Samedi 29 janvier 2022 de 9h30 à 16h30
Journée de doyenné à Rochefort pour les couples se préparant au mariage sur les paroisses de Fouras, Rochefort, St Agnant et Tonnay Charente.
Samedi 29 janvier 2022 de 9h30 à 16h30
Journée de doyenné à Rochefort pour les couples se préparant au mariage sur les paroisses de Fouras, Rochefort, St Agnant et Tonnay Charente.
Samedi 15 janvier 2022 de 10h30 à 16h30 plusieurs équipes du département, ont assisté en visioconférence à la démarche synodale.
Monseigneur G. Colomb a ouvert cette journée par la prière du synode :
Prière pour la démarche synodale missionnaire cliquer ICI
Le père Louis Chasserriau, animateur pour cette rencontre, a introduit les intervenants.
Intervention de Guillaume Cuchet le matin
Intervention de Jean-Pierre Denis l’après midi
Table ronde l’après midi avec G. Cuchet, J-P Denis et mgr G. Colomb
En ce début d’année 2022, voici un « point d’étape » :
1571 participants, répartis en 239 équipes
Répartition des équipes par doyennés
Ces équipes sont principalement composées de personnes d’une même paroisse, mais plusieurs d’entre elles se sont constituées au sein des aumôneries d’hôpitaux ou de gens du voyage, de mouvements chrétiens, du Secours Catholique, de l’enseignement catholique ou même de chorales.
Au 4 janvier 2022, ce sont 334 contributions qui ont été envoyées sur le site internet dédié ; elles sont actuellement en cours de lecture par l’équipe de coordination de la démarche synodale ( les textes ont été imprimés, sans mention des équipes, afin de conserver l’anonymat des réponses).
Une synthèse par doyenné sera produite à la fin de chacune des 2 étapes.
1ère rencontre : ” En Christ, nous sommes frères”.
2ème rencontre : “En Christ, Dieu nous envoie vers le frère”.
Les FRATS déjà existantes peuvent se retrouver, d’autres se créer.
Un livret accompagne les équipes sur leur chemin spirituel de partage de la Parole de Dieu, jusqu’aux assemblées synodales du mois de mai 2022.
Site diocésain ouvert pour cet évènement : http://synode.catholiques17.fr
Former des laïcs à l’accompagnement des familles en deuil.
La pastorale du deuil est d’une grande importance pour l’accompagnement des familles. Dans le désir de mettre en place des équipes de laïcs pour accompagner et présider des célébrations d’obsèques nous proposons pour la paroisse de Rochefort une formation.
Mardi 18 janvier 2022 de 9h30 à 11h30 à Marennes.
Si vous êtes intéressés, Contacter le père Mickaël à l’adresse ci-dessous.
SECRÉTARIAT PAROISSIAL 109 Ter rue Pierre Loti (derrière l’église Saint-Louis) 17300 Rochefort
☏ 05.16.65.42.89 – Courriel : paroissederochefort@gmail.com
Notre Credo nous rappelle notre foi en la résurrection de la chair et en la vie éternelle. Et pourtant, lorsqu’un être cher rejoint le Père, nous pouvons parfois nous sentir perdu, désemparé et vulnérable.
Le soutien de la pastorale du deuil nous aide dans notre désir d’accompagner nos défunts vers celui qui nous aime et qui donne un sens à nos vies. C’est dans de tels moments que nous avons besoin d’une famille, la famille des chrétiens est tout naturellement auprès de nous dans l’épreuve de la séparation.
C’est dans l’espérance et le désir de témoigner que le Christ est ressuscité que des bénévoles dans notre paroisse se font proches de ceux qui connaissent l’épreuve de la séparation.
Leur mission, confiée par l’Église, s’exerce dans l’accompagnement des personnes en deuil, à l’occasion des préparations et des célébrations des funérailles.
