Dès la rentrée des communautés de sœurs quittent notre diocèse

► Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus

Pendant cet été, deux communautés de religieuses ont quitté notre diocèse.

Tout d’abord, les Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus ont quitté leur maison de Jonzac où elles vivaient depuis 1999. Une messe d’action de grâce a été célébrée le 2 juillet à Jonzac suivi d’un pique-nique partagé qui a regroupé tous ceux qui le souhaitaient autour des sœurs dans le jardin du presbytère.

Sr Albertine et Sr Yvonne, lors d’une messe d’action de grâce à Tugéras.

Voir le reportage de Nicole Bertin

La communauté de Jonzac était constituée de deux Sœurs du Sacré-Cœur, après avoir été longtemps trois. Membres d’une Congrégation fondée en 1816 par une humble femme : Angélique Le Sourd, née à St-Jacut-les-Pins dans le Morbihan.
L’arrivée des sœurs à Jonzac remonte à août 1999. La spiritualité de la Congrégation s’enracine dans l’union au Cœur du Christ en le contemplant sans cesse dans son Amour filial et fraternel. Leur mission est de témoigner de la Tendresse et de la Miséricorde du Père révélées en Jésus-Christ, à tous, en particulier près des pauvres aux multiples visages. Depuis quelques années, des laïcs « associés » les rejoignent dans le partage de leur spiritualité et de leur mission.

Les sœurs vivent leur vocation, insérées dans un peuple, en collaboration avec l’Église locale et avec ceux qui œuvrent pour un monde plus juste et plus humain. Vivant en communauté, elles mettent en commun leurs ressources et leurs aptitudes pour mieux vivre leur mission de Religieuses Apostoliques. La communauté se retrouve chaque jour pour prier au nom de l’Église. Les souffrances, les aspirations et les joies de l’humanité nourrissent leur prière et leur louange.

En fidélité à l’intuition première de leur fondatrice et à son charisme, elles travaillent à la promotion de la personne, au service de la justice et de la dignité humaine.

► Clarisses du Rameau de Nieul

A Nieul-sur-Mer, ce sont les Sœurs Clarisses du Rameau de Nieul qui quittent notre diocèse après 6 années passées près de La Rochelle. Trop peu nombreuses pour continuer à vivre à Nieul, elles retournent dans leur communauté mère du Rameau de Sion, en Meurthe-et-Moselle.

Une messe d’action de grâce a été célébrée le 12 août, elles quitteront Nieul le 29 août. Vous trouverez ici la lettre qu’elles adressent à tous ceux qui les ont connu durant ces dernières années.

 

En 1979, mère Marie-Paul de la Trinité, ancienne abbesse des Clarisses de Vandœuvre, fonde le «Rameau de Sion», près du Sanctuaire Notre-Dame de Sion, en Lorraine. Cette fondation fait revivre la tradition des ermitages présente dès les origines chez François et Claire d’Assise. Cette communauté est à l’origine de plusieurs fondations, en France, en Hongrie et en Roumanie.

Les Sœurs du Rameau de Nieul vivent donc à la fois en communauté et en ermitage, l’essentiel étant la relation avec Dieu, dans la solitude, la prière silencieuse, l’amour fraternel, la pauvreté radicale.

Merci, chères Sœurs, pour votre présence dans notre diocèse pendant ces années, pour votre prière, pour vos actions, vos enseignements… Les paroisses et le diocèse continueront de prier pour vous afin que votre nouvelle mission soit féconde et heureuse !

Une autre communauté religieuse contemplative s’installera prochainement à Nieul : les Sœurs servantes de Jésus et de la Vierge de Matara. Installées depuis deux ans à Saint-Fort-sur-Gironde, elles déménageront à la rentrée prochaine.

Elles seront remplacées à Saint-Fort par les Sœurs apostoliques de leur congrégation, qui vivaient jusqu’à maintenant à la Maison Diocésaine à Saintes.

A Saintes, les Filles du Saint Cœur de Marie arriveront prochainement à la Maison Diocésaine.

A Muron, enfin, dans la paroisse Saint-Joseph en pays surgérien,  les Sœurs Servantes de la Lumière du Christ arriveront au mois de septembre.

Nous aurons l’occasion de vous présenter ces différentes communautés à la rentrée !

Prions en chantant