étant en fait les Saints Pierre et Paul.

A l’occasion du célèbre concile de Chalcédoine (451), le pape Léon rappela avec vigueur la double nature, humaine et divine, du Christ Jésus : il fut alors acclamé par les évêques présents qui proclamèrent la célèbre formule : Pierre a parlé par la bouche de Léon“.

– le 11  St MARTIN : l’un des grands saints protecteurs de notre France, né en Pannonie (actuelle Hongrie) ; fondateur du monastère de Ligugé (près de Poitiers), évêque de Tours (mort en 397). Une ancienne tradition rapporte que les fleurs auraient éclos en plein mois de novembre, au passage de son corps sur la Loire entre Candes et Tours. Ce phénomène étonnant aurait donné naissance à l’expression « été de la Saint Martin ».
Avec St Michel et Notre-Dame, il fut vénéré par tous les rois de France ; la chape (ou “cape”), relique de St Martin -de couleur bleue-, serait à l’origine du surnom de Hugues “Capet”, fondateur de la troisième et dernière dynastie des rois de France (les Capétiens). Le bleu (de Saint Martin), le rouge (de l’oriflamme de Saint Denis, la Montjoie) et le blanc (spécialement à partir du XVII° siècle) étaient les couleurs du roi et du royaume de France.

– le 16  : Ste GERTRUDE de Helfta (en Thuringe) (1256-1301) :

“Un jour de Sa vie terrestre, Jésus eut une parole empreinte d’une grande tristesse : “Quand le Fils de l’homme reviendra, trouvera-t-Il encore la foi sur la Terre ?”.

Gertrude, après Saint Jean, entendit cette plainte sortie d’un Cœur blessé, et, après elle, Saint Jean Eudes, Ste Marguerite-Marie, et bien d’autres, entendront aussi cette plainte et transmettront le même message d’amour”.

Gertrude écrivit un ouvrage à la gloire du Cœur brûlant d’Amour du Christ : “Le héraut de l’Amour divin” ; elle y chante :

En Toi, Cœur de Jésus, en Toi mon cœur se réfugie.
Notre monde se meurt, notre monde Te perd,
Notre monde pourtant Te cherche, tant il a soif de Toi. 

– le 17  :  Ste Élisabeth de Hongrie (1207-1231) ; très tôt mariée, mère de deux enfants, elle perdit à 20 ans son époux bien-aimé parti pour la cinquième croisade. Chassée de chez elle par sa belle-famille, elle devint membre du Tiers-Ordre franciscain et elle, ancienne duchesse de Thuringe, se mit au service des pauvres et des malades ; elle mourut à l’âge de 24 ans, s’écriant :

 “O Marie, venez à mon secours ! Le moment arrive où Dieu m’appelle à l’éternelle noce. L’époux vient chercher son épouse”. Elle fut canonisée seulement 4 ans après sa mort, en 1235.

 le 22  :  Ste Cécile de Rome : jeune patricienne convertie, elle convertit à son tour son mari puis le frère de celui-ci ; quelque temps après, ils témoignèrent de leur foi devant le préfet qui les fit décapiter (vers l’an 223). En allant au martyre, elle aurait entendu une musique céleste ; de là, vient qu’elle fut honorée comme sainte patronne des musiciens.

Très vénérée dès les débuts de l’Église, son nom est mentionné dans le Canon Romain (1ère Prière Eucharistique) de la messe, avec une autre martyre, Anastasie de Rome.

– le 30   :  St ANDRÉ, apôtre ; comme son frère, Simon (Pierre), il était pêcheur sur le lac de Tibériade ; il fut le “Premier appelé” par Jésus et c’est lui qui fait connaître Jésus à Simon ; il est considéré comme le fondateur de l’Église de Byzance-Constantinople (actuelle Istamboul) ; selon une ancienne tradition, il fut crucifié sur une croix en forme de X (la “croix de St André“).

  • Le 29 novembre, commencera la neuvaine préparatoire à l’Immaculée Conception (8 déc.).

La prière pour les défunts

Une tradition constante dans l’Église a été celle de prier pour les morts, d’offrir à Dieu des prières et des sacrifices pour aider les défunts à être entièrement purifiés afin d’entrer définitivement dans la Gloire du Ciel ; c’est ce que nous avons fait le 2 novembre en priant ainsi pour les défunts ; car on n’imagine pas que la moindre imperfection puisse s’infiltrer dans le Ciel.
Ainsi, dès le temps des catacombes, on voit les premiers chrétiens écrire des prières pour les morts ; au IVème s., Saint Augustin loue cette “pieuse coutume : que les chrétiens priaient pour tous les morts, afin que ceux qui n’avaient laissé sur terre ni parents, ni enfants, ni amis ne fussent pas cependant délaissés“.

