Préparons nous à la Pâque : Quel est le sens du Jeudi Saint ?

Célébrations sur Rochefort et Tonnay Charente

  • Jeudi Saint → 19h00 à L’église St Etienne de Tonnay Charente
  • Jeudi Saint →  19h00 messe à l’église St Louis suivie de l’Adoration

Nuit de l’adoration Jeudi saint à Rochefort

L’adoration aura lieu toutes les heures de 20h00 à 8h00 le lendemain matin à la chapelle Notre Dame de Lourdes. entrée par la rue P. Loti au 109 ter s’inscrire auprès de Jean-Baptiste Martin : au 06.28.08.20.91

 

  • QUE FAIT JÉSUS LORS DU JEUDI SAINT

Le Jeudi Saint célèbre le dernier repas du Christ avec ses douze apôtres.

Au cours de ce repas, la Cène, Jésus lave les pieds de ses disciples et il les désigne prêtres de la Nouvelle Alliance. Il prend le pain et le vin, il rend grâce, instituant ainsi le Sacrement de l’Eucharistie. Il annonce que l’heure de l’épreuve approche. Après le repas, le Christ et les apôtres se rendent au jardin des Oliviers pour veiller et prier.

Alors que ses disciples s’endorment harassés de fatigue et d’angoisse, le Christ est tenté par le Malin, dont il rejette les tentations pour accepter la coupe que lui destine Dieu son Père. C’est là que Judas arrive avec les soldats du Temple pour l’enlever.

QUEL ÉTAIT LE SENS DU REPAS PASCAL AU TEMPS DE JÉSUS ?

Le repas pascal, au temps de Jésus, avait lieu le soir du 14 nissan qui correspond au Jeudi saint. Ce repas appelé Seder commémorait la libération des Hébreux de l’esclavage qu’ils subissaient en Égypte et plus précisément le repas, appelé pascal, que mangèrent les Hébreux debout, à la hâte, avant de quitter l’Égypte et de partir vers le désert.

Dans le chapitre 12 du livre de l’Exode il est demandé au peuple juif de faire  mémoire de ce jour extraordinaire : le jour où Dieu a sauvé son peuple de l’esclavage (Ex 12/14).

Le repas du Seder se prend dans les deux premiers jours de la Pâque (Pessah) qui dure sept jours (la semaine des Azymes) et qui célèbre a la fois la fertilité de la terre et la sortie d’Égypte.

Pendant la semaine des Azymes (hag ha-matsot) on ne prend aucune nourriture contenant du levain ; on mange donc du pain azyme.

Ainsi dans l’histoire du salut, Jésus célèbre simultanément la dernière Pâque juive et la première Pâque chrétienne. Il ne s’agit plus de se préparer à la traversée de la Mer Rouge, mais bien à la traversée de la mort, par sa Passion et sa Résurrection.

De même que le peuple juif fait mémoire de l’Exode, de même, le Christ demande aux apôtres : « Faites cela en mémoire de moi ». C’est pourquoi nous, chrétiens, célébrons cette Pâques tous les dimanches lors de  l’Eucharistie, à la messe

LES RITES DU JEUDI SAINT

C’est avec la messe du soir du Jeudi saint que commence le Triduum pascal, ce temps de trois jours qui englobe les fêtes de Pâques.

Et puisque tout commence le Jeudi saint, le tabernacle est forcément vide avant le début de la messe. Pour célébrer cette grande fête, les célébrants revêtent des vêtements blancs, les cloches sonnent une dernière fois lors du Gloria avant de se taire jusqu’au dimanche de Pâques pour commémorer la mort du Christ.

De nombreuses paroisses reprennent le rite du lavement des pieds symbolisant le service et la charité du Christ qui « n’est pas venu pour être servi mais pour servir » (Mt 20, 28) tandis que les fidèles chantent des hymnes à la charité.

Dans de nombreuses églises, une veillée d’adoration et de prières suit la messe du Jeudi Saint afin de méditer en silence sur l’agonie de Jésus dans la solitude du jardin des oliviers à Gethsémani, pour répondre à son appel « Venez et priez ».

Bientôt les Rameaux

Horaires des messes des Rameaux sur les paroisses de Rochefort et Tonnay-Charente :

  • Dimanche 24 mars : – à 9h30 à l’église St Pierre du Breuil Magné – à 10h30 à l’église St Etienne de Tonnay-Charente. – à 11h00 à l’église St Louis.