Le prêtre présente l’équipe lors d’une première visite à la famille. Les multiples obligations du prêtre et sa mobilité dans les différents relais ne lui permettent plus aujourd’hui d’organiser des funérailles sur sa globalité. L’équipe du deuil, rencontre autant de fois que nécessaire la famille en offrant un soutien technique et surtout le message d’amour que Jésus nous a laissé.
La pastorale du deuil est un don, faisons croître ses bénévoles au service de ceux qui souffrent.
Les membres de l’équipe Pastorale, l’équipe des prêtres et des diacres de la paroisse de Rochefort vous souhaitent une bonne année 2022,
Dans ces temps qui sont les nôtres, que nous puissions toujours être dans la confiance en Jésus qui nous redit qu’il est avec nous tous les jours et que son commandement puisse nous guider :
Un grand merci de toute la paroisse de Rochefort à ce donateur anonyme qui a fait un don important à la paroisse en réglant l’achat de nouvelles chaises. Il s’agit de chaises “saint Denis” en hêtre teinté verni, avec un dossier “fleur de lys” et une assise en bois, harmonisées à la récente restauration de l’église saint Louis.
180 chaises vont ainsi être remplacées courant février 2022.
Il nous faut trier celles qui doivent être mises au rebut, celles à transférer à l’église Notre Dame et celles qui pourront être vendues.
Si vous acceptez d’aider au tri ou si vous voulez acheter quelques chaises, contactez M. Gérard Gimenez au : 06.87.29.92.82
L’église Saint-Pierre de Breuil-Magné fait partie de la paroisse de Rochefort.
Elle a été construite entre 1848 et 1849. Elle possède un chemin de croix datant de 1849.
L’art de célébrer est fait de paroles, de chants et de silences, de gestes et
de mouvements du corps, de vêtements et de couleurs. Nous célébrons
avec tout notre corps et notre être, unis à toute l’Église du Christ.
– Notre Missel est un fruit du Concile Vatican II : « Les textes et les rites doivent être organisés de telle façon qu’ils expriment avec plus de clarté les réalités saintes qu’ils signifient » (SC 21).
Ce Missel, issu directement du Concile, a ajouté des Prières Eucharistiques et de nombreuses préfaces, a largement simplifié les rites. Et il a introduit nos langues vivantes dans la célébration de la messe. Ce missel est le livre grâce auquel nous avons pour la première fois célébré l’Eucharistie en français.
Le Missel existant désormais dans de nombreuses langues, il est le fruit d’une
traduction d’une édition de référence, qu’on appelle l’édition « typique », latine. Suite au Concile, la 1e édition typique avait été publiée en 1970. Une 2e édition avait apporté quelques ajouts en 1975, et une 3e fit la même chose en 2002.
En 2001, le Saint-Siège demande à ce que la nouvelle édition typique qui
paraîtra en 2002 soit traduite « fidèlement » dans les différentes langues.
Ainsi, une nouvelle traduction devenait utile pour assurer une plus grande
unité de toute l’Église qui célèbre.
Cette nouvelle traduction prendra effet pour Rochefort le 1er dimanche de l’Avent.
Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant vous, frères et sœurs, que j’ai péché
En pensée, en parole, par action et par omission ;
Oui, j’ai vraiment péché. (on se frappe la poitrine)
C’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge Marie,
Les anges et tous les saints,
Et vous aussi, frères et sœurs,
De prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Priez, frères et sœurs : que mon sacrifice, qui est aussi le
vôtre, Soit agréable à Dieu le Père tout-puissant.
R/ Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice
à la louange et à la gloire de son nom,
pour notre bien et celui de toute l’Église.
Petit à petit, grâce aux bénévoles paroissiaux, les dépendances et la cour de l’église St Louis s’améliorent et deviennent plus accueillantes.
Ainsi, les 12 magnifiques panneaux en aluminium revêtus de somptueuses photos, et de textes expliquant la rénovation de St Louis, (en cours depuis 2019) qui viennent d’être confiés au père Le Nezet, curé, par la ville de Rochefort, ont pu été installés.
