Dimanche 24 avril 2022, à l’église St Louis, jour de la Divine Miséricorde, des laïcs ont été envoyés en mission, par le père Mickaël Le Nezet curé, pour le service d’accompagnement des familles en deuil sur la paroisse. Il s’agit de :
Arnaud Fouan et Rémi Guérin, diacres.
Jessy Lapierre , Martine Novier et Thaddée Grzesiak . Ces membres de notre communauté ont accepté de rencontrer les familles en deuil pour les accompagner dans cette étape douloureuse, présider les obsèques ou participer à la liturgie avec le prêtre ou le diacre célébrant.
C’est une belle mission si précieuse.
Par ailleurs, une équipe se retrouve aussi chaque 2ème vendredi du mois pour porter dans la prière ces défunts et leurs familles en lien avec le sanctuaire de Montligeon. Une conférence sera d’ailleurs prochainement proposée sur la mission de ce sanctuaire.
Enfin une équipe de partage pour des veufs et veuves est proposée pour un soutien spirituel.
N’hésitons pas à entrer dans cette équipe missionnaire de l’accompagnement du deuil . Merci
Quelques photos de cet évènement à Rochefort ce jour là
Dimanche 10 avril en l’église St Gaudens de Fouras
Le concert : ” Les 7 dernières paroles du Christ” de JOSEPH HAYDN fut un franc succès. Devant une assistance nombreuse s’est produit l’excellent quatuor à cordes, composé par :
aux violons : – Philippe BABIAUD et Louis CHASSERIAU
à l’alto : – Jeanne-Marie FARDET
au violoncelle : – Grégoire BABIAUD
Ainsi que la chorale St Vincent de Rochefort placée sous la direction de Marie-Claude FARDET.
Les méditations ont été proposées par le père Daniel Cassegrain.
L’octave de Pâques désigne, dans le calendrier liturgique latin, les huit jours qui suivent la fête pascale, du dimanche de Pâques au dimanche de quasimodo, ou dimanche in albis, qui est devenu en l’an 2000 le dimanche de la divine Miséricorde. D’autres fêtes religieuses de la religion catholique sont aussi suivies d’une octave, destinée à les solenniser.
Actuellement, selon le calendrier liturgique romain, seules les solennités de Pâques et de Noël sont suivis d’une octave. Dans le calendrier liturgique tridentin, la solennité de la Pentecôte est également suivie d’une octave, comprenant les Quatre-Temps de l’été.
Pendant cette octave, la messe est célébrée tous les jours avec les prières du jour de Pâques. La répétition des mêmes prières et des mêmes chants sert à rappeler que la Résurrection se prolonge par-delà la fête pascale. Les cloches des églises peuvent sonner à 18 h durant ces 8 jours.
Tirant son origine de l’Ancien Testament avec la fête Souccot elle fut introduite par l’empereur Constantin dans la liturgie catholique.
Égérie a décrit dans son Voyage comment elle était vécue au IVème siècle à Jérusalem : « (…) pendant l’Octave, toute cette pompe et cette décoration se déploient dans tous les lieux saints. (…) Pendant toute cette octave, tous les jours, c’est la même décoration et la même pompe (…) Les moines de l’endroit, au complet, continuent à veiller jusqu’au jour en disant des hymnes et des antiennes. (…) À cause de la solennité et de la pompe de ces jours, des foules innombrables se rassemblent de partout, non seulement des moines, mais aussi des laïcs, hommes et femmes. »
Dans le rite byzantin
Toute la semaine, appelée Semaine Lumineuse, les portes du sanctuaires restent ouvertes (voire ôtées de leurs gonds) dans les églises. On ne lit rien dans les offices, tout est chanté, et l’intégralité des offices est calquée sur le déroulement des offices du dimanche de Pâques.
Chantons maintenant : “Le Christ est vraiment ressuscité”.
Dans notrediocèse, la fête de la divine miséricorde sera particulièrement soulignée à Saintes, le samedi 23 et le dimanche 24 avril prochain,
Découvrez la Miséricorde Divine et faites l’expérience concrète de l’Amour de Dieu !
Le dimanche de la Miséricorde est célébré par l’Église le dimanche après Pâques.
Nous vivons un temps de grandes misères. La réponse de Dieu à ces misères
s’appelle la Miséricorde.