 18h00 Exceptionnellement pas de messe

Six jours avant la fête de la Pâque juive, Jésus vient à Jérusalem.

La foule l’acclame lors de son entrée dans la ville. Elle a tapissé le sol de manteaux et de rameaux verts, formant comme un chemin royal en son honneur.

C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, d’olivier, de laurier ou de palmier), selon les régions. Ces rameaux, une fois bénis, sont tenus en main par les fidèles qui se mettent en marche, en procession : marche vers Pâques du peuple de Dieu à la suite du Christ.

La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !

Ces paroles sont chantées comme antienne d’ouverture au lieu où les fidèles se sont réunis : après une brève allocution, le célébrant bénit les rameaux et on lit le récit évangélique de l’entrée messianique de Jésus avant de se rendre en procession jusqu’à l’église.

La tradition chrétienne veut que l’on emporte, après la messe, les rameaux bénits, pour en orner les croix dans les maisons : geste de vénération et de confiance envers le Crucifié.

 

Loi fin de vie : “Ne dévoyons pas la fraternité !”

Suite aux annonces faites par le Président de la République dimanche 10 mars 2024 à propos de la présentation à l’Assemblée d’un projet de loi pour une « aide à mourir » au mois d’avril, retrouvez quelques réactions sur le site de la Conférence des évêques de France (CEF).

« Ne dévoyons pas la fraternité »

 Déclaration des évêques de France sur le projet de loi sur la fin de vie, le 19 mars 2024

 Evêques de France, rassemblés à Lourdes, lieu de prière et de solidarité avec les personnes les plus fragiles, nous exprimons notre grande inquiétude et nos profondes réserves à l’égard du projet de loi annoncé sur la fin de vie. Nous proclamons sans nous lasser que toute vie humaine mérite d’être inconditionnellement respectée et accompagnée avec une authentique fraternité. Avec beaucoup de nos concitoyens, chrétiens ou non, croyants ou pas, avec un très grand nombre de soignants, dont nous voulons saluer l’engagement, la compétence et la générosité, nous réaffirmons notre attachement à la voie française du refus de la mort provoquée et de priorité donnée aux soins palliatifs.

C’est un impératif d’humanité et de fraternité que de soulager la souffrance et d’offrir à chacun la fin de vie la mieux accompagnée plutôt que de l’interrompre par un geste létal. Notre idéal démocratique, si fragile et si nécessaire, repose sur l’interdit fondateur de donner la mort.

Nous voulons exprimer notre grande proximité à l’égard des personnes en souffrance et nous saluons l’engagement de celles et ceux qui prennent soin d’elles. Nous voulons être à leur écoute et à leurs côtés, soutenant la fidélité des aidants et des proches. Nous sommes impressionnés par les progrès des soins palliatifs. Le Conseil consultatif national d’éthique a fait de leur généralisation la condition éthique préalable à toute évolution législative. Nous sommes convaincus qu’ils peuvent et doivent se développer encore, quantitativement à travers tout notre pays et qualitativement en continuant de répondre de mieux en mieux aux douleurs encore réfractaires. Nous saluons la recherche qui, par solidarité, ne cesse de trouver les meilleurs soins à apporter contre la douleur. Tout cela a un coût qu’une société démocratique comme la nôtre s’honorera d’assumer.

Nous engageons tous les catholiques à s’impliquer davantage auprès des personnes en situation de handicap, âgées ou en fin de vie : la demande de suicide assisté ou d’euthanasie est souvent l’expression d’un sentiment de solitude et d’abandon auquel nous ne pouvons ni ne devons nous résoudre. Plus la solidarité avec les personnes les plus fragiles progressera, plus notre pays avancera sur un chemin renouvelé de fraternité, de justice, d’espérance et de paix.

Notre époque, souvent habitée par la peur de la mort et le désir de prolonger indéfiniment la vie, considère aussi les vies fragilisées comme dénuées de sens. Nous voulons affirmer que toute vie, si fragilisée soit-elle, mérite d’être honorée jusqu’à son terme naturel.