Ils embellissent la cour du secrétariat et du Catholic’s Pub (109 ter rue Pierre Loti ) et le regard profond du Christ adolescent, debout, devant Joseph, son père adoptif, issu d’un vitrail de l’église, accueille et encourage les nouveaux venus,
photos GT
En journée ou en soirée, au choix 15h00 ou 20h00 salle paroissiale En équipe de 5 voire 6 personnes pendant 1h30.
Ce que je crois, mes doutes, mes questions.
Pour entrer dans l’intelligence de la foi en suivant la progression proposée par le catéchisme de l’Eglise catholique : le Credo, les sacrements, l’agir chrétien.
En quoi l’enseignement bouleverse-t-il ou conforte-t-il ce que je crois ? Quel changement peut-il induire dans ma vie à la suite du Christ.
Après inscription, des documents vous seront envoyés par mail, afin de vous préparez à vivre le premier module.
La fête se rattache initialement à le Confrérie du Rosaire, d’inspiration dominicaine, qui se proposait de diffuser la dévotion au chapelet.
En 1571, le pape saint Pie V institua une fête de Notre-Dame de la Victoire, en action de grâce pour la victoire de Lépante remportée par don Juan d’Autriche sur les Turcs, victoire attribuée à la récitation du chapelet. Grégoire XIII lui donna le titre qu’elle porte aujourd’hui et la fixa au premier dimanche d’octobre. Obligatoire pour les seules églises où se trouvait érigée la confrérie du Rosaire, elle fut étendue à toute l’Espagne par Clément X. Sous Clément XI, elle devint universelle (1716), en mémoire de deux nouvelles victoires remportées sur les Turcs.
Aujourd’hui, l’Eglise nous invite à découvrir la place de Marie dans le mystère du Salut en redisant sans cesse : « Je vous salue Marie, pleine de grâce… ». Marie a accepté d’être la mère de Dieu, lors de l’Annonciation, participant ainsi au mystère de la Rédemption. L’Ave Maria est constitué d’une salutation rappelant la visitation de l’Ange lors de l’Annonciation et d’une invocation pour confier à la Mère de Dieu la vie de ses fils aujourd’hui et à l’heure où ils rejoindront Dieu.
Le “Congrès mission”, est une initiative de Raphaël Cornu-Thénard de la communauté d’Anuncio ( qui évangélise essentiellement dans les rues de Paris). C’est un jeune architecte, père de 6 enfants.
Depuis 2015, “Anuncio” organise le Congrès Mission en partenariat avec d’autres œuvres et mouvements missionnaires.
Ci-dessous un entretien ave Raphaël et Agnès Chareton de la chaine KTO
Le Congrès Mission est un “salon national” de l’évangélisation qui cherche à réunir toute l’Eglise autour de la question toujours nouvelle : COMMENT PROPOSER la FOI DANS la SOCIETE ACTUELLE ?
L’espace d’un week-end des chrétiens, prêtres, religieux et laïcs se retrouvent pour prier, se former, annoncer et échanger.
Ces 3 jours suscitent enthousiasme et élan évangélisateurs, ils permettent d’acquérir des clés concrètes pour annoncer la foi au quotidien, ils favorisent rencontres et synergies entre les missionnaires d’aujourd’hui. Et pourquoi pas vous ou moi également ?
Cette année 2021, le rendez-vous s’est fait les 1-2-3 octobre dans 9 villes de France : La Rochelle, Lille, Orléans, Strasbourg, Rennes, Lyon, Toulouse Besançon Marseille.
Vendredi 1er octobre, la soirée d’ouverture de ce congrès mission, a été marquée par une louange, des chants, des prières et des prédications, 1000 participants étaient réunis à La Rochelle.
Deuxième journée du congrès mission
De multiples propositions sont venues nourrir la spiritualité des jeunes, des prêtres, des couples, des familles. Toutes les générations se sont croisées autour.:
Ci-dessous une vidéo sur la journée des prêtres le 1er jour.