Quant à Sainte Monique, elle supplie son fils Augustin : ” [Peu importe où se trouvera mon corps,] ce que je te demande seulement, c’est de te souvenir de moi à l’autel du Seigneur” (Confessions, 9,11). Dès les premiers temps de l’Église, et aujourd’hui, à chaque messe, le prêtre “fait mémoire des défunts” dans les Prières Eucharistiques.
Avant même la venue du Christ, l’Ancien Testament nous rappelle que Judas Macchabée, héros d’Israël au 2ème siècle av. J.C., fit une collecte en vue de “faire un sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leur péché” (2 Mac 12,46 ou Livre des martyrs d’Israël). De là et de plusieurs paroles du Christ, vient notre croyance en ce lieu et temps de purification, de souffrance et d’espérance, qu’on appelle Purgatoire. 
Ainsi, nous nous associerons à l’Église militante sur la Terre, qui, en vraie Mère, prie pour les membres de l’Église souffrante.

Vendredi 8 novembre au Catholic’s Pub

Hello les ami(e)s !

 Info importante  :

Le Catholic’s Pub sera fermé le 1er novembre

Alors on se donne rendez-vous le
Vendredi 8 novembre prochain
à partir de 19h00 !

D’ici là, très bonne semaine à tous
dans la joie et la bonne humeur !

L’Equipe du Catholic’s Pub – Bar associatif soumis à une adhésion annuelle de 5€ par famille

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réunion des équipes liturgiques, pourquoi existent-elles, à quoi servent-elles ?

Les personnes qui souhaiteraient entrer dans l’une des équipe sont les bienvenues.

Contact

SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter  rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
  05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com

1 –  Pourquoi des équipes liturgiques ?

Quand s’ouvre le Concile Vatican II en 1962, l’une des premières discussions est consacrée à la liturgie définie comme sommet et source de toute vie chrétienne.

Ce même concile a repris en compte et renforcé la place et le rôle des laïcs dans l’Eglise et particulièrement dans la liturgie. Car dans chaque liturgie, c’est toute la communauté chrétienne assemblée qui s’adresse à Dieu, sous la présidence du prêtre qui célèbre l’Eucharistie en son nom et en celui de tous les participants :”C’est pourquoi nous te supplions Seigneur de consacrer toi-même les offrandes que nous apportons.”

La nouveauté a consisté à permettre à tout laïc, homme, femme ou enfant de lire la parole de Dieu et les psaumes lors de la célébration, l’Evangile étant réservé au prêtre ou au diacre.

a- Rôle des équipes de liturgie.

Tout participant à une célébration liturgique, quel que soit son rôle, sa fonction, son statut, son ministère, est au service de la communauté.

Les équipes liturgiques ont donc pour mission, avec le prêtre, d’être actrices à part entière de la célébration liturgique qui est toujours, rappelons-le, la célébration de la parole de Jésus et de son Eucharistie ainsi que de sa mort et de sa résurrection.

Les équipes liturgiques ont pour rôle d’aider le célébrant à préparer la messe d’un dimanche ou d’un jour férié.

C’est l’occasion de se retrouver en équipe pour méditer la parole de Dieu et de grandir spirituellement, tout en se mettant au service de la communauté paroissiale.

Chaque équipe est composée de quelques personnes qui préparent une fois par mois la messe du dimanche dont elles lisent et méditent ensemble les lectures proposées lors d’une rencontre fraternelle.

En lien avec les animateurs de chant, l’équipe prévoit l’animation de la liturgie : elle choisit la prière universelle et les chants, ainsi que les gestes qui seront éventuellement mis en valeur, en accord avec le prêtre.                                                     Elle choisit les personnes pour la quête et veille à ce que les jeunes enfants soient pris en charge pendant le célébration, si possible

b- Comment s’y prennent-elles ?

C’est  une préparation en plusieurs temps :

– lecture et échange sur les textes,

– choix des chants tant de l’ordinaire de la messe que de ceux qui ponctueront la célébration : entrée, communion, envoi …en fonction du temps liturgique et du thème dominant.

L’équipe assure elle-même les lectures ou demande à quelques personnes de l’assemblée de lire. Leur choix  est important car il s’agit de proclamer clairement la parole de Dieu.

Jusqu’au terme de la célébration  l’équipe se préoccupe de la coordination afin de favoriser la prière et le recueillement.

d- Et chez nous à Rochefort ?