Au milieu de tant de violences contemporaines, dans notre pays et à travers le monde, nous appelons tous les chrétiens comme tous les hommes et femmes de bonne volonté à être d’authentiques serviteurs de la vie de leurs frères et sœurs. Le message de Pâques, que chacun peut accueillir à sa manière, est le triomphe de l’amour et de la vie sur la souffrance et le sentiment d’abandon. Que l’espérance de cette lumière pascale éclaire et encourage tous nos concitoyens et tous leurs représentants au seuil d’un débat décisif pour le présent et pour l’avenir de notre commune humanité.

Pour Mgr Éric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims et Président de la CEF, « appeler “loi de fraternité” un texte qui ouvre le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie ».

“Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie.”

La Croix : Quelques jours seulement après l’inscription du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, ce texte sur la fin de vie touche une nouvelle fois à une question éthique : comment réagissez-vous, êtes-vous inquiet de ces évolutions ?

Mgr Éric de Moulins-Beaufort : Notre pays devrait être, depuis la loi Claeys-Leonetti, un pays en pointe sur les soins palliatifs. Or, dans son entretien à La Croix, le président de la République présente un texte tout ficelé sur ce qu’il appelle « l’aide à mourir » mais, sur les soins palliatifs, de vagues promesses avec un chiffrage tout à fait approximatif. C’est l’équilibre exactement inverse de ce que Mme Vautrin m’avait décrit mercredi matin.

Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie. Je l’ai dit comme beaucoup d’autres et je le redis : les Français n’envisageraient pas de la même manière la fin de vie si les soins palliatifs étaient chez nous une réalité pour tous partout, comme le voulait la loi dès 1999. Ces derniers temps, non seulement rien n’a été fait pour apporter des soins palliatifs là où il n’y en a pas, mais les moyens de plusieurs services existants ont été réduits encore. C’est cela la vérité.

Vous avez rencontré le président de la République à plusieurs reprises, notamment sur ce sujet de la fin de vie : retrouvez-vous dans ce texte ce que vous avez pu lui dire ?

Mgr É. M.-B. : Le président a annoncé depuis longtemps ne pas vouloir brusquer les esprits sur les sujets sociétaux. Il a reçu beaucoup de personnes, y compris les responsables de culte, c’est indéniable. Mais il est habile aussi. Il parvient à reprendre et à approprier au texte annoncé notre grand point d’insistance qui est la fraternité. Appeler « loi de fraternité » un texte qui ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie.

Pour Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, « on ne peut pas parler de fraternité quand on répond à la souffrance par la mort ».

Temps fort aux Rameaux

Samedi 23 mars 2024 de 14h30 à 17h00 dans les salles paroissiales 65 bis rue Voltaire.

Viens nous rejoindre avec tes amis pour un après midi de partage, découverte, jeux autour de la célébration des Rameaux.

 

Notre Dame de Paris, panse ses plaies après l’incendie dévastateur de 2019

En premier lieu lors de la conférence consacrée à la reconstruction de ND de Paris après l’incendie du 15 avril 2019, Mgr Chauvet ancien recteur a conté l’histoire de la cathédrale.

En 1163 sous le règne de Louis VII le pieux l’évêque de Paris Maurice de Sully lance la construction de la cathédrale de Paris, le chantier durera près de deux siècles, car il ne s’achèvera qu’en 1351 sous le règne de Jean II le Bon.

Le bâtiment est construit selon le style gothique, révolutionnaire à l’époque il est en effet apparu en 1130. Les croisées d’ogives remplacent les arcs romans  arrondis ce qui permet une grande élévation des murs soutenus de l’extérieur par des arcs-boutants.  Libérées de leur rôle porteur les parois sont percées de vastes baies porteuses de vitraux colorés, qui sont des véritables bandes dessinées bibliques.

Autres innovations,  trois grandes rosaces éclairant  l’intérieur de la cathédrale.