Cliquer ici pour regarder la vidéo de clôture à la Rochelle
Marie-Françoise-Thérèse Martin naquit le 2 janvier 1873 à Alençon (en Normandie), dans un milieu bourgeois aisé.
Son père, Louis Martin, bon et droit, et sa mère Zélie Martin, très active et soucieuse du bien matériel de ses cinq filles restées en vie, étaient des chrétiens convaincus : tous deux avaient songé à la vie religieuse.
Thérèse, la cadette, s’ouvrit à Dieu dès l’éveil de sa raison. Les premières années de cette enfant intelligente, vive, sensible, volontaire, furent sans histoires.
Lorsque Thérèse eut quatre ans, la souffrance fit brusquement irruption dans sa vie : Madame Martin, rongée par un cancer, retournait à Dieu.
Après l’enterrement, Thérèse choisit sa sœur Pauline pour «petite mère». Mais le psychisme de l’enfant était profondément atteint. La petite devint pensive, sérieuse, hypersensible. Vers la fin de la même année, la famille Martin s’installa à Lisieux dans la petite maison des «Buissonnets».
À huit ans, Thérèse entra comme demi-pensionnaire à l’Abbaye des bénédictines de la ville, où elle ne parvint jamais à s’adapter.
Le 2 octobre 1882, Pauline, la seconde mère de Thérèse, entre au Carmel. Cette nouvelle séparation achève de miner la résistance morale de l’enfant : elle est prise de maux de tête continuels.
Pour Thérèse, une première clarté jaillit le jour de la Pentecôte. Se tournant vers Notre-Dame, l’enfant la supplie d’avoir pitié d’elle.
À onze ans, l’enfant reçoit pour la première fois le Corps du Christ : «Jésus et la petite Thérèse… n’étaient plus deux, Thérèse avait disparu comme une goutte d’eau qui se perd au sein de l’océan». Le 14 juin, le sacrement de confirmation lui apporte «la force de souffrir».
Thérèse reste pourtant dépressive. Pour des riens, ses larmes coulent à flots. Mais durant la nuit de Noël 1886, Dieu opère en elle un retournement profond : «En cette nuit, où Jésus se fit faible et souffrant pour mon amour, il me rendit forte et courageuse», écrit-elle.
L’infantilisme est vaincu et Thérèse est devenue adulte. Un dimanche, en regardant une image du Crucifié, elle se sent soudain «dévorée de la soif des âmes», et jamais plus cette flamme apostolique ne la quittera.
Le 29 mai 1887, dimanche de la Pentecôte, Thérèse parle à son père d’entrer au Carmel. Très ému, son «roi chéri» donne son consentement dans un acte de foi. Mais le supérieur du monastère s’oppose à cette entrée prématurée. Thérèse ne se tient pas pour battue : elle va plaider sa cause devant l’évêque de Bayeux, puis s’adresse courageusement à Léon XIII au cours d’une audience publique au Vatican. Dieu ne déçoit pas son espérance :le 28 décembre lui parvient l’autorisation de l’évêque et le 9 avril suivant, Monsieur Martin conduit sa «petite reine» au Carmel.
Après un postulat de neuf mois, sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus reçoit l’habit du Carmel en janvier 1889.
Peu après, son père doit être interné au Bon Sauveur du Caen : ce fut pour elle l’épreuve la plus déchirante de sa vie.
Par ailleurs, la vie spirituelle de la novice est aride. Pendant sa retraite de profession, elle écrit : «Jésus m’a fait entrer dans un souterrain, où il ne fait ni froid ni chaud, où le soleil ne luit pas et que la pluie ni le vent ne visitent… où je ne vois qu’une clarté à demi-voilée…» celle des «yeux baissés de la face de mon Fiancé!».
Le 8 septembre 1890, Thérèse de l’Enfant-Jésus émet ses vœux dans la paix. Jésus l’attire de plus en plus sur le chemin de la pauvreté et de l’amour.
Maturité spirituelle
Devenue prieure, mère Agnès de Jésus (Pauline) adjoint Thérèse comme aide à la maîtresse des novices, mère Marie de Gonzague.