Cinq équipes se relaient tout au long de l’année pour préparer et animer les liturgies des dimanches et des fêtes. Venez vous aussi renforcer ces équipes…

 

 

 

 

 

Le caté reprend à Rochefort

Le principe reste le même, 1 fois par mois, toujours à l’église Saint Louis,
nous nous retrouverons en amont de la messe pour la préparer avec les
enfants.

Cette année nous proposons d’ajouter une heure de catéchisme plus
théorique avant .

Soit un accueil de 9h à 11h suivie de la messe des familles. Vous pourrez nous retrouver ensuite à la messe .

L’équipe pastorale travaille le fil rouge de vos rencontres entre parents au
Catholic’s pub, elles ne reprendront pas dés ce dimanche mais pour la fois
d’après.
Merci à Fanie

Messes des familles :

  • Dimanche 10 novembre 2024
  • Dimanche 8 décembre 2024
  • Dimanche 12 janvier 2025
  • Dimanche 2 février 2025
  • Dimanche 23 février 2025
  • Dimanche 16 mars 2025
  • Dimanche 6 avril 2025
  • Dimanche 18 mai 2025

Toussaint et Halloween

 « Halloween » vient du mot anglais « Hallowe’en », qui signifie « veille de la Toussaint », étymologiquement  ce terme vient de la contraction de ” All Hallow Eve ” qui signifie veille de tous les saints. Cette célébration remonte à 2 500 ans, dans le monde celtique on célébrait la fête de Samain (prince des ténèbres),  3 jours avant le 31 octobre et 3 jours après. Les druides allumaient de grands feux pour éloigner les mauvais esprits. La fête irlandaise de Samain célébrait le passage de la clarté estivale à l’obscurité hivernale.

Le pape Grégoire IV décida, en 835, de fixer au 1er novembre la date de célébration de tous les saints, on peut penser qu’il s’agissait de remplacer cette fête païenne par une fête chrétienne. La Toussaint concerne tous les saints, y compris les saints anonymes qui n’ont pas été reconnus par l’Eglise catholique. C’est donc un appel général à la sainteté.

Cette fête a cependant été conservée dans le calendrier irlandais après la christianisation du pays, comme un élément de folklore. Elle s’est implantée ensuite aux Etats-Unis avec les émigrés irlandais de la fin du XIXème siècle.  Son succès ne s’est jamais démenti. Halloween, devenue une fête commerciale, traversera  l’Atlantique pour s’implanter en France dans les années 1990, elle concerne essentiellement les jeunes du monde populaire, son emblème est une citrouille ajourée dans laquelle est placée une bougie.

Il est impossible de comparer Halloween à la Toussaint ; ces deux fêtes sont en effet totalement contradictoires.

Halloween est  un prétexte pour « faire la fête »  lors des soirées automnales, pluvieuses et tristes, mais c’est aussi l’évocation ambigüe, pour se faire peur,  de forces occultes, d’esprits de la mort de spectres et de fantômes. On sait que l’Eglise  déconseille de communiquer avec le monde des morts.

La Toussaint, au contraire est la fête de la lumière et de la sainteté. Le Christ par sa résurrection libère les fidèles de la peur de la mort. Chaque chrétien est appelé, après avoir suivi l’évangile, à la vie éternelle. L’Eglise insiste au jour de la Toussaint, sur l’espérance de la résurrection.

Quelques passages d’ Évangile peuvent  éclairer ce débat (Jn 1, 9 ; Mt 5, 14 ; Ps 139, verset 12).

Halloween fête des enfants.

Les enfants ont désormais l’habitude, le jour d’Halloween, de passer de maison en maison pour demander des bonbons ou des friandises. Le côté religieux est totalement absent de cette nouvelle fête, mais c’est l’occasion pour les adultes du voisinage de faire la connaissance des jeunes du quartier.

 

Changement d’heure : Nuit du samedi 26 au dimanche 27 octobre 2024

Le changement d’heure a été instauré en France à la suite du choc pétrolier de 1973-1974. Depuis 1998, les dates de changement d’heure ont été harmonisées au sein de l’Union Européenne. Dans tous les pays membres, le passage à l’heure d’hiver s’effectue le dernier dimanche d’octobre et le passage à l’heure d’été, le dernier dimanche de mars.

Cette nuit à 3h00 du matin il sera exactement 2h00.

Le missel des dimanches 2025 est arrivé dans la paroisse de Rochefort

Depuis dimanche 6 octobre vous pouvez trouver le missel des dimanches 2025 à la sortie des  messes  dominicales, au prix de 9,90€.

Les veilleuses de la Toussaint sont également présentes au prix de 4,50€

 

 

L’année liturgique démarre le premier dimanche de l’Avent. Explication avec le Père Bruno Mary, ancien Directeur de la Pastorale liturgique et sacramentelle au sein de la Conférence des évêques de France.