La cathédrale contient un grand orgue de 115 jeux et de 8000 tuyaux, il apparait en 1733,  François Thierry, facteur d’orgue, l’ a construit. Le plus important est bien sûr le trésor de la cathédrale, il contient de précieuses reliques de la Passion : un fragment du bois de la croix, un clou de la Passion du Christ et surtout la couronne d’épines  du Christ, achetée à Byzance par saint Louis (Louis IX)

Abîmée lors de la Révolution, la cathédrale, en piètre état, a ému Victor Hugo, qui, grâce à son talent et le succès de Notre  Dame de Paris , roman centré sur la cathédrale, est parvenu a susciter un élan national en sa faveur. La cathédrale a été restaurée de 1843 à 1862 par Viollet le Duc. Il a eu l’idée d’ajouter les gargouilles et les chimères qui regardent Paris du haut des tours et surtout d’édifier la flèche de la cathédrale qui s’écroula le 15 avril 2019 lors de l’incendie.

En second lieu ont été projetées de remarquables vues de la cathédrale en travaux. Stéphane Compoint le photographe a réalisé ces magnifiques photos grâce à l’utilisation d’un ballon captif de sa conception, porteur d’un appareil photo.

Sauvée par l’héroïsme des Sapeurs pompiers de Paris, par des mécènes de France et du monde entier, et surtout par d’innombrables artistes, artisans et compagnons du devoir, Notre Dame de Paris mérite son titre de  cathédrale du troisième millénaire. Nous pouvons, enfin, remercier Notre Dame du pilier, douce porteuse de l’enfant Jésus.  Elle n’a pas été touchée par l’effondrement du plafond, les pierres  l’ont simplement frôlée. Est-elle pour quelque chose dans le sauvetage de la cathédrale, notamment de la tour nord, porteuse des cloches, et de  l’absence de victimes parmi les sauveteurs de “sa”  cathédrale…..consacrée au Christ ? On peut le penser.

Photos du Pèlerin

Photos du Pèlerin

Notre Dame de Paris à Rochefort, un chantier exemplaire

Au Palais des congrès de Rochefort plus de 250 sectateurs sont venus le vendredi 15 mars 2024 à l’invitation de l’équipe ” festival chrétien du cinéma en pays rochefortais” et  de la mairie de Rochefort, partenaire,  pour assister à la présentation  des travaux menés en la cathédrale de Paris.

Chacun se souvient, du dramatique incendie du 15 avril 2019 qui embrasa la charpente du toit et jeta à terre la flèche de la cathédrale. Le public rochefortais a eu le privilège d’entendre Mgr Patrick Chauvet,  recteur – archiprêtre de Notre-Dame de Paris de 2016 à 2022 et  Mme Sophie Laurant,

grand reporter du magazine le Pèlerin , faire le point sur les travaux de restauration tout en admirant la projection des photos de M. Stéphane Compoint, spécialisé en photographie aérienne. Ces photos exceptionnelles figureront sur ce site dans quelques jours, elles illustreront  les travaux de reconstruction de Notre-Dame de Paris suivis avec émotion par toute la France et le monde entier.

L’intervention  de Mgr Patrick Chauvet, témoin de l’incendie a captivé l’assistance parmi laquelle se trouvaient, M. Hervé Blanché, maire de Rochefort, accompagné par Mme Caroline Campodarve, première adjointe,

 

 

le père  Mickaël Le Nezet curé de Rochefort accompagné par les abbés Pierre Bigot, Guillaume Marie et Arokiya Prabakar. Acteur du drame Mgr Chauvet grâce a sa connaissance parfaite du monument et des sauveteurs  a délivré un témoignage poignant enrichi par le rappel de la dimension historique et patrimoniale de la cathédrale.

Homme-orchestre toute la nuit, aux côtés du président Emmanuel Macron  et d’Anne Hidalgo maire de Paris, Mgr Chauvet fut au service des pompiers et des équipes de sécurité. Il facilita notamment le sauvetage de la couronne  d’épines du Christ et du trésor de la cathédrale.

La soirée s’acheva sur un temps d’échange suivi  par la vente de plusieurs ouvrages consacrés à la cathédrale Notre Dame de Paris que Monseigneur Patrick Chauvet, auteur, dédicaça de bonne grâce. Furent  mis en vente également plusieurs numéros hors série du magazine “Le Pèlerin” illustrés par des photos de grande qualité consacrés à la restauration de la cathédrale.