L’Église nous conduit aux sources de la Miséricorde : sacrements, prières, œuvres de miséricorde et aussi prières de guérison, de délivrance et de libération. « Les 24 heures pour la Miséricorde »veulent conduire, prêtres et fidèles à ces moyens que l’Église propose pour expérimenter concrètement l’amour de Dieu.
PROGRAMME
Samedi 23 avril :
A l’abbaye aux Dames* & église Saint-Pallais** à Saintes :
15h-17h30** : pour les prêtres et les diacres, enseignement/ conférences
des pères : enseignement/conférence des pères Bernard Faure et Timothée Longhi exorcistes du diocèse de Bayonne sur les questions relatives à
l’occultisme, aux prières de guérison, de délivrance et de libération, suivi d’un
temps de partage.
15h-17h * : chapelet de la Miséricorde animé par les sœurs mineures et
conférence sur le thème de la Miséricorde animée par les serviteurs de la
Miséricorde.
18h * : messe du samedi avec célébration du sacrement des malades.
20h30 * : veillée Miséricorde en ouverture de la nuit d’adoration animée
par les Serviteurs de la Miséricorde et Hélène Goussebayle, auteur, compositeur et interprète.
* à l’abbaye aux Dames
** à l’église Saint Pallais à Saintes
Dimanche 24 avril
Cathédrale saint Pierre à Saintes :
9h30 : laudes animées par les sœurs mineures
10h : messe de la Divine Miséricorde présidée par Mgr Colomb.
14h : conférence sur l’oraison suivie d’un temps d’oraison guidé par le
frère Jean-Emmanuel, carme au Broussey.
► Le sacrement de réconciliation est proposé tout au long du Week-End
INFOS PRATIQUES
Pour les repas : chacun prévoit ce qui lui est nécessaire.
Participation financière souhaitée : 5 euros par personne.
Jeudi Saint signifie communion – amour de l’autre – don de soi, pourquoi ne pas se tourner vers ceux que l’on évite d’ordinaire, car on est pressé, car on n’y pense pas, ou parce qu’on a d’autres soucis…. ?
Rencontrer nos frères et sœurs en marge est nécessaire, tourner nos regards vers eux est indispensable, c’est pourquoi l’ Assemblée Plénière des évêques réunie à Lourdes en novembre 2021 – avec le CERAS Centre de Recherche et d’Actions Sociales – « l’Action populaire » créée en 1903, par Jésuites et laïcs – nous propose des interviews filmées. Les personnes en précarité ont besoin de parler d’elles, prenons au sérieux leur message, celui de l’Évangile et les appels du pape François.
Ces témoignages évoquent des chemins de vie pierreux, inégaux, parfois des impasses, loin, ou à côté de l’Église, notre maison commune.
Convaincus que l’écoute des personnes en précarité peut évangéliser chacun et chacune d’entre nous, les évêques de France, et le Ceras, proposent quatre vidéos; une par jour, du jeudi Saint au dimanche de Pâques.
Ces quatre vidéos nous aiderons à actualiser la Bonne Nouvelle; elle est inscrite sur du papier, parfait, mais il faut maintenant l’inscrire dans nos cœurs …et dans nos mains de travailleurs à la vigne du Seigneur. Le mystère pascal approche, luttons contre notre pauvreté spirituelle, notre avarice cachée, et enrichissons les pauvres de notre présence, de notre écoute afin d’apporter le soutien affectif, matériel ou financier qui convient.
Jeudi Saint – Faire Église : la Communion parfois fragile et brisée
Vendredi Saint – Entendre les cris
Samedi Saint – Un moment de jachère
Dimanche de Pâques : Rêver la fraternité universelle
Un tel rite frappe toujours l’assemblée, car, ce jour-là il met immédiatement en œuvre la liturgie ce qui est exceptionnel.
Quels que soient les acteurs, la vérité du geste est là.; donc le Christ est présent parmi eux.
Le prêtre, après avoir déposé sa chasuble, le cas échéant, se met au travail et verse de l’eau sur les pieds des invités puis il les essuie.
Comme pour tout acte liturgique, bien sûr, il faut veiller à la profondeur du symbole , en veillant à la mise en scène.