Qu’est-ce que l’année liturgique ?

L’année liturgique est un cycle qui se répète tous les ans et qui célèbre les grands moments de l’histoire du salut : l’histoire de Jésus Christ venu habiter chez les hommes pour les sauver.

Elle commence fin novembre – début décembre avec le 1er dimanche de l’Avent  ( quatre semaines avant Noël) et se termine un an plus tard avec le dimanche du Christ-Roi, roi de l’univers . Quels sont ces grands moments ?    Le premier est Noël, puisque Jésus fait son apparition: il vient de naître de Marie. Mais ce n’est pas l’événement le plus important de notre foi, le plus important c’est Pâques qui nous fait revivre en trois jours, appelés  en latin Triduum, le dernier repas du Christ avec les apôtres, sa passion avec la mise en croix et sa résurrection. Car, comme le dit l’apôtre Paul, si le Christ n’est pas ressuscité d’entre les morts, vaine est notre foi (1 Co 15, 17) .  Si nous ne pouvons  pas suivre Jésus ressuscité vers la vie éternelle, qu’il nous promet, alors c’est la mort qui gagne. Notre existence devient absurde car ceux qu’on a aimés, ceux qu’on aime, disparaitraient dans le néant, avec nous.

Le Christ est ressuscité le 3e jour après le vendredi saint : c’est-à-dire le dimanche. Les premiers chrétiens se réunissaient le dimanche, tous les dimanches pour faire mémoire de Pâques. Ils revivaient la passion, la mort et la résurrection de Jésus Christ. Le cœur de l’année liturgique c’est le dimanche de Pâques parce que la passion, la mort et la résurrection du Christ sont le cœur de notre foi.

Histoire de la liturgie

L’année liturgique s’est construite peu à peu. L’Église a privilégié un dimanche appelé dimanche de Pâques. Il se situe au début du printemps. Pendant 7 sept semaines ce que Pâques a provoqué est vécu de dimanche en dimanche : c’est le temps pascal, signe des temps nouveaux inaugurés par le Christ ressuscité. Durant ce temps, nous avons la fête de l’Ascension, le 40e jour. Ce temps se termine avec la fête de Pentecôte, le cinquantième jour.

Une fête importante doit se préparer. La préparation de Pâques s’appelle le Carême : celui-ci dure 40 jours.  Il commence avec le mercredi des cendres, que le mardi gras précède, pour se terminer le samedi saint. C’est le temps privilégié où les candidats au baptême préparent leur baptême qui sera célébré le jour de Pâques. L’autre grande fête est celle de la naissance du Sauveur : Noël. Elle a une date fixe : le 25 décembre. Comme pour Pâques, il y a un temps de préparation, c’est l’Avent qui dure trois semaines. Le temps de Noël se poursuit jusqu’à la fête du baptême du Seigneur (9, 10 janvier).

Voilà les deux grands moments de l’année liturgique. Entre ces moments, nous avons le temps ordinaire. Notre vie est surtout composée de jours ordinaires : le Christ ressuscité vient nous rejoindre dans notre temps ordinaire. Beaucoup plus tard, seront instaurées des fêtes sans lien avec un évènement  mais avec  une vérité de foi : la sainte Trinité ; le Saint Sacrement ; le Sacré-Cœur, le Christ roi de l’univers. A la lumière de Pâques, naissent et se répandent les fêtes des saints : les apôtres, les martyrs et très vite les fêtes liés à la Vierge Marie :  ;  Immaculée conception;  Annonciation ; Assomption; couronnement de la Vierge. Ce couronnement, Marie veut en faire profiter tous ses enfants; c’est une belle promesse.

La dernière fête liturgique, instaurée par saint Jean-Paul II est le dimanche de la Miséricorde divine,  premier dimanche qui suit la fête de Pâques. Là encore il y a une belle promesse: l’amour de de Dieu surpasse tout péché – à condition que le pécheur se repente sincèrement.

Pendant l’année liturgique Dieu visite notre histoire, il nous visite, il veut notre salut, avec Lui.

Trois années liturgiques

Depuis le concile Vatican II, le cycle liturgique comporte trois années : l’année A ; l’année B ; l’année C. Pourquoi ?

Puisque la foi grandit à l’écoute de la Parole, l’Eglise souhaite que les chrétiens entendent le plus possible de passages de la Parole de Dieu;  les textes changent chaque année liturgique. Durant l’année A nous écoutons l’Evangile selon Saint Matthieu ; durant l’année B, celui selon Saint Marc ; durant l’année C, celui selon Saint Luc. Et celui selon Saint Jean, différent des trois autres, qu’on appelle synoptiques ?