Commande de ces numéros possible soit par téléphone au : 01.74.31.15.01 

soit par internetlibrairie-bayard.com/lepelerin

 

Photos GT

Photos GT

Film débat : Yallah Gaza samedi 16 mars à 19h00

  • Samedi 16 mars à 19h00

  • à l’auditorium du Palais des Congrès de Rochefort

73 rue Toufaire 17300 Rochefort

La participation est libre

Des associations de Rochefort ont programmé un film débat :  𝙔𝙖𝙡𝙡𝙖𝙝 𝙂𝙖𝙯𝙖, long-métrage documentaire de 𝗥𝗼𝗹𝗮𝗻𝗱 𝗡𝘂𝗿𝗶𝗲𝗿 sorti en octobre 2023

3 personnes vont animer un débat “délicat”: des représentants de
SOS Palestine, de La Ligue des Droits de l’Homme et du CCFD Terre Solidaire
Philippe
06 09 66 15 37

Carte des situations géographiques

𝗦𝗬𝗡𝗢𝗣𝗦𝗜𝗦 :
𝘓𝘢 𝘣𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘥𝘦 𝘎𝘢𝘻𝘢 𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘪𝘵𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘱𝘢𝘭𝘦𝘴𝘵𝘪𝘯𝘪𝘦𝘯 𝘥𝘦 360 𝘬𝘮² 𝘰𝘶̀ 𝘴’𝘦𝘯𝘵𝘢𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘥𝘦 2 𝘮𝘪𝘭𝘭𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘥’𝘦̂𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘪𝘯𝘴. 𝘓𝘢 𝘱𝘰𝘱𝘶𝘭𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘴𝘵 𝘳𝘦́𝘨𝘶𝘭𝘪𝘦̀𝘳𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘣𝘰𝘮𝘣𝘢𝘳𝘥𝘦́𝘦, 𝘮𝘢𝘪𝘯𝘵𝘦𝘯𝘶𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘢𝘯𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘴𝘰𝘶𝘴 𝘣𝘭𝘰𝘤𝘶𝘴 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘦𝘴𝘵𝘳𝘦, 𝘮𝘢𝘳𝘪𝘵𝘪𝘮𝘦 𝘦𝘵 𝘢𝘦́𝘳𝘪𝘦𝘯 𝘪𝘴𝘳𝘢𝘦́𝘭𝘪𝘦𝘯.
𝘊𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘴𝘪 𝘰𝘯 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘳𝘦𝘧𝘶𝘴𝘢𝘪𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘯𝘪𝘵𝘦́, 𝘎𝘢𝘻𝘢 𝘴𝘦 𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘣𝘢𝘯𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦́ 𝘥𝘶 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘮𝘢𝘪𝘴… 𝘯’𝘢𝘣𝘢𝘯𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦 𝘱𝘢𝘴.
𝘓𝘦 𝘧𝘪𝘭𝘮 𝘵𝘦́𝘮𝘰𝘪𝘨𝘯𝘦 𝘥𝘦 « 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘳𝘢𝘨𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘪𝘷𝘳𝘦 » 𝘱𝘢𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘭𝘰𝘯𝘨𝘦́𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘦́𝘵𝘦́ 𝘨𝘢𝘻𝘢𝘰𝘶𝘪𝘦 𝘦𝘵 𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘦𝘯 𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦́ 𝘭𝘢̀.
𝘠𝘢𝘭𝘭𝘢𝘩 𝘎𝘢𝘻𝘢 𝘢𝘣𝘰𝘳𝘥𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵𝘴 𝘩𝘪𝘴𝘵𝘰𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴, 𝘨𝘦́𝘰𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴, 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘪𝘰𝘯𝘪𝘴𝘮𝘦, 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘳𝘯𝘦 𝘱𝘢𝘭𝘦𝘴𝘵𝘪𝘯𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦, 𝘥𝘦 𝘋𝘳𝘰𝘪𝘵 𝘐𝘯𝘵𝘦𝘳𝘯𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘢𝘭, 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘥’𝘦𝘴𝘱𝘰𝘪𝘳 𝘨𝘢𝘻𝘢𝘰𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘱𝘩𝘳𝘢𝘴𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘥 𝘱𝘰𝘦̀𝘵𝘦 𝘱𝘢𝘭𝘦𝘴𝘵𝘪𝘯𝘪𝘦𝘯 𝘔𝘢𝘩𝘮𝘰𝘶𝘥 𝘋𝘢𝘳𝘸𝘪𝘤𝘩 : « 𝘕𝘰𝘶𝘴 𝘴𝘰𝘶𝘧𝘧𝘳𝘰𝘯𝘴 𝘥’𝘶𝘯 𝘮𝘢𝘭 𝘪𝘯𝘤𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘲𝘶’𝘰𝘯 𝘢𝘱𝘱𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘭’𝘦𝘴𝘱𝘰𝘪𝘳 ».