Un tel geste est orienté vers la Passion
Le Missel propose six antiennes qui peuvent être chantées à cette occasion. Les cinq premières sont des citations de l’évangile de Jean au chapitre 13 d’où est tiré justement le lavement des pieds. Le lien entre ce geste et le dernier discours est évidemment orienté vers la Passion, acte sublime de charité :
En lavant les pieds de ses disciples, Jésus anticipe l’humiliation de sa mort sur la Croix, pour tout homme. Il montre que son triomphe et sa gloire passent par le sacrifice et par le service : tel est le seul chemin pour tout chrétien. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis (cf. Jn 15, 13); seul l’amour est capable de sauver le monde, non pas la force, à laquelle, hélas, beaucoup de dirigeants de peuples ont été, et sont toujours, tentés de recourir.
La manifestation du sacerdoce du Christ
Dans ce geste, pratiqué une fois par an est illustré le rapport à l’eucharistie et au sacerdoce :
De manière significative, là où les évangiles synoptiques racontent l’institution de l’eucharistie, l’évangile de Jean propose, illustration profonde, le récit du ‘lavement des pieds’, par lequel Jésus donne l’exemple de la communion et du service (cf. Jn 13, 1-20)
Ce geste n’est pas un service banal il manifeste l’accomplissement du sacerdoce du Christ auquel les apôtres doivent « prendre part ».
L’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, relatée de façon pittoresque, mais en même temps avec une grande profondeur théologique nous prépare au drame qui va se dérouler, à Pâques.
Jésus entre à Jérusalem sur le dos d’un âne symbolique
Pour le lecteur contemporain, qu’un roi fasse une entrée triomphale sur un âne est un peu étonnant…
Pourtant, si Jésus choisit cet animal, c’est qu’il tient à accomplir la prophétie de Zacharie (Za 9,9) dans l’Ancien Testament où le prophète annonce l’arrivée du roi à Jérusalem :
« Tressaille d’une grande joie, fille de Sion ! Pousse des cris d’allégresse, fille de Jérusalem ! Voici que ton Roi vient à toi. Il est juste, lui, et protégé de Dieu, il est humble, monté sur un âne et sur un poulain, petit d’une ânesse. » (Za 9,9)
Et c’est peu dire qu’une telle entrée ne peut passer inaperçue des juifs. Ces derniers, lecteurs des prophètes, connaissent bien l’importance symbolique de cet animal comme en témoigne le midrash :
« L’âne qu’Abraham a sanglé [Gn 22,3] avec tant de dévouement, c’est ce même âne qui a transporté Moïse le libérateur en Égypte, et c’est lui encore qui apportera le rédempteur à ses descendants. » Pirqe de Rabbi Eliezer, ch. 31, VIIIᵉ-IXᵉ s. après Jésus-Christ.
Pietro Lorenzetti (1280-1348)
La foule acclame Jésus comme le Messie
« Hosanna au Fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna dans les hauteurs ! » (Mt 21,9)
En criant « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur », le peuple de Jérusalem reprend les paroles du psaume 118, ce qui nous indique deux choses :
Le peuple de Jérusalem connaît par cœur le livre des psaumes. Ce qui, pour un connaisseur de la liturgie juive n’est pas très surprenant : le psaume 118 est utilisé lors de plusieurs grandes fêtes (à la Pâque, à Pentecôte, et à la Fête des tentes). C’est donc avec une prière archi-connue que Jésus est accueilli.
L’autre info majeure, c’est qu’en reconnaissant Jésus comme le fils de David, venant au nom du Seigneur, le peuple de Jérusalem reconnaît sa messianité. Ce Jésus qui entre sur un âne accomplit la promesse divine, récompensant l’attente de ce peuple.
Giotto di Bondone (1266-1337), L’entrée à Jérusalem (fresque), Église de l’Arena, Padoue, Italie.
Que signifie le mot « Hosanna » crié par la foule ?
L’évangéliste Matthieu, comme tous les auteurs du Nouveau Testament, écrit son Évangile en grec. Pourtant, il ne prend pas la peine de traduire le terme Hosanna et se contente de transcrire ce terme hébreu.
Et que ce soit le latin, ou toutes les langues postérieures, toutes préserveront ce terme sans lui trouver d’équivalent. Il n’est donc pas inutile de se pencher sur sa signification. Deux possibilités s’offrent à nous :
L’étymologie d’abord. Hosanna signifie littéralement « sauve ! ». L’appel à un salut de la part du Fils de David est d’une grande portée dans le cadre d’une entrée messianique à Jérusalem.