La jeune prieure demande à sa sœur d’écrire ses souvenirs d’enfance.
En la fête de la Trinité 1895, Thérèse, «afin de vivre dans un acte de parfait amour», s’offre «comme victime d’holocauste à l’Amour miséricordieux» de Dieu.
Dans la nuit du jeudi au vendredi saint de l’année suivante, la jeune moniale accueille sa première hémoptysie comme une annonce de «l’arrivée de l’Époux». Sa joie est grande.
Mais peu de jours après, elle se voit assaillie de tentations violentes contre la foi et l’espérance qui ne la quitteront plus jusqu’à la mort, à l’exception de quelques trouées de lumière intense.
Malgré la tuberculose qui la mine, Sœur Thérèse continue de suivre l’observance rigoureuse du Carmel. Dans la fatigue et la souffrance physique et morale, elle garde la maîtrise d’elle-même, sa paix puisée dans l’oubli de soi et sa charité fraternelle.
Durant l’été 1897, l’état de Thérèse s’aggrave de plus en plus.
Sur l’ordre de sa prieure, mère Marie de Gonzague, elle se met à rédiger son troisième manuscrit.
Le 11 juillet, le crayon lui tombe des mains. Les derniers mots écrits sont comme un résumé de sa vie : «Je m’élève à Lui par la confiance et l’amour.»
Le 30 septembre, au cours de l’après-midi, commence l’affreuse agonie. Peu après 19 heures, haletante, elle dit en regardant son crucifix : «Oh! je l’aime!… Mon Dieu! je vous aime!...» Puis elle tombe doucement en arrière.
Mais soudain, la mourante se redresse, les yeux fixés en haut, brillants de paix et de joie, et demeure ainsi l’espace d’un Credo. Elle pousse un léger soupir, le dernier, gardant dans la mort son ineffable sourire… «Je sens que ma mission va commencer : ma mission de faire aimer le bon Dieu comme je l’aime, de donner ma petite voie aux âmes… je veux passer mon ciel à faire du bien sur la terre.» Thérèse a tenu sa promesse.
Auteur spirituel
«Être petit, c’est reconnaître son néant, attendre tout du bon Dieu, comme un petit enfant attend tout de son père; c’est ne s’inquiéter de rien, ne point gagner de fortune… Être petit, c’est encore ne point s’attribuer les vertus qu’on pratique… ne point se décourager de ses fautes» (extrait des Derniers Entretiens).
Ces paroles prononcées quelques semaines avant sa mort récapitulent en quelque sorte la doctrine spirituelle de Thérèse.
S’écartant délibérément des illusions du «perfectionnisme» trop prôné au XIXe siècle, la Sainte a retrouvé le chemin de vérité : une course vers le Christ dans la liberté de l’amour, les yeux fixés sur lui et non sur soi.
À notre temps, Thérèse a révélé à nouveau le pur Évangile qui se résume dans l’amour et les grands paradoxes des béatitudes.
Innombrables sont ceux qui ont emprunté sa petite voie d’enfance, de pauvreté spirituelle, de confiance sans limites et d’abandon à l’Amour miséricordieux de Dieu.
Thérèse de l’Enfant-Jésus nous a laissé trois Manuscrits autobiographiques:
Les Derniers Entretiens, paroles notées par les sœurs de la Sainte, recouvrent la période du 6 avril 1897 jusqu’à la mort de Thérèse.
Par ses écrits qui connaissent toujours une diffusion extraordinaire, elle continue son apostolat dans le monde, rappelant surtout cette vérité fondamentale : «C’est l’amour seul qui compte!»
Thérèse de l’Enfant-Jésus, canonisée par Pie XI en 1925, fut déclarée patronne des missions avec saint François-Xavier.
Le 19 octobre 1997, Jean-Paul II la déclarait Docteur de l’Église.
Natacha saint Pier met en musique les poèmes de Ste Thérèse.