Soirée en l’honneur de la fête de la Miséricorde – Eglise Saint Louis

Eglise Saint-Louis mercredi 13 mars de 19h00 à 21h00

Plusieurs propositions pour goûter à la Miséricorde de Dieu :

  • Sacrement de la réconciliation individuel.
  • Adoration eucharistique,
  • Méditation de la Parole de Dieu

Qu’est-ce qu’une veillée miséricorde ?

C’est une soirée où les sacrements de la miséricorde : eucharistie et confession, sont disponibles pour chacun.

Après la messe, le Saint-Sacrement sera exposé pour un temps d’adoration spontanée, en même temps la confession sera possible auprès des prêtres présents.

Venez découvrir la tendresse de Dieu et préparons-nous à la venue de Jésus, dans la paix.

Se confesser : pourquoi et comment ?

Il s’agit de se placer en vérité face à Dieu et à soi- même.

On demande au Seigneur de nous aider à prendre conscience de nos fautes et de nos manques d’amour. Sommes-nous attentifs à ce que nous sommes pour les autres ?   Il est très difficile de dévoiler son  intimité, c’est une épreuve, mais la récompense  est grande : le Christ délègue réellement au prêtre le pouvoir de nous pardonner et de nous rendre  la paix.

Et puis le curé d’Ars nous fait cette confidence : “ Les péchés que nous cachons reparaîtront tous, pour bien cacher ses péchés, il faut les confesser. “

Evangile de Jean 20, 23:

« De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il répandit sur eux son souffle et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. Tout homme à qui vous remettrez ses péchés, ils lui seront remis ; tout homme à qui vous maintiendrez ses péchés, ils lui seront maintenus. »

Schéma « pratique » de confession :

  • Le pénitent dit : « Bénissez-moi, mon père, parce que j’ai péché ». Le prêtre bénit alors le fidèle et l’invite à entrer dans la confiance pour cette confession.
  • Le pénitent peut dire depuis combien de temps il ne s’est pas confessé et présenter brièvement son état de vie.
  • Puis vient le temps de l’aveu des péchés reconnu à la lumière de l’amour infini de Dieu. Je reconnais avec simplicité mon péché, sans me justifier. On peut examiner les manquements…
    – envers Dieu
    – envers mon prochain
    – envers moi-même
  • « Pour tous ces péchés je demande pardon à Dieu. Ai-je demandé pardon à ceux que j’ai offensés ou blessés ? Sinon vais-je le faire ?  ». Saint Matthieu en 5, 24 nous donne ce conseil : ” Laisse ton offrande devant l’autel et va d’abord te réconcilier avec ton frère, puis viens et offre ton don.”
  • Ensuite le prêtre, témoin de la miséricorde, relève et encourage dans la foi celui qui reconnaît ses fautes.
    – Il  peut proposer une pénitence adaptée à la situation. La pénitence manifeste  notre désir de vie nouvelle et de rendre grâce à Dieu.
    – Il invite à formuler un acte de contrition,
    – Il prononce la formule d’absolution,
    – Il invite à repartir dans la paix.

Acte de contrition  

    “Mon Dieu, j’ai un très grand regret de vous avoir offensé
parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable,
et que le péché vous déplaît.
Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce
de ne plus vous offenser et de faire pénitence.”   

 

 

 

Rencontre du groupe d’Éveil à la foi

Bonjour tout le monde,
Nous nous retrouverons le dimanche 10 mars à 11h00 lors de la messe des familles à l’église St Louis pour l’Éveil à la foi.
Comme toujours, danses, prières, bricolages, lectures, chants, coloriages seront au programme !
Petits et grands, vous êtes les bienvenus !
Au plaisir de vous retrouver,