Déjà à l’époque, ce chant est une acclamation liturgique, un chant de gloire et de joie. Dans notre texte le fait que l’on colle « au fils de David » au datif (on passe sur ce mode de déclinaison grec…) nous incite à voir le terme « Hosanna » comme une acclamation faite à Jésus et à Dieu.
En conclusion
Jésus arrive à Jérusalem monté sur un animal royal et messianique (l’âne), acclamé par une foule qui, en proclamant un psaume, l’identifie au fils de David venu au nom du Seigneur.
Déjà reconnu par certains comme le Messie, Jésus finira cette semaine conspué et cloué sur une croix…
Du 1er au 6 août 2023, les jeunes catholiques du monde entier ont rendez-vous à Lisbonne au Portugal pour les 37èmes Journées mondiales de la jeunesse.
Le Pape a placé une nouvelle fois la rencontre internationale sous le regard bienveillant de la Vierge Marie, le thème retenu pour cette édition est : « Marie se leva et partit avec hâte » (Luc 1, 39).
Dans notre diocèse, c’est Rémi Delprat (diacre en vue du sacerdoce et responsable du foyer d’étudiants à la Rochelle) qui est en charge de coordonner l’organisation de ce rassemblement avec les jeunes diocésains.
Aussi,une première réunion se tiendra le vendredi 18 mars 2022, à 19h à la maison diocésaine à Saintes.
Aux responsables du doyenné de Rochefort, des équipes de la démarche synodale
Voici la synthèse de la première étape de la démarche synodale vécue dans le doyenné de Rochefort. C’est le fruit de vos échanges, vos réflexions et de vos réponses que vous nous avez envoyés. C’est également le résultat d’un patient travail de lectures, de transcription de l’équipe de pilotage : merci à tous ceux qui y ont contribué !
Nous attendons vos réponses à la seconde étape pour le mercredi 30 mars ; les modalités d’envoi sont identiques, à savoir l’espace “réponses” du site de la démarche synodale : https://synode.catholiques17.fr/
En cas de difficulté technique, vous pouvez me contacter :
06 47 33 51 28
En avril, à l’issue des deuxièmes rencontres, l’équipe de pilotage établira pour chaque doyenné, d’après les retours des équipes fraternelles :- la synthèse des interpellations plus personnelles “est-ce que je pense avoir une mission… ”
– une liste de propositions en réponse à la question 10 page 38 du carnet de route : « A quelles missions prioritaires l’Esprit Saint nous appelle-t-il pour notre communauté, notre doyenné ? »
Il s’agit de recueillir les idées pour enrichir la vie de votre doyenné dans sa mission d’annoncer l’Evangile.
C’est dans cette liste que seront choisis et votés les axes missionnaires au cours de l’assemblée synodale le samedi21 mai.
Réservez-dès à présent cette date dans vos agendas afin de pouvoir y participer ! Votre doyen vous communiquera prochainement les modalités pratique de cette journée.
Merci à vous de relayer auprès de chacun de vos équipiers les fichiers afin qu’ils puissent en prendre connaissance.
Alors que la crise s’accentue de jour en jour en Ukraine, le Pape François a fait part de sa «grande douleur» à ce sujet lors de l’audience générale de mercredi 23 février 2022.
Une fois de plus, la paix de tous est menacée par des intérêts partisans.
Je voudrais lancer un appel à ceux qui ont des responsabilités politiques pour qu’ils fassent un sérieux examen de conscience devant Dieu, qui est le Dieu de la paix et non de la guerre, le Père de tous et non de quelques-uns, qui veut que nous soyons frères et non ennemis», a déclaré le Souverain Pontife depuis la salle Paul VI.
Journée de jeûne le 2 mars
Il a également lancé un appel à tous, «croyants et non-croyants». «Jésus nous a appris qu’à l’insistance diabolique, à l’absurdité diabolique de la violence, on répond avec les armes de Dieu : par la prière et le jeûne», a rappelé François.
Le Saint-Père a donc annoncé que le 2 mars prochain, mercredi des Cendres, serait un jour de jeûne pour la paix.«J’encourage tout particulièrement les croyants à se consacrer intensément à la prière et au jeûne ce jour-là. Que la Reine de la Paix préserve le monde de la folie de la guerre», a-t-il conclu.