Nous l’écoutons pendant le temps pascal et aussi durant l’année B car il s’associe à l’évangile selon Saint Marc relativement court. En 2024, jusqu’à fin novembre, c’est l’année B : l’année C commence avec le 1er dimanche de l’Avent, le 3 décembre 2024.

Le temps de l’Avent 

Les évangiles des deux premiers dimanches de l’Avent parlent de la fin des temps, c’est-à-dire du retour glorieux du Christ à la fin des temps.                  Notre temps a donc une fin, un but : il est orienté vers le retour du Christ et il prend sens en lui. Nous sommes appelés à être présents lors du retour du Christ, à l’accueillir et à participer à sa vie auprès de Dieu.                                            A partir du troisième dimanche de l’Avent, nous préparons Noël. Christ reviendra parce qu’il est déjà venu. Notre vie de foi s’inscrit entre ces deux venues du Christ. Aussi le temps de l’Avent nous rappelle que nous sommes des veilleurs et contribue à donner sens à notre temps :                                 Attendre le retour du Christ, cette attente se vit dans la prière et en vivant l’Évangile. Il est le temps du long désir. Cette attendre se vit également dans la joie (3e dimanche). Nous ne redoutons pas une catastrophe mais le retour du Sauveur.

La traduction liturgique de la Bible

La Parole de Dieu est faite pour être proclamée et écoutée. C’est elle que nous écoutons quand nous venons à la messe, quand nous participons à un baptême, à des funérailles… Cependant, nous ne parlons pas tout à fait comme nous écrivons. Toute langue comporte une langue parlée et une langue écrite. La traduction de la Bible veut éviter tout ce qui peut gêner l’écoute, la compréhension de la  Parole proclamée. La Parole de Dieu a d’abord été écoutée avant d’être écrite, c’est pourquoi, la traduction liturgique est la traduction officielle de notre Église.

Père Bruno Mary

 

 

 

ISAP : une formation pour se ressourcer au désert

La formation ISAP est ouverte à toute personne qui a une mission en paroisse ou non mais qui veut approfondir sa foi et son sens de l’Eglise.

Si vous êtes intéressée, vous pouvez envoyer votre inscription.

 Prochaine session le 2 décembre 2024 à l’Abbaye de Sablonceaux

Céline le Guilloux

c.leguilloux@diocese17.fr

Tel : 06 21 47 78 10

Qu’est ce que l’ISAP ?

L’ISAP (Itinéraire Spirituel des Acteurs Pastoraux) c’est un temps d’approfondissement de sa foi avec des temps de partages de la Parole, des temps personnels pour relire sa mission, des temps pour cheminer avec d’autres.

l’ISAP s’adresse à toute personne désireuse d’être missionnaire et d’annoncer l’Evangile. Ce cheminement offre un temps de pause, un temps de prière, un temps de ressourcement spirituel propice au soutien de chacune et chacun dans la mission qui lui est confiée. Ces journées sont essentielles dans le calendrier de l’année et l’aptitude au dialogue qu’elles proposent nous convie à creuser encore plus un chemin de synodalité.

 

 

 

Nous recherchons des bénévoles pour le secrétariat paroissial de Rochefort

Etre au secrétariat c’est être utile, au centre de la vie paroissiale.

❖ Le secrétariat paroissial Rochefort

109 Ter rue Pierre Loti  – 17300 Rochefort ( derrière l’église St Louis)
 : 05.16.65.42. 89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com

Il est ouvert tout au long de l’année, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h.

L’une des richesses de la paroisse c’est VOUS ! Vous qui acceptez de donner de votre temps à la vie de la paroisse. Nous avons tous des talents que le Christ nous invite à mettre au service des autres. Participer à la vie paroissiale au sein d’une équipe permet, en plus de la joie du service, la joie de la rencontre et de la vie fraternelle !
Vous voulez donnez de votre temps et servir l’Église ?

L’activité est  simple : on accueille, on informe, on répond au téléphone et on se sert  du logiciel informatique.

Donner de son temps

Sur la paroisse de Rochefort, nous recherchons des volontaires pour assurer la gestion du secrétariat paroissial,  pendant une demi-journée par semaine,
pour répondre aux appels, recevoir les  paroissiens, aider à la gestion des registres…

Si vous êtes intéressés (es) et si vous désirez  obtenir davantage de  renseignements, n’hésitez pas à nous joindre par téléphone  ou
par courriel.
Nous avons besoin de vous !

 

CONTACT PAROISSE : 

SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter  rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
  05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com