L’Équipe de l’éveil à la foi

La prochaine date de rencontre d’Éveil à la foi sera le 5 mai

Association “Pépites de Phnom Penh” Soirée à Rochefort

Soirée débat à l’hôtel Mercure-Corderie royale

Mardi 12 mars de 20h00 à 22h00. Entrée libre

Réservation conseillée

Informations :    06 03 98 83.94

« Pour un Sourire d’Enfant » une association française qui intervient au Cambodge depuis 25 ans, c’est surtout l’extraordinaire aventure humanitaire d’un couple de retraités français, Christian et Marie France des Pallières présentée récemment au public par le film-documentaire « Les pépites ».
Son but est de sortir de la misère les enfants chiffonniers des rues de Phnom Penh , au Cambodge, qui survivent dans d’horribles conditions.
Sans aucun moyen personnel, mais grâce à une mobilisation exceptionnelle, ils ont sauvé des milliers d’enfants .
Aujourd’hui, 6.500 enfants sont pris en charge : nourris, soignés, protégés, scolarisés et formés à un métier pour sortir de la misère.
Plus de 5.000 jeunes ont déjà été formés par cette association à un métier qualifié grâce auquel ils ont pu aider leur famille, fonder la leur et participer au redressement de leur pays.
Hôtel Mercure à la Corderie
rue Jean-Baptiste Audebert
17300  ROCHEFORT
Bande annonce du film : Les pépites”

 

Rencontre-débat CCFD avec l’association cambodgienne FLO suivie d’un repas de cuisines du monde

Lundi 11 mars 2024 de 18h30 à 21h30 au Centre socio-culturel Primevère Lesson, avenue de la fosse aux mâts à Rochefort.

Rencontre avec Vandy KIM, représentante de FLO*, Organisation pour la Forêt et les Moyens de Subsistance au Cambodge.
*FLO : Forest and Livelihood Organization)

Cette rencontre sera suivie d’un repas de cuisines du monde  réalisé par nos amies arméniennes, syriennes…  Participation  aux frais du repas libre et consciente.

Philippe Bortolus, un des responsables du CCFD – Terre solidaire sur notre diocèse, nous parle de cette action de carême, au micro de RCF :

Le Cambodge est un pays magnifique, à la culture millénaire, aux grandes forêts tropicales, il est traversé du nord au sud par le fleuve Mékong.

Le pays entier est animé par un rêve de prospérité qui inspire de grands projets. Ici on extrait de grandes quantités de sable pour alimenter les besoins de la construction et du tourisme, en pleine croissance. Là-bas, on coupe de grandes parcelles de forêt pour planter des champs de canne à sucre à perte   de vue… Mais, et les personnes ?

Habitants des bords du fleuve Mékong et communautés de peuples de la forêt voient leur monde basculer : paysages bouleversés, arbres, plantes, animaux qui disparaissent, ressources qui deviennent rares, petits commerces qui ferment et voisins qui partent à la ville, certains expropriés, d’autres vendant leur maison à des entreprises qui grignotent peu à peu la propriété de la terre…

Dans la province de Kratie, l’ association FLO s’est formée pour résister et chercher des solutions tous ensemble: arrêter de laisser couper les arbres et saccager le fleuve, trouver de nouvelles manières de créer de la richesse tout en protégeant la forêt et le fleuve, former les jeunes, aider les villageois et les peuples de la forêt à s’organiser, à s’outiller, à exiger une justice et un respect de leurs territoires.

“Pour l’humanité, la faim n’est pas seulement une tragédie mais aussi une honte. Face à cette réalité, nous ne pouvons pas rester insensibles ou demeurer paralysés. Nous sommes tous responsables et devons œuvrer à cette mission fondamentale de cultiver la terre, nourrir les affamés et sauvegarder les ressources naturelles, de manière à ce que tous puissent vivre dignement dans le respect et l’amour“. Pape François

Retrouvez les outils du CCFD pour le Carême 2024

Pour faire un don au CCFD, cliquez ICI 

 

Le CCFD à Rochefort

Quelques événements ou actions organisés par le CCFD à Rochefort :

  • Des rencontres et repas avec des migrants résidant à Rochefort.
  • L’animation d’un groupe chrétiens-migrants qui loge et accompagne des familles de migrants en collaboration avec l’association Cent pour un toit – Pays rochefortais.
  • Des campagnes thématiques de Carême
  • Des soirées témoignages-débats organisées conjointement avec l’AAPIQ :

Contact  :  Philippe BORTOLUS – ☏ 06 09 66 15 37

Site internet national : https://ccfd-terresolidaire.org/